dimanche 30 mars 2014

Mon K-Way

"C'est très dangereux le K-Way parce que lorsque l'on tourne la tête, on se retrouve coincé dans la capuche".
Dany Boon
Mise à l'honneur d'une pièce à haute teneur en souvenirs.
Des réminiscences d'enfance, de colonies, de voyages scolaires à Londres, de balades en forêt et de virées en bord de mer en mode automne/hiver..
Autant dire que mes 48h sous la météo ultra-cyclothymique du Havre s'apparentaient donc au crash test idéal pour ce néo K-Way imprimé !

J'ai opté pour le modèle MABELLE et sa coupe oversized, issu de la collaboration entre cet incontournable coupe-vent et la marque Maje. Un must à glisser dans sa pochette zippée au fond de son sac (et non en banane) (l'enfance c'est terminé, la beauf attitude à mettre de côté), un imparable à toute situation, une véritable moderie pragmatique (oui, pour une fois ça se souligne).

K-Way MAJE -
Pullover ACANTHE -
Slim TOPSHOP -
Sneakers NIKE -
Bag KOOKAÏ -

jeudi 27 mars 2014

Un Week-End au Havre

"Quand de Deauville on voit Le Havre, c'est qu'il va pleuvoir. Quand on ne le voit pas, c'est qu'il pleut déjà".
Tristan Bernard
Là comme ça, je me rends bien compte que mon titre n'est pas vraiment ce que l'on pourrait qualifier de "vendeur"... C'est d'ailleurs la première réflexion que je me suis faite lorsque j'ai reçu cette invitation de la part des hôteliers Ibis Styles, l'objet du mail ne relevant pas à proprement parler de l'ordre de la destination fantasme.

Et pourtant, je n'ai vraiment pas regretté ces 48h au Havre en très très bonne compagnie (ça joue aussi) (je veux bien entendu parler des blogueuses Sophie aka "La Dénicheuse" et Sheily aka "Paris, Maman et Moi"). Vraiment PAS (et si vous vous demandez pourquoi, suivez donc un peu tout ça... Enfin la suite quoi !).


Nous avons d'abord pris nos quartiers dans nos chambres fifties de l'hôtel Auguste Perret, charmées par la non standardisation des lieux et tous les petits détails, accessoires et meubles vintage chinés par le propriétaire des lieux : des rideaux aux formes géométriques et motifs rétro, en passant par quelques rééditions branchées et beaucoup de bibelots vintage comme de superbes scandiphone dans chaque chambre.

Première surprise à l'actif du week-end : nous sommes face à un 3 étoiles vraiment +++ ! 
Un lit presque comme au Sofitel, avec leur combiné matelas+topper breveté "Sweet Bed" (j'ai d'ailleurs appris que l'on pouvait se les procurer juste ici) (j'économise depuis)...
Un accès wifi gratuit et illimité...
Un toit terrasse (accessible depuis ma chambre) des plus charmants...
Un frigo à disposition dans toutes les chambres...
Une salle de bains en faïence de métro tip top...
Un petit-déjeuner buffet ultra-complet dans un décor années 50 à souhait...

Bref, que de très bons services à portée de budget. L'occasion je trouve, de découvrir certaines villes d'Europe et d'ailleurs (oui, parce qu'il y a tout de même 214 Ibis Styles dans le monde) en profitant d'un décor singulier (loin de certains hôtels 4 étoiles parfois insipides), d'une qualité uniformisée (notamment leurs supers lits si vous suivez...), d'une offre tout compris et adaptée aux familles, le tout pour un petit budget.


Pour déjeuner, nous avons pris la direction du centre ville, optant pour l'une des adresses girly du quartier : Le Bistrot Grenadine

Un lieu idéal pour bruncher avec ou sans enfants, profiter de la bonne humeur ambiante et surtout des bons petits plats maison ultra-frais comme on en redemanderait (les sablés au chocolats sortaient tout juste du four, c'était juste divin).
  

Pour se plonger totalement dans le mood 50's, nous avons visité l'appartement témoin d'Auguste Perret. Malgré ma réticence habituelle pour ce type d'incontournable touristique, j'ai été absorbée par ces pièces, ces reconstitutions, ce come back dans la routine de l'époque.

Un saut de trente minutes dans le passé, que je ne saurais que trop vous conseiller.


Ce qui a suivi demeure même avec le recul le meilleur moment du week-end : la pause salon de thé au Chat Bleu, coup de coeur instantané et partagé. Un lieu atypique fait de bric et de broc, au charme fou, proposant à la fois une carte goûter (et le meilleur gâteau au chocolat et fêve tonka jamais mangé) et un menu tapas/vins pour les débuts de soirée. 

Ici on peut tout acheter (épicerie, vaisselle et même mobilier), et on déguste un thé des Moines confortablement installé dans un fauteuil moelleux face au piano et au toit terrasse juste magique au moment du coucher de soleil.

Un 10/10 pour Le Chat Bleu, et un bonus pour son soutien à la blogueuse illustratrice de talent Mary Gribouille !
 

Nous poursuivons avec notre guide passionnée, entre le triangle monumental de la ville (un drôle de parallèle avec notre triangle d'or parisien), l'église Saint-Joseph absolument monumentale, la Maison du Patrimoine et le MuMa, musée d'art moderne d'André Malraux (là encore, drôle de parallèle avec le célèbre MoMa new-yorkais) (les Havrais aiment les jeux de mots, et ça, je valide forcément).


Dernier conseil adresse avec une autre bonne surprise dominicale : la pause plancha à l'Etable Gourmande. Un endroit chaleureux et une nouvelle fois "goûteux" avec cochonnaille, fromages et rillettes de poisson maison au programme (on ne compte plus les calories dans le Nord) (et ça c'est drôlement chouette). 

À noter si vous êtes de passage à LH (oui, on dit LH comme on dit LA) (c'est ça la touche Havraise).


Voilà pour terminer ce bloc notes "Spécial Havre" en espérant avoir réussi à bousculer vos préjugés comme j'ai balayé les miens le week-end dernier !

Havre a Good Day les e-ami(e)s, je vous laisse avec la mer (parce que c'est toujours bon de voir la mer), un photomaton de gare à l'an-cien-ne (!!!) (parce que c'est toujours bon d'avoir 12 ans), et une promotion exclusive rien que pour vous : une remise de 20% pour une nuit et 40% pour deux nuits valable jusqu'au 30 avril 2014 (parce que c'est toujours bon d'avoir une réduction).


 

mercredi 26 mars 2014

Burger Sweater

"Là où les hindous voient une vache sacrée, d'autres voient un gros hamburger".
Eduardo Hughes Galeano
Comment résister à l'appel d'un cheeseburger ? C'est un peu comme Oscar Wilde disait, autant ne pas chercher à y résister, et y céder de suite.
Comment résister à l'appel d'un sweater à motif cheeseburger ?! C'est un peu la même recette.

En food comme en fashion, je ne suis qu'un être faible.
Ne comptant ni ses calories, ni ses moderies. 
Faites donc place au Big Mac Deluxe look de ce mercredi.

Coat ZARA -
Sweater ELEVEN PARIS -
Shirt ASOS -
Slim TOPSHOP -
Boots ZARA -
Bag CELINE -

dimanche 23 mars 2014

Jupe-Short

"Un petit verre de vin d'Alsace, c'est comme une robe, une jupe légère, une fleur de printemps, c'est le rayon de soleil qui égaye la vie".
Christian Dior
Pragmatiquement prénommée jupe-short, mais aussi skort chez les plus initié(e)s (contraction de skirt et short en anglais), ou encore faussement jupe-culotte chez les moins fashion d'entre-nous... Cette petite chose en tissu (ou en cuir) semble s'imposer dans les rayons depuis l'été dernier, mignonnerie et praticité pour arguments ultra-validés et appréciés.  

Celle du jour vient de chez l'espagnol (qui en propose DES TAS) (phénomène massmarket oblige), et arbore un joli bleu layette plutôt chouette pour attaquer les beaux jours en douceur et en couleur... Alors même si je m'impatiente de vous la présenter sans collants, sans bottes, et sans blouson en cuir, je tente de me satisfaire de cette version de fin d'hiver ! 

Leather Jacket ONE STEP -
Short/Skirt ZARA -
Sweater H&M DIVIDED -
Boots SEE BY CHLOE -
Clutch ETSY -