lundi 31 janvier 2011

Petite Faiblesse Ordinaire

"C'est toujours retarder que de suivre la mode".
Pierre Baillargeon

A l'instar de ma comparse Géraldine (je lui ai même piqué son titre), je suis restée dans le flou (artistique) pendant 6 mois avant de retrouver la vue.

Pas moins de 183 jours ou presque, à tergiverser en aveugle sur une paire de chaussures, et plus précisément de baskets.

Compensées, les baskets. Un certain modèle Isabel Marant ayant fait le tour des rédactions mode, de la blogosphère mode, et des modeuses elles-mêmes (évidemment, déduction basique-logique).

Elles ont déclenché l'hystérie fiévreuse chez certaines, les affres de l'horreur chez les autres.

Chacune allant de sa petite (ou longue) réflexion sur le sujet, saluant tour à tour le génie de la créatrice et l'absolue crazyness du modèle, puis basculant parfois dans des arguments virulents, limite violents, à l'égard de ces pompes directement sortie de Star Wars : Mission Fashion.

Collection Isabel Marant printemps/été, coloris "craie".

Avec son talon masqué de 6cm, finie la galère du port de stilettos pour filer au bureau (en métro, sinon c'est pas drôle).

De vraies "STT" (et je ne parle pas du bac) : Sneakers Tout Terrain.
Des push up de jambes, aussi.
Bref, elles vous transforment illico presto en Flash Gordon.

Alors pour en revenir à ma petite histoire (blogueuse = narcissique ?!), j'ai attendu (de voir si le soufflé retombait), regardé (de loin et de près), observé, adoré, dénigré (pas bien longtemps), re-adoré, jamais été lassée (malgré le nombre incalculable d'articles et de photos à leur sujet)... Et finalement craqué.

J'avais pourtant été largement refroidie par la réceptionniste téléphonique du Printemps, se fendant la gueule comme une vieille hyène aigrie dans le combiné à peine avais-je prononcé les 5 mots (la phrase quoi) fatidiques "baskets compensées Isabel Marant en stock ?". Mais liasse de chèques Kadéos aidant, je m'y suis rendue samedi, la shoes au ventre, bien décidée à les dégoter sur un malentendu (qui tue).

Passage au stand Isabel Marant : fail.... A peine deux bottes se battant en duel.
Montée au rayon Etoile : success... Une seule et unique dernière paire, là posée sur une estrade, dans MA pointure.

Comment résister ? Je ne sais pas.
Le seul moyen était de céder.
Ce que j'ai délicieusement fait.

F.B

mercredi 26 janvier 2011

Mercredi Kusmi & Monoprix


"L'avantage de la nouveauté, c'est qu'elle ne reste jamais neuve. Il y a toujours une nouvelle nouveauté pour faire vieillir la précédente".
Frédéric Beigbeder

Pas de surprise, tout est dans le titre.
Ou presque.

Parce qu'aujourd'hui, c'est mercredi, soit la journée des grand(e)s enfants que nous sommes devenu(e)s, une petite synthèse des deux dernières nouveautés qui m'ont fait craquer s'impose.

Simplement pour le plaisir des yeux, ou pour une virée "mini-shopping" de pause déjeuner (celle-là même où tu te retrouves en bas de l'ascenseur du bureau à 15h, simulant une urgence les bras chargés de paquets... Ahem).

Commençons par le presque dernier-né de la famille Kusmi Tea (presque, car il s'agit d'une ré-édition) (soyons pointus, même en matière thé s'il vous plaît) : Label Impérial.


Inspiré du "sbiten", boisson traditionnelle russe consommée pour affronter les hivers difficiles, il s'agit d'un mélange de thé vert associé à de l'orange, de la cannelle, de la réglisse et des baies d'argousier.

Idéal pour faire le plein d'antioxydants, de vitamine C et d'acides gras exceptionnels et bénéfiques pour la peau (apportés par les baies d'argousier, aussi surnommé l'ananas de Sibérie) (si tu es curieux(se), va donc faire un tour chez Univers Nature).

Impeccable en somme, pour lutter contre la mine de janvier (soit la tête d'un hamster dépressif cocaïné), et ne pas (trop) tomber dans le blues de février qui pointe rapidement son nez.

Et pour parfaire notre programme de nouveautés "anti-j'ai envie de mourir sous la couette", direction Monoprix pour une collection capsule signée Le Mont St Michel, la marque de référence dans l'univers tricot-rock.


Euh... "tricot-rock" ?! Oui, je "néologise", car le styliste de cette maison presque centenaire, Alexandre Milan, a su apporter sa touche personnelle plus Smiths (comprenez rock anglais) que biniou breton.

Les modèles s'inspirent évidemment des rayures marines (rien de révolutionnaire non plus) mais ont le mérite d'être "twistés" par ses soins : le trench par exemple, présente des poches asymétriques.


Je vous laisse découvrir en images quelques extraits, tout en sachant que vous pouvez découvrir l'intégralité en magasin depuis ce matin. Le sac bleu me fait d'ailleurs de l'oeil (et le foulard des appels du pied).

Happy Mercredi.

F.B

lundi 24 janvier 2011

I'm Blue

"Dieu a créé les gens en technicolor. Dieu n'a jamais fait de différence entre un noir, un blanc, un bleu, un vert ou un rose".
Bob Marley

(Titre à ranger dans la catégorie "bide musical qui a tout de même cartonné", souvenez-vous... I'm Blue dabedi dabeda, dabedi dabeda...) (Non, ne me remerciez pas)

1. Tout ça pour introduire un petit look en bleu et noir (ça change du sempiternel "en rouge et noir" en même temps), shooté à l'improviste en rentrant du boulot.

Comme il est docile, comme il est discipliné, ce bleu, bien sage, qui se fond dans le paysage et ne veut pas se faire remarquer.

Est-ce pour ce caractère si consensuel qu'il est devenu la star, la couleur préférée des Européens et des Français et accessoirement celle de ma silhouette du jour ?

Est-ce parce qu'il est bibliquement admis qu'avoir les yeux bleus est un signe de mauvaise vie que j'ai toujours préférée voir cette teinte sur mes pieds, plutôt que près de mes yeux déjà trop "lagoon style" ?

Quoiqu'il en soit, le bleu a tendance à s'incruster dans nos vies vestimentaires et "arty" depuis des décennies (plus précisément depuis le début du XVIIIème siècle, heure de l'invention du bleu de Prusse qui permettra de diversifier les gammes de nuances foncées, et de la diffusion massive de l'indigo des Antilles et d'Amérique Centrale. Parenthèse spéciale "Questions pour un Champion") et n'a pas fini de squatter nos placards.


Le blue denim n'a peut-être jamais eu autant la cote, bleached Balmain or brut surpiqué Chloé.

Alors on ne touche pas à son favorite jean délavé d'été (on le range), on ne revend pas sur Ebay ses sandales en daim bleu klein (on les range elles vaudront le double dès avril) et on ne patiente pas avant d'entourer son petit cou de son foulard indigo (histoire de pouvoir dire que l'on est grave une "beach girl" dans l'âme en plein mois de janvier).

2. Tout ça parce que j'ai retrouvé une paire de bottes flashy en daim, lâchement abandonnées au fin fond de mon shoesing.... Vous vous souvenez la semaine dernière, quand je vous disais que parfois chez moi, TOUT part d'un accessoire, et plus précisément des chaussures... Et bien là, ce fût le cas une énième fois.

A peine retrouvées, il fallait les porter.
Le lendemain même évidemment (ça se saurait si la gente féminine était patiente en matière de fringues) (et en matière de n'importe quoi d'ailleurs).

Sweat/Pull Bérangère Claire, short en jean Chloé, collant Falke, bottes Jonak, collier N2.

Rien de transcendant, mais en bonus vestimentaire, l'incroyable sensation d'égayer le quartier tout gris foncé (et même l'humeur du jour qui se retrouve transformée, sourire niais collé au visage et bleu océan en guise de presque enchantement).

Accompagnée du plaisir de porter le short en jean (habituellement destiné au plein été) sur des collants lainés, et de le re-découvrir version chaleur hivernal, plus thermo-optimal qu'un simple futal.

Je ne vous ai pas révolutionné la fashion du lundi hein, je le sais bien. Mais ça fait tellement du bien de changer ses habitudes et de troquer ses éternelles bottines en cuir grises sur pantalon flare, que l'envie de poser cet écart sur papier virtuel s'est déclaré.

Histoire de conclure ce blue post, et comme promis aussi, voici les résultats du concours Solaris X Stella Cadente : c'est "AnAIS", commentaire n°3 qui remporte sa paire "New Deal" in black, comme elle le désirait (il ne me manque plus que tes coordonnées chère VIP du lundi).

F.B

vendredi 21 janvier 2011

Bonne fée & Concours étoilé

"Visez toujours la lune. Même si vous la manquez, vous atterrirez parmi les étoiles".
Les Brown

J'aime bien jouer les bonnes fées/Mère Noël/very good copine sur ce blog. A chaque concours son lot de mélo, vos commentaires se voient multipliés par dix, et les mots doux qui les accompagnent aussi...

Et y'a pas à dire, everytime, la même mécanique sentimentalo-fonctionnelle opère :

1. ça réchauffe mon petit coeur (en sucre),
2. ça me permet d'avoir l'impression de vous "rendre la pareille", avec un plaisir bien ancrée IRL (in real life, pour les non "geeks" du jour) (et ce, malgré nos échanges trop souvent virtuels).
3. ça m'encourage à me re-casser la tête, et surtout la boîte mail, pour ré-organiser ce type d'animation cadeaux avec certaines marques me sollicitant à ce sujet, et donc de me mo-ti-ver (côté RP, je crois que j'aurais toujours besoin d'un coup de pouce et même de pied (au cul)).

Alors aujourd'hui mes beautés, histoire de fêter dignement ce vendredi, je vous propose de remporter un modèle de sunglasses inédit, signé Stella Cadente pour Solaris.


Stella Cadente (qui signifie "étoile filante" en italien) est une marque à l'image de sa créatrice, Stanislassia Klein, femme protectrice, magique et lumineuse.

Elle définit elle-même ses lignes comme transversales : prêt-à-porter, parfums et champagnes très prisés (partenariats avec Salviati et Swarovski), accessoires divers, ligne home (plaids, coussins, vaisselle), habillages pour de grands joailliers...


Personnellement, je connaissais son univers via deux éléments totalement différents mais tout aussi excitants...

Tout d'abord ses illustrations pour Sephora Girls que j'avais particulièrement appréciées au moment du lancement de la gamme, puis sa maison d'hôtes à Provins que je zieute de temps à autre sur le Net, dans l'espoir secret d'aller essayer l'une des chambres proposées (la suite "Peau d'Âne", le boudoir "Moulin Rouge" ou la salle de bains "Reine des Neiges", that's THE question).

Maison Stella Cadente, Provins, Seine et Marne.

Alléchée j'étais, donc, à l'idée de découvrir son univers féérique appliqué à un domaine pour le moins "banalisé", celui des lunettes de soleil (mise à part des Aviator RayBan, on porte quoi sérieusement ?!).

Et je n'ai pas été déçue la-dessus, ni loin de là, par cette double collection/collaboration.


Déjà, le choix est super large.

Entre des modèles girly et parfois même très "Lady Gaga-isants", des items aux formes plus vintage et coloris "écaille", et des étoiles par dizaine toujours placées à l'endroit adéquat, tout le monde peut s'y retrouver, femme fatale ou enfant, ainsi qu'homme (oui e-ami testostéroné, tu peux jouer) hiphop ou bobo-isant.


J'aime le fait que chaque modèle inspire directement un look vestimentaire d'accompagnement (oui, parfois tout, absolument TOUT part de l'accessoire) (chez moi, en général, ça commence par les pompes).

Cette dernière paire (et donc pas de chaussures, pour une fois) par exemple, me donne immédiatement envie d'enfiler un mini-short en jean, une chemise d'homme (et de préférence du mien directement) blanche et une paire de derby vernies.

Mais à défaut de pouvoir me téléporter sur une plage hawaïenne là maintenant tout de suite, ou d'imaginer seulement mes gambettes un tant soit peu sexy et caramélisées (des jambonneaux blancs oui...), je vais compenser avec l'idée de pouvoir doter un(e) e-chanceux(se) d'un joli cadeau d'hiver au soleil.

Comme toujours (y'a encore des novices dans la salle ?!) il suffit de me laisser un commentaire (charmant), en m'indiquant le modèle de votre choix (et pour vous décider, vous pouvez retrouver l'intégralité de la collection juste ici).

Je préviens aussi (attention WARNING) : le premier qui se la jouera "Oh oui moi j'eux gagner, j'pars dans 15jours à l'Île Maurice ce serait parfait !" sera immolé par la Toile d'araignée. Les autres pourront découvrir sagement (et en silence) les résultats dès lundi.

F.B

mercredi 19 janvier 2011

L'Adresse Régressive


"Rigoler, c'est régresser"
Jacques Sternberg

"Rigoler, c'est régresser". Oui, certes.

Manger aussi parfois.

Alors pour continuer sur ma lancée kidult, mixée à ma passion fooding du moment (j'ai tenté une recette de scones aux pépites de chocolat ce week-end : pas si mauvais, mais je dois vraiment bosser sur le style et la silhouette des mes gâteaux) (qui ressemblent vraiment trop à de mauvais beignets périmés) et surtout pour rester dans la droite lignée des very bons plans à noter (bien trop souvent pour parisiens only, je m'en excuse e-amis provinciaux...), je vous présente l'adresse de ce début d'année : "Le Club des 5" (et je ne parle absolument PAS d'un nouveau club échangiste, je préfère prévenir que guérir) (comprenez cultiver les affres de pervers en goguette du Web).

Halte aux adultes trop mâtures et vieillissants, de ceux qui pensent que "Manger Tue" (que le saumon est transgénique, la viande cancérigène (à lire à ce sujet, le dernier numéro des Inrocks ou celui de VSD) et les bonbons confectionnés avec de la graisse de dauphin) : l'heure est à la nostalgie naïve, et régressive.


Ce restaurant situé en plein coeur des Batignolles, propose un concept d'ambiance et de cuisine autour de l'enfance et de son parfum très Goldorak (et je tiens à préciser qu'un autre restaurant intitulé "Les fils à Maman", créé par les mêmes fondateurs et largement testé par mes soins auparavant, propose également un menu similaire et diablement bon) (des détails sur leur fan page Facebook, juste ici))...


Avec une carte délicieusement "coquillettes-jambon", des Babybel panés, un tiramisu au Kinder, ou encore des rillettes de lapin au Kiri.

Avec un décor fantastiquement so born in the 80's... Je vous laisse juger par vous-mêmes grâce à quelques photos prises à l'aveuglette entre deux drinks et mon hamburger.

Avec des prix attendrissants : déjeuner (entrée, plat, dessert) à 16€50, dîner à la carte (que l'on peut découvrir juste ici). Et des bonbons au moment de l'addition.

Avec un brunch des plus dégrisants (le samedi et le dimanche seulement) et Casimir comme voisin de tablée.


C'est l'Adresse avec un grand A pour les parisiens trentenaires en manque de Dorothée, Farah ou Sophie (ça marche aussi avec Casper, Candy et les Power Rangers).

L'endroit pour biberonner un Manhattan, téléphoner à Mummy, et retrouver Chéri après un meeting de gens (tristes et costumés) au sommet.

Par contre les enfants, pensez à réserver, c'est archi-complet : "Le Club des 5", 57 rue des Batignolles, 75017 Paris. 0153049473.

F.B

mardi 18 janvier 2011

Petites filles tristes, Grands dadais et Autres doudous


"Mon doudou est moins joli qu'autrefois, mais pourtant je l'aime plus qu'avant".
Philippe Lemarcheier

Comme toutes (et tous) (ne vous cachez pas, de toute façon personne ne vous voit), j'ai toujours eu des affaires dites "doudou", "choupi", "cocoon", voir même "fétiches" ou "porte-bonheur".

Du bon vieux jean H&M acheté en 2003 et ayant toujours ce "je ne sais quoi", aux bijoux préférés et surtout dotés d'une valeur sentimentale (et souvent non fiduciaire) tout à fait inestimable, sagement conservés années après années, en passant évidemment par la culotte fétiche en mousseline rose pastel (ça doit marcher aussi pour vos caleçons) (ou non ?!).

Comme certaines (et certains) aussi, j'ai un côté kidult, loin d'un syndrome Peter Pan avéré officiellement, mais pourtant irrémédiablement attirée par des produits très "retour illico au berceau" (vs au bureau).

La vraie maladie moderne (qu'on se le dise) n'est ni l'ESB ni l'OGM. C'est la régression.
Et le découvert bancaire (qui va avec).

Et au rayon des petits items "doudous" pour petits et grands (budgets), si réconfortants en période "d'hivernation", j'ai fait ma sélection :

- Commençons par la méga promo du jour (bah c'est "les soldes" quand même, je me dois de proposer au moins un bon plan porte-monnaie). Je vous propose d'acquérir pour votre petit bout de chou un néo-pyjama chic et choc (rien que ça) pour le prix d'un modèle basique Monoprix (et même encore moins).


La marque : Ce que je voeu.
Le concept : un combo tenue de nuit/déguisement + un conte (dans la langue de son choix).
Au choix : la fée, le pirate, le super-héros ou la princesse.
Les tailles disponibles : 2ans, 4ans, 6ans, 8ans.
Le prix : 20€ tout rond (ridicule n'est-ce-pas ?!).

- Continuons avec une découverte à ranger directement dans la coiffeuse, comprenez à placer du côté des bijoux fantaisies qui font redoutablement envie.

La marque : Violette Van Parys.
Le concept : Décalé. Des pièces rétro, glamour et chic en porcelaine blanche "customisée" par des détails en dentelle, des cristaux ou des phrases "humoristiques".
Au choix : Une broche tête de mort ultra-girly, ou même carrément princesse en devenir, mais aussi des colliers so nostalgiques.
Les prix : entre 30 et 80€.
Le eshop : site officiel et mini-collection disponible sur Yume Store.


- Terminons par un produit déjà culte : le "Gommage ultra riche corps" au beurre de karité (10%) signé L'Occitane. Presque 5 étoiles au crash test Beauté Test (oui les hommes, l'équivalent de ceux pour vos voitures mais version cosméto) et des avis dithyrambiques au sein de la blogosphère beauté, il ne m'en fallait pas plus pour tenter.

La texture : une sorte de crème fouettée, mixée avec des éclats de coque de noix (pour se débarrasser des cellules mortes), douce, soyeuse, et aux grains ni trop gros ni trop fins.
Le parfum : presque aucun mais légèrement "gourmand" quand même.
Les résultats : Effet "cocoon", laisse la peau lisse et ré-hydratée, très agréable en soirée.


- Et finissons (de nous achever) avec un dernier objet pour faire tomber (des coeurs), se faire craquer, et soldé : le body pardi ! Et chez Princesse Tam Tam, royaume des modèles pour ingénues sexy (vous, moi, nous quoi).

Les items régressivo-craquants : "Colombe" aux petits nuages rêveurs (et transparents évidemment) et "Swing" aux mini-étoiles destinés aux songeurs.
Les prix : 64€ (-20%) et 56€ (-30%).


Charmé(e)s ?

F.B