Sea, Pink & Sun

"Peut-être Dieu a-t-il créé le désert pour que l'homme puisse se réjouir à la vue des palmiers".
Paulo Coelho

Terminer 2011(en l'occurrence, pour moi, fêter mon anniversaire) sur une touche de sable blanc, de Mojito et d'auto-bronzant en live de Dubaï, je ne pouvais guère rêver mieux... Alors quoi de plus e-normal que de e-partager (je share, tu shares, il share) ça avec vous, au travers d'un post 100% cocotiers et colis shopping tombé à point nommé.

Quelques visuels d'entrée (de jeu), histoire de vous allécher.

Mais trêve de palmiers & buildings from le royaume de la démesure totale, ce no limit land, ayant pour le moins inspiré mon achat sunglasses du mois (notez ce mélange subtil de français et d'anglais, c'est mon côté international frequent traveller). 

Un modèle tout à fait Lady Gagesque de chez Prada, déniché sur Mister Spex (où l'on peut d'ailleurs commander ses lentilles de contact en ligne, livrées gratuitement) (le truc so pratique pour la grande myope que je suis). 

Lunettes de soleil PRADA (via Mister Spex) - Tee-shirt SANDRO - Short AMERICAN APPAREL

Rien à redire quant au service : livraison gratuite, impeccable et rapide. J'ai ainsi pu déballer mon colis directement dans le taxi en direction de l'aéroport un certain mercredi matin (celui où je prenais 1 an de plus au compteur), alors que j'avais passé commande le lundi. 

Des pink lunettes reçues right on time (comme on dit en Amérique) !

Sais pas si j'ai réussi à vous transporter, vous qui oscillez sûrement entre foie gras, feu de cheminée et polaire Quechua, mais j'vous aurais au moins dépaysé le temps d'une pause repas.

Quant aux lunettes, sais pas (non plus) si j'les assumerais au bord de la Méditerranée, mais j'adore leur côté si décalé et plastic-chic. Et puis l'originalité, ça me connait.

F.B

Preppy Pochettes

"On n'écoute plus ce que les gens disent. On se contente de regarder comment ils le disent, quel regard ils ont en le disant, et si leur cravate est bien assortie à leur pochette".
Bernard Werber

Retour tardif et je m'en e-excuse, la faute au foie gras et surtout à l'indigestion aux fruits de la passion (ma détox glamour post-Noël, que je déconseille très fortement).

Pour me faire pardonner, rien de tel que du look (enfin c'est c'que je me suis dit). Et du look 100% preppy, pochettes cadeaux à l'appui.

Pull mohair H&M - Chemise en jean LEE - Short tartan MASSCOB (via Mode Trotter) - Bottes motardes FRYE (via Spartoo) - Pochettes PIERRE HARDY et ZADIG&VOLTAIRE - Bracelets CHAN LUU (via Vestiaire de Copines), AURELIE BIDERMANN, VANITIES, GAS et DEFILES FROM PARIS.

La première est une Pierre Hardy, initialement confondue avec un modèle Goyard au bras d'un collègue de l'Homme (oui, je me fashion trompe parfois, et je déteste ça), reçue de sa part évidemment (je parle de l'Homme, pas du collègue) (j'vous vois venir bande de dégénérés). 

Assez grande pour accueillir mon MacBook d'Amour, quelques dossiers (faut bien bosser) et magazines en tout genre, zippée pour plus de sécurité, et au liseret bleu-violet dont je ne saurai me lasser... 

Une mer-vei-lle que j'aime fort fort fort (qui dit débrief shopping, dit niaiserie dans le vocabulaire), et ce malgré son côté "déjà vu" pointé du doigt par mes collègues féminines à moi ("Ah ça, j'l'ai eu l'année dernière") (pffff) (oui, j'ai niaiserie, pseudo-jalousie, et autres "loleries" de fi-filles quoi).

La deuxième vient de chez Zadig&Voltaire et m'a été offerte par ma Sister, connaissant par coeur ma teenage addiction aux animaux de la forêt : cerf, loup, lapin, furet, Bambi, tout y passe. 

Forcément, elle a tapé dans le dix-mille, et l'item en question a directement été transformé en porte-feuille, histoire d'être sûre de le trimballer everyday à mes côtés. 

Deux Christmas gifts qui m'ont donné des ailes preppy, l'âme collégienne lointaine (certes), mais l'envie certaine de faire du style school girl le versant up-to-date du tailoring (aka working wear) (y'a pas plus barbant "modement" parlant, que le tailleur/costume à mes yeux).

F.B

Funky Fourrure

"Les manteaux de fourrure sont habités par de vieilles peaux".
Elie Semoun

Je sais, je sais, pour le post du jour, j'vous avais parlé de sun, de sunglasses à la sauce Gaga sous fond de veau Dubaïote, de chaleur exotica, tout ça, de tout ça... Sauf que ce s'ra pour la prochaine fois.

Un cas d'urgence aurait été préférable (pour vous oser tel affront cher(e) e-lecteur(trice)).
Sans parler de la photo (qui suis).

Mais, puisque faute avouée faute à moitié pardonnée, je dois vous confesser que ce changement de planning bloguesque provient d'une inspiration (provenant elle-même de ma BFF, again) aussi soudaine qu'anecdotique, et pourtant diablement révélatrice (de notre cause fashion à nous, les femmes) (tout de suite, les grands mots).

Le cas de cette fourrure Isabel Marant s'avère ainsi être particulièrement révélateur de deux phénomènes constants, et a priori purement féminins :

- Tout d'abord elle divise. De part sa nature même, le port de la vraie fourrure étant devenu au fil du temps un vieux débat stérile, marotte médiatique des puristes du genre; et de part sa teinte, pour le moins originale.

- Ensuite, j'ai beau l'aimer très très très fort (je n'arrive plus à faire des coeurs en code html à cette heure tardive où je rédige, mais j'en aurais mis plein plein plein), je ne peux ni la porter, puisqu'il manque 15 bons centimètres au niveau des manches (et quoi de plus désagréable que des avants-bras transis et rougis de froid ?!), ni me l'offrir en ce moment (whatever).

Voici comment la mode passionne (notamment) les femmes. Elle leur permet d'échanger sans cesse, de renouveler constamment leurs idées (et leurs désirs), de frustrer mais aussi de déculpabiliser en toute impunité (dans l'ultime but d'enfin s'assumer et s'aimer, pleinement), réalisant que chacune d'entre-nous traîne sa propre croix fashion sur son propre créneau perso...

Celle qui aura toujours des bras trop longs pour porter certains blousons, celle qui aura toujours le mollet trop fort pour mettre certaines bottes à tiges serrées, celle qui n'osera jamais le duo mini+ballerines de peur d'afficher au regard de tous des chevilles dites "poteaux", etcetera, etcetera... (Ca sonne comme des titres d'épisodes de la série Friends tiens) (parenthèse spécial fans).

La mode, c'est un truc vachement psy en fait. Le genre de drogue "anti-truc" ultra-efficace (et donc addictive) en cas de coup de mou, idéale pour compenser un mal-être passager et tout bonnement rêver...

Le médoc ultime &deluxe, forcément non remboursé par la Sécu.

F.B

Some like it Hot

"J'ai une personne svelte qui sommeille en moi, mais j'arrive facilement à la rendormir quand elle se réveille, en mangeant trois ou quatre gâteaux".
Bob Thaves

21 Décembre (hier donc, si vous suivez) (y'en a, j'les perds dès la fin de la citation, avant même le début du post), date à noter dans nos tablettes puisque décrétée "Journée internationale de l'Orgasme" (avec un grand "O" s'il vous plaît) par l'association GlobalOrgasm (y'a même quelques tips pour les sous-doués et les malchanceux sur leur site) (dingue).

J'ai ainsi naturellement pensé à vous dévoiler les dessous choubidoudou offerts par l'Homme en l'honneur de ce special day (qui devrait être déclaré férié pour la bonne cause sexuelle des Français) (une piste pour vos plans de campagne e-lecteur politique)... Sauf que la décence bloguesque que je m' (et nous) impose m'en empêche.

Au programme donc, pour compenser caloriquement et sécréter quelques doses d'hormones du bonheur : une orgie de chocolat, made in KinderLand.

En vérité, il s'agit de la recette exacte de mon gâteau d'anniversaire "The Shocko-Bons Cake", réalisé par ma BFF la semaine dernière. Elle qui fait ses premiers pas en cuisine, nous a servi le gâteau de l'année, simple à souhait et impossible à rater (rien que çà). 

Une véritable tuerie à l'état de cacao brut. 

Que je compte évidemment reproduire à l'identique ce week-end, histoire d'accompagner la bûche au Nutella préparée par Mother, et définitivement relâcher de trois crans la ceinture Sandro achetée en soldes et en taille 1 cet été (période du jeun improvisé pré-plage). 

- Les provisions nécessaires : 

200g de chocolat noir
175g de beurre
4 oeufs
120g de sucre en poudre
50g de farine
25g de Maïzena
Au moins 16 Schoko-Bons

- Le plan d'attaque : 
1. Couvrir de beurre le fond du moule
2. Faire fondre dans un bol passant aux micro-ondes le chocolat et le beurre. Lissez ensuite à la spatule.
3. Pendant ce temps, fouetter le sucre avec les oeufs jusqu'à ce que le mélange devienne mousseux.
4. Ajoutez le chocolat fondu, puis la farine et la Maïzena. Bien mélanger et lisser le tout.
5. Répartir uniformément les Schoko-Bons au fond du moule.
6. Verser la pâte dans le moule préparé, et enfourner à 175°C pendant 15/20minutes.

- Le conseil du BabyChef : 
Bien surveiller la cuisson, le gâteau doit être sorti toujours "frémissant" pour un rendu moelleux/coulant. Et ne pas hésiter à ajouter quelques Schoko-Bons plantés sur le gâteau ainsi qu'un peu de sucre glace pour la touche déco.

Pour celles et ceux qui testeront, remerciez-la, remerciez-moi, via mails ou commentaires (virements bancaires appréciés également).

A très vite avec de la chaleur, toujours (et glamouuuuuuuuur cette fois), des cheveux au vent et des lunettes digne de Lady Gaga.

F.B

Cinnamon Slim At Dubaï Mall

"Ne chauffe jamais ton corps paralytique à ce rouge soleil que l'on nomme amour".
Charles Baudelaire

Teinte très souvent assimilée aux terres d'ailleurs (ainsi qu'à la mythique "Terracotta" de Guerlain), la couleur cannelle de mon dernier slim (objet central de ce post "look") reflète assez bien l'univers dépaysant dans lequel j'ai été plongé durant 4 jours hors du temps, sous le divin soleil oriental de Dubaï (mais ça, on en reparlera plus tard, au risque de me transformer en blog voyage, spécialité LonelyPlanet).

Sweat ZADIG&VOLTAIRE / Slim TOPSHOP / Baskets ISABEL MARANT

Pour l'anecdote shopping (on est ici pour ça ou bien ?!), j'avais tout d'abord recherché ce jean si "auto-bronzant artificiel pour blanc jambonneaux hivernaux" chez TopShop à NewYork pour ressortir bredouille, un peu dégoutée mais tout de même fière d'avoir dégotée son cousin en bordeaux (une fille c'est pas compliqué, c'est subtil) (et compulsive), que je vous ai d'ailleurs présenté récemment. 

Il faut dire que je collectionne leur gamme de skinny jeans "Baxter" depuis notre rencontre officielle à Londres en 2007, gage d'un amour inaltérable malgré les années qui passent (le birthday blues nous rend toujours (encore plus) nostalgique, non ?).  

Hopefully, il n'aura fallu attendre que quelques jours pour retrouver l'enseigne (et donc l'item) sur ma route, point de chute désormais traditionnel de mes pérégrinations shopping à l'étranger... 

Welcome to Dubaï Mall, tes 80.000 m2 de craquage, 1200 boutiques, 120 restos, ton aquarium géant, ta cascade, ta patinoire, ton zoo... Et ton TopShop (et aussi même qu'on shoppe en robe porte-feuille DVF là-bas, ça ne choque personne (à part l'Homme !) et j'adore ça). 

La preuve par l'image, car on a toujours rien trouvé de mieux que ça, et que je ne résiste pas, à l'envie de vous dévoiler d'autres "tourist pictures" prises à la volée. 

Alléchant de démesure n'est-ce-pas ?

Je vous laisse digérer, et reviens vite avec la suite. 

Au programme : plage et sunglasses griffée (bah ouais) (ok après ça j'arrête, promis).

F.B

The New Yorker Post

"Quel que soit ton conseil, qu'il soit bref".
Horace

A l'heure où vous lirez ces quelques lignes (et materez surtout ces dizaines et dizaines de photos), je serai à bord d'un A380 en provenance de Dubaï (notez que j'me la pète globetrotteuse à mort ce mois-ci)... Il s'avère donc largement nécessaire, avant de dépasser la date de péremption, que je vous relate mes pépites new-yorkaises en images.

A l'heure de l'instantanéité et du "always on", je ne peux me retrouver dans une situation de retard ultime vs la réalité frénétique de mes déplacements (notez que j'ai de gros soucis en ce moment).

Trève de blablabla, et place au visuels (décortiqués en deux parties pour plus de clarté (notez que je pense à vous chers lecteurs totalement ensuqués du lundi matin).

- Part 1 : Dining & Visiting

ELENI'S : La cupcakerie la plus folle de New York City (et puis ça change Magnolia Bakery) située dans le Meatpacking District. J'y ai rencontré l'équipe de Gossip Girl en tournage (et donc aperçu Miss Blake Lively, encore plus bombesque "en vrai") (et oui, j'ai un peu crié) (#fan). 

Le Chelsea Food Market, coincé entre un Apple Store, le célèbre Spice Market et restaurant Pastis, il regorge de petites boutiques et restos méconnus. Idéal pour flâner affamée, après des dizaines de blocs avalés à pieds.

A good place to shop too : librairie "fashion", mini-corners spécial Christmas et stock RAG & BONE (oui, j'ai poussé mon petit cri d'hystérique quand je suis tombée dessus au hasard de mes visites) !

Rockefeller / Ice Skating / Fifth Avenue / Times Square / Ground Zero... Parce que je ne me lasse jamais des "trucs à touristes" à New York. 

OYSTER : fantastique resto de poissons situé sous Grand Central Station.
Magique. 

Balade sur la High Line, parc urbain suspendu de Manhattan, juste histoire d'en prendre plein les yeux...

Et mon hôtel pour terminer (enfin cette partie) (j'vous avais prévenu, y'a de quoi mater du paysage new-yorkais, j'ai mitraillé) : le GANSEVOORT. Juste top, surtout le rooftop ! 

- Part 2 : Shopping 

TIFFANY'S / HOLLISTER / URBAN OUTFITTERS / OPENING CEREMONY / CENTURY 21 / VISCTORIA'S SECRET / J.CREW / JIL SANDER / SMYTHSON / OPI / CARTIER / MADEWELL / TOYS' R US... Un nombre incalculables de boutiques à la sauce "on ne peut plus désirable"... Un merchandising de folie (comme on en voit peu en France), des vendeurs attentionnés (comme on en voit peu en France bis) et des sélections à la fois étendues et pointues.

Et une dernière (oui vraiment) (parce qu'après, trop c'est trop), just for fun ! 

F.B