jeudi 23 juillet 2009

Shorty Me

"Le mot long est plus court que le mot court. C'est dingue, non ?".

Philippe Geluck

Tout est plus court. Tout est plus ajusté. Tout est plus petit.


Mon budget rétrécit à l'instar de mon gros portefeuille récemment remplacé par une vulgaire pochette (Stéphane Verdino la pochette quand même), mes jupes de filles sont devenues mini-mini (do you remember sexy liberty ?), le temps semble me manquer (plus le temps de rêvasser, voir même de profiter et peut-être même de bloguer) et pour "petitement" couronner le tout ce post pourra être lui-aussi qualifié de micro one c'est terrible, j'ai envie d'un burger (cf Micro One). Mes déjeuners eux, ne s'amenuisent pas.


Quel sujet pour une introduction bien bidon alambiquée comme jamais ?!


Suivez mon raisonnement de décérébrée tarée, je vais vous causer shorts, shorty, jumpers, bloomers (appelez-les comme vous voulez), déballage de cuissots et bronzage rapido des blancs jambonneaux.


Parce que c'est un peu le it-vêtement de mes vacances. Le short est à mon style d'été, ce que le gaspacho mais toujours les churros est à l'Espagne en juillet, vital indispensable.


2 jours avant l'épreuve fatidique de la valise, toujours faites au dernier moment, genre 1/4 d'heure avant l'enregistrement de mon vol (je suis du genre jusqu'au-boutiste), je fais les comptes côté tenues de plage (et donc shorts, vous me suivez toujours ?) et dresse un bilan serré serré de mes couvre-fessiers.


- Shorty de nuit from Princesse Tam-Tam soldes. Léger, pas mémé et même plutôt olé olé joliment bronzée, parfait pour mes nuits d'été.



- Love Jumper chez Circus&Co, pile poil assorti à mon maillot "trophée" Eres (celui que je porte depuis 4 ans pour un minimum de 4 jours d'exhibition sur le transat par semaine).


- Acid Dirty grey fraîchement acheté by my American (Apparel) Express card. Repéré chez Tinky Minky, il nécessite comme seuls accessoires un débardeur blanc et une paire d'Havaïanas (version "Slim" avec les lanières plus fines, encore plus hype).


- The One d'une boutique Abercrombie in NYC. Mini + used jeans = perfect match.




Une bonne vingtaine de tee-shirts en plus (pour 15 jours c'est ultra-raisonnable, no comment please), et des robes, des débardeurs, des tuniques, des tops oui c'est différent, c'est plus "soirées", des maillots plein de maillots, des sandales, des tongs, des spartiates, des méduses no way, un paquet de headbands pour me la jouer sirène turque et 3L de crèmes solaires en tout genre (je suis du genre à prendre tous les indices, de la graisse à traire à l'ultra-protectrice tropique 60) et je serai parée.

Mon blog adoré en mode pause pour quelques semaines... Retour en fanfare pour présentation en grandes pompes de plusieurs jeunes sites modeux (et les fameux concours promis à la clé, désolée pour les impatients des cadeaux, les projets restent au chaud sous la chaise longue) et toujours plus de digressions fashion.

F.B

vendredi 17 juillet 2009

Le(s) Parfum(s) du mois

"Une femme sans parfum est une femme sans avenir".
Coco Chanel


Parce que l'été appelle l'éveil des sens et que parmi les 5 (6 ?!), l'odorat est certainement celui qui génère le plus de sensations et qui transcende le plus de souvenirs. Nostalgie de recroiser une odeur "connue": le parfum d'un être cher dans votre carré TGV, la serveuse portant celui d'une vieille amie perdue mais retrouvée sur Facebook, rassurez-vous ou l'horreur de croiser le "Dior Homme" d'un ex dans le métro ...

Parce que je suis une éternelle fan du mythique livre de Süskind, alors autant allier littérature et parjures bloguesques.

Parce qu'en ce moment, c'est la saga Sephora des lancements de parfums, du nouveau Narcisso "Essence" à la future bomba "Si Lolita". Et parce que oui, je suis vernie d'informations en tout genre sur le sujet, test produit et communiqué de presse à la clé. Et peut-être aussi parce que c'est le dossier chaud au bureau (chut, confidentiel).

Parce que tout ça (je suis dans la "justification" à fond moi en ce moment. La commerciale de l'autre jour qui me demandait si mon blog s'apparenterait à une "thérapie" n'était peut-être pas si conne), j'ai terriblement envie de vous causer parfums.

Note à l'attention des spécialistes en blouse blanche et des beauty addicts titilleuses, je ne suis pas nez (du tout) et je ne livre donc que mon humble avis de ménagère de moins de 50 ans beaucoup plus proche des 20 que des 50 et pas vraiment desperate housewife non plus.


Le 1er objet du délit olfactif n'est autre que le dernier opus de Narcisso Rodriguez, "Essence".
Et comme être blogueuse, c'est aussi avoir la chance de recevoir de jolies surprises au milieu de choses totalement inintéressantes, j'ai eu le plaisir de recevoir un petit paquet signée N.R. Un magnifique flacon "miroir" renfermant la délicate et fraîche fragrance et son emballage blanc et bleu marine aux traits épurés, dans la sage lignée des "For her" et "For him" du même créateur.



- Avis "scientifique" ou du moins objectif du Critique de Parfum: "Quelle beauté de parfum. Les fans de rose délicate et de musc très doux vont être aux anges. Je crois sincèrement que nous avons là un pur chef-d'oeuvre". Carrément.

- Avis "perso" d'une novice utilisatrice: Très agréable à porter, sexy mais pas trop, chic mais pas entêtant, hybride et sensuel, tout ce que j'aime. Cherry on the cake, une ressemblance frappante avec le parfum des boutiques Sandro (Souvenirs... Souvenirs... ou comment transformer une chemise H&M en une blouse Sandro en deux trois pshitt pshitt). Seul bémol aux notes de cette belle découverte, sa tenue. Après quelques heures, l'effet créateur et la douce odeur ne sont plus au rendez-vous de mon grand cou. Une version été sans alcool serait peut-être la bonne idée.

2ème teasing spécial nez à l'aide d'un CP (communiqué de presse, pour les nuls), tout droit sorti de ma boîte Gmail from un expéditeur inconnu, concerne "Si Lolita", le new parfum Lolita Lempicka.



Pas d'avis sur celui-ci puisque le corps du mail reste énigmatique (et particulièrement imaginatif), et surtout parce que le lancement est prévu pour septembre. Voici ce que ce faux anonyme m'a écrit:

Si je ne le retrouve pas tout de suite, je le jure, je ne remets plus les pieds dans une boutique pendant au moins UN AN ! Je n’aiderai plus les vieilles dames à traverser la rue, je prendrai deux tailles de vêtement, l’été sera tellement pluvieux que Monsieur Météo n’osera même plus passer à la télé. Et je serai si malheureuse que les fleurs faneront sur mon passage (alors que d’habitude, comme chacun sait, elles s’ouvrent d’aise à ma vue).

Je lance un appel, solennel et désespéré, un SOS dans la pure tradition, avec perles et rubans dans les pleins et déliés : j’ai perdu mon foulard en soie. Pas « un » foulard, entendons-nous, mais LE foulard.

Si vous me le retrouvez, je vous embrasserai les joues si langoureusement que votre bouche vous fera une scène.

Ce foulard c’est toute ma vie, je le porte comme d’autres se tatouent le prénom de leur bien-aimée. S’il était charbon noir ce serait la prunelle de mes yeux, mais il est beige à pois de senteur. Et justement, parlant de senteur, il recèle mon parfum tel un joyau serti, chacun de ses replis abrite un doux secret qui pourrait s’échapper et courir la campagne, se propager pour ma plus grande confusion.

Si vous m’aimiez, Si vous vouliez vraiment me faire plaisir, vous remueriez ciel et terre pour me le rendre.

J’ai pu l’égarer chez un brocanteur entre deux babioles hors de prix qui me faisaient de l’œil. J’ai pu le laisser sur une chaise sur une terrasse de Montmartre, ou suspendu à une patère dans une cabine d’essayage pour me punir de mes folles emplettes vestimentaires. Pour sûr je ne l’ai pas accroché et oublié au cou du Prince Charmant puisqu’en ce moment je n’en ai pas. (Si c’est pas malheureux, une jolie fille comme moi ?)

Je mets tous mes espoirs en vous.

Si vous rencontrez mon foulard, ne me faites pas languir, écrivez-moi !






Mystère et audace semblent être les maîtres mots de cette fragrance pas du tout "pour petites filles", mais plutôt "pour éternelles adolescentes". Romantiquement noué, le flacon annonce un jus pour le moins original, limite femme fatale dans un corps de lolita.

L'avis du spécialiste avisé (ayant reçu un flacon VIP): "Un départ extraordinairement poivré (inattendu dans un parfum grand public) annonce une énergie peu commune et un caractère bien trempé. L'accord central est tout aussi original, avec la giroflée et le pois de senteur, des fleurs modestes pour une sophistication accessible. Enfin de l'ambre et du patchouli, ourlés de fève tonka, offrent un final très enveloppant".

A priori nous sommes très loin d'un parfum pour fake nymphettes aguicheuses. Des allures matures et un flacon rayonnant, de quoi allécher mon esprit mal placé rêveur et mon statut (officiel) d'addict aux nouveautés.

Le 1/4 d'heure test beauté est maintenant terminé, j'espère que votre nez (via vos yeux) a apprécié. De retour très vite avec du concours streetwear et de nouveaux achats "holidays special" tout beaux tout chauds.

F.B

mercredi 15 juillet 2009

Une robe tee-shirt sinon rien

"Deux espèces de femmes: les unes veulent avoir de belles robes pour être jolies; les autres veulent être jolies pour avoir de belles robes".
Alphonse Karr

Puisque les 30° ambiants nous permettent de dire bye-bye à nos collants, bas, mi-bas (beurk), leggings et autres treggings mais pas à la cellulite et qu'après 3 mois d'investigation poussée au rayon épilateurs électriques de Darty, vous avez enfin trouvé l'engin de la mort qui tue, celui qui arrache à partir d'1 nanomètre de repousse sans aucune sensation de douleur ni l'envie rageuse de changer de sexe, là tout de suite, et de rejoindre ad vitam eternam le clan de jambes poilues.

Puisque les terrasses nous titillent la RayBan dès 11h et que nos gambettes autobronzées ne demandent qu'à être (enfin) exposées aux bons UV. Puisque l'anti-bling bling est de mise et que l'effet nude garantit un look trendy et sans chichis.

Puisque tout ça, j'ai très envie de robe tee-shirt moa...

Après avoir passée le week-end engoncée dans des shorts et des maillots de bains trop serrés (c'est moche les RTT sous le non-soleil lyonnais), je suis toute disposée à céder à l'appel de la légèreté et du décolleté ! Et pour une silhouette simple but fashion, décontract' but a bit chic, rien de tel qu'une liquette en coton bien ample, dégageant innocemment les parcelles nécessaires de peau.


Une pièce facile à vivre en quelque sorte: coolitude, casualness & freshstyle !

J'ai déjà repéré une ou deux merveilles (malheureusement à quasi 2K€ le mètre de jersey), fait le plein de ceintures en soldes chez CDC (Comptoir des Cotonniers, pour les nuls) et je vais certainement bassement répéter ma pause déjeuner mensuelle chez American Apparel.

Leur site regorge de modèles plutôt alléchants et drôlement tentants. Après mes sweats XXL et mes headbands de gymnaste soviétique, place aux maxi tee-shirts spécial plage, terrasses parisiennes, loose à la maison les fenêtres ouvertes, ou "boulot en tongs" dès la mi-août !

Bilan de shopping de crise as soon as possible, photos in situ à l'appui.


Sauf qu'après cette pièce maîtresse, il me faudra nécessairement des bracelets manchettes dorés ou argentés à la Marc Jacobs pour accessoiriser cette future it-robe décomplexée et customisable à l'infini. Cercle vicieux de la mode et éternelle insatisfaite du vêtement feraient donc bon ménage...

F.B

vendredi 10 juillet 2009

Soeurette

"Deux scorpions dans le même trou s'accommodent mieux que deux soeurs dans la même maison".
Proverbe arabe

Je croyais pouvoir écrire une note pleine d'humour et de tendresse au sujet de ma chère soeur, mais rien n'y fait, je ne trouve pas les mots. Trop de sentiment tue le post (dans le même registre: trop de beurre de cacahuète tue la robe over moulante de Mariah Carey et mon fessier).

L'angoisse de la page Blogger blanche monte tandis que je repense à une autre source de stress: Soeurette et sa manie à elle de s'approprier mes fringues. Que dis-je, mon dressing entier.

C'est bien simple, je pense perdre environ 15% du contenu de mes armoires à chacune de ses visites. Et encore, je revis depuis mon départ du cocon familial, où le panier de linge sale commun était devenu un lieu privilégié pour exercer ses talents de cleptomane sélective et affective.

Seules mes chaussures échappent au pugilat, quoique je l'ai déjà surprise avec une de mes paires en 37, Mle Soeurette faisant un bon 39.

Alors quand, fraîchement arrivée dans mon home sweet home (pas si sweet et surtout bordélique), elle a dégainé de sa valise the same another débardeur leopardo que j'avais déniché, j'ai vacillé.


Débardeur Leopardo Kookaï X2

Si même à plus de 500km l'une de l'autre elle réussit à me piquer mes it-trucs de soldes (Ok, c'est du Kookaï, pas du edition limited. But ça m'énerve quand même), je suis tout simplement finie "de l'inédit". Je perds la ferveur du look exclusif au profit d'un doublon digne des Demoiselles de Rochefort.

En plus, elle ne s'est pas trompée de taille, elle. Pas comme moi qui ai acheté un 40 en pensant "oversize".

F.B

mardi 7 juillet 2009

Street BritBrit

"Il n'y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue".
Coco Chanel


Dilemme du soir: sombrer BigMac à la main devant "L'amour est dans le pré ", prendre un bain moussant chocolat bougies à l'appui du lundi pourri en dégustant ELLE (oui dégustant. Et je pèse mes mots, croyez-moi ou croyez-en le paquet de Finger à côté de moi), fumer sa dernière cartouche de Marlboro Light en écoutant les divagations téléphoniques de Mother ou ... Bloguer ?!

Comme je suis dans l'obligation de vous parler de ma folle soirée Britney, mais que mon satané poignet foulé devient beaucoup trop douloureux pour m'attarder après plus de 12h de clavier presque d'affilée (sans compter le fait que je compte bien occuper ma soirée à au moins une de mes digressions d'introduction), ce post sera (aussi) consacré à mes premiers pas en mode "style off the streets photoshoot" A ce sujet, soyez cléments svp !.

Mais tout d'abord pour celles (et ceux. Même avec un sujet comme Britney, il y a forcément quelques mecs planqués) qui sont là pour le full debrief du concert et pour traquer la cellulite de BritBrit sur des photos non photoshopés, un tiny resumé.

Je serai brève car déçue par le "trop peu" ou plutôt le "trop" tout court et sur tous les tableaux: "trop" de playback (pour ne pas dire 100% du concert), "trop" de passivité (mise à part quelques pirouettes mal maîtrisées en culotte rose strassée) et de lascivité (à noter, ne pas emmener d'enfants de moins de 10 ans, les clips pré-enregistrés et diffusés sur grand écran sont une fois encore beaucoup "trop" suggestifs) et "trop" de danseurs et acrobates en tout genre, incroyablement talentueux, mais désespéremment placés ici pour meubler le manque d'assurance (de consistance ?) de Britney.

Quelques photos prises en mode zoom X12 debout, gobelet géant d'Evian à la main en hurlant "My loneliness is killing me, and I must confess, I still believe, still belieeeeeeeeeeeeeeve. When I'm not with you I lose my mind, give me a siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiign, Hit me Baby One More Time" (dois-je préciser encore une fois pour l'attelle au poignet gauche ?! Pathétique). Du show et du cuissot.







Vous remarquerez que j'ai gardé le cuissot pour la fin. Jamais "trop" de fessiers en prime time.

Passons maintenant à ce que je pensais être une parade idéale pour faire un billet stylé pour ce spécial Britney: vous présenter des clichés pris sur le vif and in the street juste devant l'entrée de Bercy histoire de tater les tendances en live et évaluer l'éducation fashion des no people.

La chemise de bûcheron a décidemment tout bon.

Blue marinière et pochette en bandoulière.

Hippie & slim.

Pour le jean "pattes d'éléphants" et la besace camel XXL que j'aime.

Neo Gladiateur & Fake Kamel Ouali

Le sarouel en molleton gris, le must de la loose trendy.

Les bottes de motardes assumées avec un mini short + la chemise nude western.

Pink Lady.

Les teenagers "Freep'star", vintage à la vie à la mort.

Pas trop indigeste cette série sans queue ni tête ? Ou peut-être est-ce le surplus de cellulite de BritBrit qui a provoqué en vous ce rejet ? Oui ? Vous me rassurez.

F.B

lundi 6 juillet 2009

Baby Doll en solde

"Avant de demander la main d'une jeune fille, regardez-là manger des artichauts".
Louis Teissier Du Cros

Suis en retard d'une bonne quinzaine de jours, tel le lapin d'Alice je cours un peu partout (et nulle part à la fois) sans trouver le temps de fouiner le -30%.

Ayant trouvé derrière les fagots un créneau rapido près du bureau, j'ai naturellement foncé chez Maje (puis chez Sandro, puis chez The Kooples, puis chez ...) où des portants encore chargés de petites beautés m'attendaient pas sagement.

Rapide coup d'oeil aux adversaires en présence (même si je sais pertinemment que bien d'autres femmes sont passées par là, le sentiment que quelque chose peut me passer sous le nez à quelques secondes près, me pousse toujours à jauger la concurrence). Brunette piquante redoutablement bien gaulée et stylée à 13h (non, elle ne me piquera pas ma jupette en taille 36, je l'ai à l'oeil). Vendeur aimable me saluant (et signifiant ainsi clairement au reste de la boutique que c'est loin d'être la 1ère fois pour moi ici). Carte Visa bien coincée dans ma pochette APC et prête à chauffer (plus un chéquier, in case of rejet. Equipée et prévoyante, les soldes peuvent s'avérer sanglantes).

Je ressors 15 minutes plus tard, ma mini liberty fleurie et un blouson sans manches en daim camel (à moitié prix, hihihi) sous le coude. Directement achetés, directement adoptés.

Jupe et veste Maje, Tee-shirt American Vintage, Sandales Minelli, Barrette noeud Claire Pain.

Jupette à privilégier pour les grosses chaleurs d'été, à éviter en open space hautement testostéronisé mais à dégainer sous les cocotiers ou en virée barque au Châlet for parisiens only).

F.B

jeudi 2 juillet 2009

To Win / Won / Won

"Que la stratégie soit belle est un fait, mais n'oubliez pas de regarder le résultat".
Winston Churchill.

Avis à toutes les participantes intéressées vénales et alléchées par l'appât d'un top TrendyWorkshop, les résultats sont tombés.

Aujourd'hui la win du mercredi c'est pour  Le Cookie Masqué (commentaire n°1) et Citizen (commentaire n°3). Vos comments ont été entendus par le Dieu de la fashion et tirés au sort par mon innocent poignet foulé (sous le regard attentif de Zadig le chat).



Merci de m'envoyer vos coordonnées pour l'envoi de votre cadeau, très squaw spirit pour la blogueuse de Dans Ma Commode, et définitivement rock'n'roll pour la jolie Alexia de Tronche de Cake.

Point de déception pour les autres, un autre concours beauty arrive very very quickly. 
Un énorme merci à l'équipe TrendyWorkshop pour leurs merveilles de tee-shirts et leur gentillesse à toute épreuve.

F.B

mercredi 1 juillet 2009

Complètement noeud-noeud

"Sais-tu ma petite fille que pour la vie il n'est pas d'antidote".
Serge Gainsbourg

Les trucs à la guimauve, les machins un brin "nunuche", j'ai toujours adoré ça. Peut-être parce que mon père aurait souhaité avoir un garçon et que j'ai vicieusement voulu enfoncer le clou en gazouillant en body à pressions roses, et ce jusqu'à mes maintenant, 23 ans. 

Enfant, c'était les jupes à volants "qui tournent". Pré-ado je segmente, c'est important, les sucettes pailletées en plastique d'un goût plus que douteux. Adolescente, ma paire de Doc Martens préférée était la vernis fuchsia (imaginez-les portées avec une doudoune imprimée dalmatien et les sourcils pas épilés). Jeune adulte (aïe, ça pique) ou Post-ado (c'est tout de suite mieux),  mon truc de fi-fille, c'est Mabille.

Alexis Mabille rapide portrait pour les nuls est originaire de Lyon (ça aussi j'aime bien) et a travaillé 9 ans aux côtés de Galliano après un passage chez Ungaro et Nina Ricci (quand même). En 2005 il créé sa propre collection unisexe sous l'insigne "Impasse 13" et déjà, des noeuds papillons avec Treizeor. Androgynie et accessoire girly, il n'en fallait pas moins pour séduire mon alter ego faussement rockeuse blonde.

Et bonne nouvelle publiée par l'Express Styles (et non pas via Twitter ou Facebook. Même si toute La Toile a relayé l'info depuis des mois. Je souhaite croire que le scoop existe toujours sur papier), le jeune créateur de 31 ans vient de signer une collection inédite pour le géant des VPCistes, La Redoute. 

Au programme de ma commande de rentrée: cette robe chemise au petit noeud en relief sur la poitrine (avec la ceinture rose nouée qui va bien, ça va de soit, mais je préfère préciser pour ceux qui mépriseraient méconnaîtraient mon statut de serial shoppeuse).

A choper dès ce mois-ci pour éviter l'inévitable sold out. 

F.B

A l'attention de toutes celles (et ceux, je ne vous oublie pas) arrivées ici dans le seul but de découvrir les résultats du concours TW, mais aussi de celles (ou ceux qui ont besoin de se racheter auprès de chérie) qui aimeraient encore "tenter leur chance"... Fermeture des commentaires ce soir minuit. Et pour les impatientes appâtées, les résultats jeudi matin, première heure.