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lundi 1 septembre 2014

Addiction Rayon Papeterie

"Je ne suis jamais entré dans un bureau sans me demander comment m'en échapper".
Jacques Sternberg
Je crois que je n'ai jamais fait le deuil du rythme scolaire (mais en fait-on jamais le deuil ?!) (vous avez 4h et une copie-double).

Fin août (ou début septembre, c'est selon) demeure, et demeurera (parole de fille à chat) (ok hors-sujet), la période des achats dits "de rentrée".
Et parmi eux, on the big top of list, les fournitures.

Ayant (un peu trop à mon goût) grandi, nous les désignerons désormais par le terme papeterie.
C'est plus office spirit, et moins mocassins vernis.


Sauf qu'avec moi, tout dégénère au rayon papeterie.
D'une fille (presque) normale, je deviens complètement névrotique.

La fièvre démarrant généralement dès les premiers cahiers, perdue au rayon Moleskine à la recherche du modèle introuvable (si si, le bleu, avec des lignes, mais pas de marge, et avec un élastique sur le côté) (sinon je fais comment pour accrocher mon beau stylo ?!).

Elle me gagne ensuite totalement au rayon stylos (justement) (vous suivez ou bien ?!), car je fais partie des personnes qui achètent encore des stylos (tout comme des briquets) (je ne me contente pas de piquer ceux des autres, moi)...
Pour devenir Chikungunya devant l'opulence d'accessoires en tout genre (et qui n'existait pas à l'époque ou moi j'étais en âge de) (compensation, j'écris ton nom) : gommes en forme de sushis ou de baguette magique, tampon Facebook, cahiers "cro-mignons" et surligneurs dentifrice.

Bref, j'ai un problème avec ça.
Alors autant partagé mes trouvailles "e-ici-bas".
Peut-être même que d'autres névrosé(e)s du papier seront là ?!


lundi 2 juillet 2012

Faussement Cravatée

"La seule utilité réelle de la cravate, c'est qu'on la retire, sitôt rentré chez soi, pour se donner l'impression d'être libéré de quelque chose, mais on ne sait pas de quoi". 
Paulo Coelho

Oui, faussement cravatée.

Car je n'ai jamais été du genre à aimer démarrer la journée en attachant une petite corde à mon cou (si les hommes peuvent diriger le monde, pourquoi n'abandonnent-ils pas la cravate ?!) (ce n'est pas de moi mais de Linda Ellerbee).

Chemise THE KOOPLES X PETER DOHERTY - Slim THE KOOPLES -
Ballerines AVANT MINUIT - Sac Reflex KIPLING X STYLESCRAPBOOK

L'idée reste "belle et bien" de la porter à-la-cool, et donc dénouée, comme une incantation à la décontraction, en quelque sorte.
Les manches retroussées également, pour dévoiler un poignet lui, méthodiquement arrangé de multiples bracelets (en réalité deux seulement mais ils sont longs et s'entortillent autour pas loin de 5 fois).


Le reste de ce look, basique, classique et même simpliste (si, si, je m'en voudrais presque), s'explique par le reste de la journée, shootée à base de réunions et présentations en tout genre, mais surtout pas le mauvais (genre) (je précise pour celles et ceux qui auraient du mal à me suivre) (ça m'arrive trop souvent, je prends donc les devants).

Une (presque) allure de working girl, très couteau suisse, jonglant entre appareil Réflex et PowerPoint, écrit papier et code digital, quinoa et burger bacon en alternance au déjeuner comme au dîner, cravate/ballerines le jour, baskets/mini-jupe la nuit.

J'crois que j'viens de trouver mon nouveau statut Linkedin.
Si avec ça j'cartonne pas...
(lol inside) (je re-précise pour les vraiment largué(e)s) (nous sommes lundi, sait-on jamais)

F.B