jeudi 30 septembre 2010
My own Levi's
mardi 28 septembre 2010
Who's Next ?
(Bonjour, je travaille 50h/semaine, nous sommes au mois de septembre, et j'ai déjà un mois de retard)
(Et oui cette semaine, c'est Fashion Week, et non Who's Next)
(Le Who's Next, c'est début septembre, et non fin septembre)
(Pour les retardataires, c'est donc bonheur. Pour les autres, veuillez accepter mes plus saintes fashion excuses)
La vraie, l'unique et seule raison pour laquelle j'allais une énième fois mettre les pieds dans ce salon aux relents de Dinosaure de la Mode (ça la fout mal pour un salon censé dénicher les futurs créateurs "tendances" de demain) est que j'y ai tout de même repéré par le passé, quelques-unes de mes it marques d'aujourd'hui.
(Malgré l'état apathique dans lequel cet événement vous met) (il faut savoir qu'après 5 ou 6 allées d'affilée, votre physique et psychisme sera proche d'un djeun's ivrogné entre 5 et 6 heures du mat' justement).
(Sinon, oui, je crois que ce post sera tout en parenthèse) (j'amuse comme je peux)
Sauf que cette année, cerise sur l'invitation, je me le suis fait justement voler le dit carton.
En toute impunité, sur mon bureau, à l'heure de la pause déjeuner (y'a plus de confiance nulle part m'ssieurs dames).
Autant vous dire un coup du sort, pour une blogueuse déjà pas si motivée à l'idée de se traîner Porte de Versailles un samedi après-midi ET de se balader en new compensées Minimarket de 12cm (qu'il fallait absolument mettre ce jour-là) pour découvrir une simple "redite", comprenez un paysage tendance proche de celui présenté l'année précédente (j'mettais renseignée, vous pensez... Et les critiques négatives allaient bon train).
Histoire de ne pas passer définitivement dans l'oubli fashion, j'ai décidé malgré tout de l'évoquer, au gré de deux découvertes datées 2009 : Laurence Doligé et By Malène Birger.
La première est à l'origine des lignes Madame à Paris, et a décidé de fonder sa propre griffe après 12 ans de bons et loyaux services. La seconde est diplômée de la Denmark's Design school, et a débuté à Dubaï en 2008 avant de (presque) conquérir le monde.
L'une a souhaité créer une ligne à son image, tel un dressing personnel d'une parisienne à la page (on retrouvera des pièces phares comme le jean, le chino, la veste d'homme ou militaire). L'autre s'inspire directement des 50's & 60's, couleurs et graphismes en pagaille au rendez-vous (mais aussi des modèles purs avec un côté presque Baby Doll qui sont ceux me plaisant particulièrement) (moi j'dis ça j'dis rien).
Les items qui me font craquer chez Laurence ?
... Son sweat oversize esprit military (déjà adopté, je le confesse) (idéal en look détente legging noir bien opaque + Converse + Foulard Paul Smith).
... Ses ceintures glitter-cloutées pour "vivifier" une silhouette basique (sur un classico jean/tee-shirt blanc, ça l'fait en gros).
... Mais aussi ses broches craquantes et ses foulards pile-poil dans l'air du temps sans tomber dans la fast fashion.
Les modèles qui me font vibrer chez Malène ?
... Ce pull vu sur Audrey. Pas encore commandé, mais je suis à quelques clics, for sure (or for the Best... And the Worst).
Photo : Sushi&Pedro
... Ces ballerines jaunes pas vraiment de saison (c'est déjà l'hiver par ici) mais so "mignon, mignon, mignon, mignon" (faire René La Taupe dans un billet. Check).
Irrésistible finalement ce Who's Next périmé.
F.B
Illustration : Flickr
Marque Laurence Doligé disponible sur Vitrines Parisiennes
Marque By Marlène Birger disponible sur Place des Tendances
vendredi 24 septembre 2010
L'Automne et ses Merveilles
Toute la ligne Burberry Beauty est disponible sur Burberry.com ou aux Galeries Lafayette.
Les packagings sont classieux et s’inspirent du « check » emblématique, ils bénéficient d’un magnétisme aimanté pour la protection du produit en toutes circonstances. Les lignes épurées et modernes bouleversent un peu les codes habituels en cosmétique, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Le rendu une fois appliqué est loin d'être décevant : le gloss est satiné et confortable sans dessécher, quant au "blush", il s'applique sans traces apparentes et rend un coloris très soft, loin des poudres habituellement trop abricotées.
De quoi arborer une mine automnale fraîche sans tomber dans l'esprit dévastateur de Toussaint et ses no-make up days...
... Et sans pour autant oublier de prolonger l'effet boostant par une pause goûter qui le sera tout autant (être belle, oui, et se sentir bien aussi).
A rajouter dans votre shoppinglist du mois d'octobre : quelques Minis Rochers Suchard (déculpabilisant et au rapport couche croustillante/ganache fondante optimal) (et croyez-moi j'en ai bouffé du Rocher) et le dernier-né de la famille Kusmi Tea, à mi-chemin entre leur blockbuster "Detox" (qui existe désormais en sachets) (more pratique for the office) et des thés africains magiquement épicés.
Divin mélange de maté, thé vert et épices (cannelle, gingembre, cardamone), je suis devenue addict dès la première prise. En complément/remplacement de mon RedBull Light so mauvais pour la santé, il s'avère parfait; et sachez que cette mixture inédite sera disponible en ligne dès le 30/09.
Et comme une femme se doit de paraître reposée, en forme ET manucurée, voici une idée qui avait germé... Pour finir directement au coin des mauvais plans over-facturés.
Le point (de non retour) en question ? Le Minx Nail Bar installé chez Colette depuis le début de l'été. A 40€ la pose (il s'agit de vernis autocollant) (je vous en avais parlé juste ici), et une tenue n'ayant pas dépassée les 5 jours, je dis non, et même gare à l'arnaque !
Malgré un catalogue de choix alléchant et kitchouille à mort (dans le bon sens du terme), je me suis rapidement ennuyée avec mes fleurettes aux ongles et j'ai encore plus rapidement été exaspérée par les détails décollés aux coins de chaque doigt.
La course au "it-beauty bar" ne passera pas par moi la prochaine fois. Et attention, suis remontée à bloc, maquillage au top et théine en stock.
F.B
mercredi 22 septembre 2010
ValentineTags
lundi 20 septembre 2010
Colonel Moutarde
jeudi 16 septembre 2010
I want to see you on my screen, fashion
mardi 14 septembre 2010
Shearling Shoes
Mais vivre la mode n'est pas chose aisée, surtout lorsque nos papesses internationales (entendez Anna Wintour = gourou diabolique) (t'as qu'à voir mon nouveau tee-shirt) érigent la socquette dentelle, le cycliste ou le sabot comme attributs géniaux.
Heureusement, fidèles apôtres, elles nous servent cet hiver un "it truc" bien chaud, et donc bien de saison : le mouton (euh, non, je ne causais pas Ramadan en parlant saisonnalité).
Sauf qu'attention, on ne dit pas "mouton", on dit "shearling". C'est plus chic et plus choc (vous verrez, ça interpelle toujours son audience de dire "shearling", ça fait pointu) (turlututu chapeau pointu) (ok, je sors).
Matière star et tendance reconnue à la vue de nos vitrines blindées de bombardiers aviateurs en peau retournée ou de boots caramel fourrés. Sans vous parler des tonnes de poils frisés croisés récemment sur papier glacé.
So... Forcément j'ai cédé (vu l'ampleur du phénomène, il ne vous reste plus qu'à trouver le modèle qui vous convient et remercier la bestiole n°46, morte pour la mode) (je vous aurais prévenues), ASOS à portée de main et de CB.
Boots ASOS
Mais ce premier attentat à la pudeur animalière ne me donne que des envies d'encore, et d'encore plus fort... Notamment avec cette veste Helmut Lang à se damner (si, moi je me damne devant tant de beauté) repérée chez Net-à-porter (note à moi-même : arrêter de traîner sur Net-à-porter alors que je ne peux me payer qu'un porte-clés) (et encore, faut voir lequel).
F.B