





Toute la ligne Burberry Beauty est disponible sur Burberry.com ou aux Galeries Lafayette.
Les packagings sont classieux et s’inspirent du « check » emblématique, ils bénéficient d’un magnétisme aimanté pour la protection du produit en toutes circonstances. Les lignes épurées et modernes bouleversent un peu les codes habituels en cosmétique, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Le rendu une fois appliqué est loin d'être décevant : le gloss est satiné et confortable sans dessécher, quant au "blush", il s'applique sans traces apparentes et rend un coloris très soft, loin des poudres habituellement trop abricotées.
De quoi arborer une mine automnale fraîche sans tomber dans l'esprit dévastateur de Toussaint et ses no-make up days...
... Et sans pour autant oublier de prolonger l'effet boostant par une pause goûter qui le sera tout autant (être belle, oui, et se sentir bien aussi).
A rajouter dans votre shoppinglist du mois d'octobre : quelques Minis Rochers Suchard (déculpabilisant et au rapport couche croustillante/ganache fondante optimal) (et croyez-moi j'en ai bouffé du Rocher) et le dernier-né de la famille Kusmi Tea, à mi-chemin entre leur blockbuster "Detox" (qui existe désormais en sachets) (more pratique for the office) et des thés africains magiquement épicés.
Divin mélange de maté, thé vert et épices (cannelle, gingembre, cardamone), je suis devenue addict dès la première prise. En complément/remplacement de mon RedBull Light so mauvais pour la santé, il s'avère parfait; et sachez que cette mixture inédite sera disponible en ligne dès le 30/09.
Et comme une femme se doit de paraître reposée, en forme ET manucurée, voici une idée qui avait germé... Pour finir directement au coin des mauvais plans over-facturés.
Le point (de non retour) en question ? Le Minx Nail Bar installé chez Colette depuis le début de l'été. A 40€ la pose (il s'agit de vernis autocollant) (je vous en avais parlé juste ici), et une tenue n'ayant pas dépassée les 5 jours, je dis non, et même gare à l'arnaque !
Malgré un catalogue de choix alléchant et kitchouille à mort (dans le bon sens du terme), je me suis rapidement ennuyée avec mes fleurettes aux ongles et j'ai encore plus rapidement été exaspérée par les détails décollés aux coins de chaque doigt.
La course au "it-beauty bar" ne passera pas par moi la prochaine fois. Et attention, suis remontée à bloc, maquillage au top et théine en stock.
F.B
Mais vivre la mode n'est pas chose aisée, surtout lorsque nos papesses internationales (entendez Anna Wintour = gourou diabolique) (t'as qu'à voir mon nouveau tee-shirt) érigent la socquette dentelle, le cycliste ou le sabot comme attributs géniaux.
Heureusement, fidèles apôtres, elles nous servent cet hiver un "it truc" bien chaud, et donc bien de saison : le mouton (euh, non, je ne causais pas Ramadan en parlant saisonnalité).
Sauf qu'attention, on ne dit pas "mouton", on dit "shearling". C'est plus chic et plus choc (vous verrez, ça interpelle toujours son audience de dire "shearling", ça fait pointu) (turlututu chapeau pointu) (ok, je sors).
Matière star et tendance reconnue à la vue de nos vitrines blindées de bombardiers aviateurs en peau retournée ou de boots caramel fourrés. Sans vous parler des tonnes de poils frisés croisés récemment sur papier glacé.
Boots ASOS
Mais ce premier attentat à la pudeur animalière ne me donne que des envies d'encore, et d'encore plus fort... Notamment avec cette veste Helmut Lang à se damner (si, moi je me damne devant tant de beauté) repérée chez Net-à-porter (note à moi-même : arrêter de traîner sur Net-à-porter alors que je ne peux me payer qu'un porte-clés) (et encore, faut voir lequel).
F.B