"Imite le moins possible les hommes dans leur énigmatique maladie de faire des noeuds".
René Char
J'ai mis un "bis" dans le titre.
J'aurais plutôt dû inscrire (on dirait que je taille les mots dans la pierre limite) (allo, la blogueuse tape sur un clavier elle ne sculpte pas sur pixel) un "etc", tant ma carrière de récidiviste du noeud commencerait même à faire de l'ombre à mon vrai profil Linkedin.
Que voulez-vous, nunuche que j'aime être (et surtout faire croire que je suis), j'ai rapidement constaté que...
1. Ça permettait de tenir en laisse la mèche du côté, trop souvent rebelle et jamais positionnée comme souhaité).
2. Ça devenait ainsi le truc "anti-rideau", beaucoup plus choli qu'une barrette ou pince Monoprix (même si ça m'arrive aussi) (n'ayant pas réussi à mettre la main sur le personal brusher quotidien d'Eva) (Longoria, of course).
3. Ça faisait en plus pas mal parler les filles, attirées par la "girlytude" frontale de la chose, tout comme les garçons, diablement intrigués par cet accessoire d'un nouveau genre, trop "petite fille sage" pour être vrai.
Un gadget totalement mixte et mixable, donc.
Du noeud-papillon au noeud-noeud de Cendrillon adulte, il n'y avait donc qu'un pas (sachez-le, ne passez pas à côté).
Etant donné que j'ai utilisé pas moins de 6 "ça" en moins de 9 phrases, 11 verbes ou auxiliaires être/avoir dans (malheureusement) la même quantité de mots, je rends mon tablier de mauvaise e-écrivaine (Pardon my Bescherelle) et m'en vais potasser le dico des syno, syno, synonymes (ouais bon ça va, c'était pour la rime) (et bim, reprenez un "ça" et un"c'était" supplémentaires pour la route).
Quand est-ce que je pars me ressourcer en vocabulaire et crème solaire déjà ?!
F.B
René Char
J'ai mis un "bis" dans le titre.
J'aurais plutôt dû inscrire (on dirait que je taille les mots dans la pierre limite) (allo, la blogueuse tape sur un clavier elle ne sculpte pas sur pixel) un "etc", tant ma carrière de récidiviste du noeud commencerait même à faire de l'ombre à mon vrai profil Linkedin.
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Tiens, souvenez-vous, ça (le noeud-noeud... ne me quitte pas), c'était en mars 2009.
Ça, hier déjà.
Et bim, ça, aujourd'hui encore, 3 ans et des it-bags plus tard, fin juillet 2012 (je re-précise alors que c'est noté au-dessus du billet, ayant furieusement tendance à me retrouver paumée météorologiquement et temporairement parlant ces derniers temps) (une vraie lubie calendaire, comme les p'tits vieux).
Que voulez-vous, nunuche que j'aime être (et surtout faire croire que je suis), j'ai rapidement constaté que...
1. Ça permettait de tenir en laisse la mèche du côté, trop souvent rebelle et jamais positionnée comme souhaité).
2. Ça devenait ainsi le truc "anti-rideau", beaucoup plus choli qu'une barrette ou pince Monoprix (même si ça m'arrive aussi) (n'ayant pas réussi à mettre la main sur le personal brusher quotidien d'Eva) (Longoria, of course).
3. Ça faisait en plus pas mal parler les filles, attirées par la "girlytude" frontale de la chose, tout comme les garçons, diablement intrigués par cet accessoire d'un nouveau genre, trop "petite fille sage" pour être vrai.
Un gadget totalement mixte et mixable, donc.
Du noeud-papillon au noeud-noeud de Cendrillon adulte, il n'y avait donc qu'un pas (sachez-le, ne passez pas à côté).
Etant donné que j'ai utilisé pas moins de 6 "ça" en moins de 9 phrases, 11 verbes ou auxiliaires être/avoir dans (malheureusement) la même quantité de mots, je rends mon tablier de mauvaise e-écrivaine (Pardon my Bescherelle) et m'en vais potasser le dico des syno, syno, synonymes (ouais bon ça va, c'était pour la rime) (et bim, reprenez un "ça" et un"c'était" supplémentaires pour la route).
Quand est-ce que je pars me ressourcer en vocabulaire et crème solaire déjà ?!
F.B