jeudi 28 janvier 2010

Baskets pour CSP+

"Le sport, activité noble qui, à l'instar du rire, de la philatélie, de la cuisine au bain-marie et du cybersexe, permet à l'humain de dépasser son animalité".
Jean Dion

Si à l'origine, des baskets, je n'en portais presque que pour l'EPS, aujourd'hui je les collectionne et les multiplie sans pour autant être le reine des génuflexions.

Je m'explique.

Acheter des chaussures de sport pour me traîner au Waou, je m'en fous.

Acheter des chaussures de sport pour ne surtout pas en faire, j'adhère.

Et les marketeux, eux, l'ont bien saisi cet insight consommateur (le jargon qui va avec, je l'ai bien saisi aussi) : la mode et le sport n'ont jamais été aussi bons copains et les partenariats créateurs/annonceurs pleuvent.

Cette stratégie dite "win-win" permet ainsi aux grandes marques de sport de redorer leurs blasons grâce à l'image attractive et hype de jeunes créateurs et de recruter un tout nouveau public, moins athlète et plus branché.

Pas moins de trois signatures déjà ont prêté leur nom et leur crayon, rien que pour la marque Puma. En mars dernier avec YSL (rien que ça), ils revisitent le mocassin sous forme de baskets montantes pour hommes destinées à la ville.



Durant l'été, Puma a également dessiné une ligne de baskets extravagantes et flashy pour Sergio Rossi, et a une nouvelle fois collaboré avec le chausseur italien pour dessiner une ligne de sneakers sages et élégantes pour hommes à la rentrée.


Un vrai coup de coeur que j'ai pu admirer sur les jolis pieds en forme de knacki de ma chérie E. avant de tenter de les lui piquer forcément avec une taille 38 en commun...

On continue ce panorama des nouvelles "sketbas" avec la maison Céline qui travaille depuis deux ans avec Feiyue.

Funky, cette collaboration insuffle un vent de fraicheur au sein de la marque, réputée pour son côté souvent trop lisse. Easy to wear, idéale avec un jean ou un short, ces sneakers sont devenues les must-have de l'été 2009, portées par 120 chanceuses dans le monde.

De son côté, Asics, s’associant avec la boutique japonaise Gettry pour créer une paire de baskets à l’effigie de la junk food, tourne en dérision son slogan « Un esprit sain dans un corps sain ». De cette idée audacieuse et amusante résulte une sneaker très "BigMac", fidèle au code couleur du hamburger.


Gola, quant à lui, se paye les services de Christian Lacroix et du graphiste trendy du moment, eBoy.

Le créateur a ainsi imaginé quatre modèles de sneakers mixant baroque et modernité, inspirés des codes de sa maison de couture. Déclinées en quatre tons, les baskets sont habillées de broderies aux allures anciennes et de motifs évoquant les capes portées par les toreros.


En parallèle, influencé par la culture pop, les jeux d’ordinateurs, les robots et les Lego, c’est sans surprise qu’eBoy a imaginé pour les chaussures Gola des designs imprimés et colorés.

Baskets basses pixélisées, sneakers hautes à semelles rose et à lacets jaunes ou encore bottes lacées et imprimées, elles étaient destinées à une clientèle japonaise jeune et tendance, mais l’Europe a finalement succombé à cette gamme.


Dernier partenariat en date (et pas des moindres).

Plus fashion que jamais, Reebok créé la surprise lors du défilé Armani Automne-Hiver 2010 qui a eu lieu à Milan il y a quelques jours.

La trentaine de mannequins vêtus uniquement d’un slip couleur chair et des baskets Armani x Reebok a fait sensation. Tendance, glamour et sportwear, les deux lignes seront commercialisées à partir du mois de juillet.


Moi qui ne jure habituellement que par mes Nike (Dunk majoritairement, déjà 5 paires à mon actif), je vais peut-être changer d'avis (et pour les Sergio Rossi).

F.B

Edit : Grâce à Loren de TrendyWorkshop, je viens de découvrir le modèle Nike X Tiffany, une pure merveille !

lundi 25 janvier 2010

Shu Shu


"Pensée d'avril - Ce qui fait la beauté d'un rosier fait la laideur d'une femme, avoir beaucoup de boutons".
Victor Hugo

En ce moment, je me révèle branchée "cosméto". Telle une esthéticienne en manque de formation ou une beauty addict en perte de vitesse côté détox Sephora, je scrute le moindre article ou dossier beauté en quête du produit parfait.

Quête éternelle de la crème magique... C'est d'un classique (franchement).

Banal comme recherche du Saint-Graal hydratant, mais plutôt urgent, car je débute 2010 acnéique pulluleuse, comédogène, sébumatorette.

A chaque jour son nouveau spot (et je ne vous cause pas plongée ou ski nautique, plutôt alcool à 90° qui pique) et sa nouvelle peine (1h de frottage Clinique la veille pour 0 résultats au réveil). Trop de stress ? Trop d'hormones de merde ? Trop de chocolat ? Je ne sais pas, mais en tout cas, c'est tout un tracas croyez-moi.

Tandis que Cindy Lopez (oui, la blonde bisexuelle un peu grasse et très vulgaire de l'émission Secret Story) tente de sortir sa propre ligne de produits de beauté au lait d'ânesse (dérivée de la fameuse strip-douche qui a fait le buzz), je tente personnellement de trouver une réponse à mes questions boutons.


Après quelques tests pas top concluants (il faut bien l'avouer même si ça fait mal au porte-monnaie) de la ligne Effaclar de la marque La Roche Posay et la base comblante-lissante Minute chez Clarins, je découvre (enfin) deux gammes plutôt convaincantes.

(Roulement de tambour)

Il s'agit de l'huile démaquillante clarifiante Shu Uemura et de la crème hydratante anti-imperfections Vichy Normaderm.


Le produit japonisant est surprenant : application en deux temps, d'abord sur peau sèche, puis émulsion à l'eau et rinçage complet. Un fini doux et légèrement soyeux hyper agréable et une odeur carrément venue d'ailleurs. Pour cette dernière année beauté, c'est mon big coup de coeur.

Le modèle plus "para-pharmaceutique" est motivant : spécialement conçu pour les peaux adultes (c'est pas du Biactol agressif et qui pue pour ados CSP-), cette crème sans odeur (ou presque) semble efficace (après seulement une petite semaine d'essai) contre les excès de points noirs et l'utilisation abusive de soins comédogènes ou plein de paraben.

Vous l'aurez compris, mon chouchou c'est Shu Shu (Uemura pour le dernier rang n'ayant pas saisi mon jeu de mot pourri du lundi).

F.B

dimanche 24 janvier 2010

New Doudou pour New MacBook


"L'ordinateur est un appareil sophistiqué auquel on fait porter une housse la nuit en cas de poussière, et le chapeau durant la journée en cas d'erreur".
Philippe Bouvard

C'est dimanche, le VBT day (comprenez, very bad trip day) de la semaine, alors soyons concis (et peu précis) pour éradiquer l'ennui et tenter (quand même) une sortie. Et pour changer (un peu) des chiffons, causons accessoire de "geekette".

La "geekette" évolue généralement dans un univers plutôt masculin malgré son apparence souvent girly (parfois même très sexy manga girl) et s'intéresse à tout ce qui est lié aux nouvelles technologies, ne se déplace jamais sans son computer, iPod et hardware. Et un peu "geekette" je suis.

Pas branchée technologie pure, mais transcendée par une clé USB JCDC (Jean-Charles de Castelbajac pour les nuls du jour) en édition limitée.

Pas affolée par Google Chrome (toujours pas compris leur campagne de pub d'ailleurs), mais toujours ravie de pouvoir "shopper" from my home sweet home.

Pas attirée par l'attirail du nerd complet, mais excitée à l'idée de vous présenter ma nouvelle trouvaille presque fashion pour réchauffer mon ordinateur.

Et oui, let's introduce my new housse d'ordi, (presque) digne de mon new MacBook Pro (tellement beau). Dénichée au Publicis Drugstore, soldée (grâce à la carte magique -10% de ma BFF) et donc immédiatement adoptée.

Marque milanaise inconnue au bataillon : Pijama.


Son site : ultra-simple tout en restant sympa, et même la possibilité de commander online.
Son concept : des housses pour tous nos accessoires high-tech (ordis, caméras, iPod, lecteurs dvd portables, etc) aux imprimés vintage très 70's, ultra-rembourrées et toute "doudou", simplement fermées par un velcro.


J'ai opté pour le modèle "pied-de-poule" trouvant son côté modeux irrésistible (forcément) et la matière vraiment canon.


Au moins, c'est plutôt rigolo dans mon big sac à main et ça protège mon nouveau bien (le plus précieux).

Au pire, ça fait que je cumule deux tares, fashion et "geekerie" (et bah tanpis).

F.B

vendredi 22 janvier 2010

Késako Bandeau

"La connaisance tue l'action, pour agir il faut que les yeux se voilent d'un bandeau d'illusion".
Friedrich Nietzsche

Le bandeau (oui, ce morceau de jersey pratique mais franchement pas coquet) fait son come back (oui, lui aussi). Dans une version moins "sporty" et beaucoup plus "vamp' en folie" genre Dita en début de mois.

A savoir que la lingerie, a priori pas si sexy, sort de l'ombre et veut son heure de gloire façon Madonna époque "Blonde Ambition" ! Toutes les exhibitions seront autorisées (à l'exception de la maxi-culotte montante (réservée à Lady Gaga)), notamment le bandeau qui est notre ssssssssssssujet du jour.

Mis à l'honneur car il est sans doute l'interprétation la plus subtile de la tendance "Dessus-Dessous". Après la nuisette-robe, le body dentelle, c'est au tour du bandeau de sortir de son vestiaire de fille.

Mais attention à ne pas virer pin-up bas de gamme ou "fat boudoir", cet accessoire poids-plume qui peut donner le "la" à une tenue, peut aussi vous faire passer pour un boudin mal sapé au cas où le chromosome Heidi Klum n'ait pas été au rendez-vous quand vous êtes nés.

Le dilemme est donc de conserver l'esprit dénudé sans pour autant tomber dans une sexyness de mauvaise fortune.

Un fashion dépannage s'impose pour éviter le fashion faux pas et l'effet "no Wonderbra":

A associer (sans trop de prise de tête) à :

- Des tee-shirts destroy, déchirés ou lacérés.
- Des décolletés loose trop over-plongeants.
- Des blouses nude ou transparentes.
- Des chemises savamment déboutonnées et nouées.


A associer (sans états d'âme sur les réflexions de tassepépotentielles à la clé) :

- Une veste de blazer grande ouverte.
- Un carrot pant ou un sarouel taille haute.
- Une combinaison en col très V.
Grazia nous conseille même de tenter une association : chemise vichy nouée à la B.B + boyfriend jean reboulé + paire de mocassins en cuir + bandeau dentelle apparent. Charlotte Gainsbourg se laisse même aller au total look Balenciaga en smocking méga-ouvert (même pas peur). Chloé Sévigny, elle, se plante (et royalement), façon bitchy.


J'ai personnellement opté pour un modèle prénommé "Lucky" chez Princesse TamTam qui s'avère à l'usage être le soutien-gorge idéal: maintien, confort, allure, le tiercé gagnant de nos nénés.

Acheté en noir par my Mister Big, racheté le lendemain en beige par mes soins, je suis devenue addict à cette pièce alliant coolitude et sexytude. En attendant de pouvoir la glisser sous un large tee blanc transparent, je teste son effet @home où son potentiel est maintenant partagé.

A croire que les épaules dénudées font l'unanimité.

F.B

mercredi 20 janvier 2010

Alerte Infos

"Tout honnête que soit, il n'est jamais bon d'apporter de fâcheuses nouvelles... Les mauvaises nouvelles, laissez-les s'annoncer elles-mêmes, à l'instant qu'elles nous touchent".
William Shakespeare

"Alerte Infos". J'étais même à la limite d'écrire "Alerte Enlèvement" tellement j'ai le coeur fashion qui palpite et la CB qui s'agite (oui, toute seule dans mon portefeuille, je l'entends s'impatienter)...

... Et si je mets un "s" à "Infos", c'est parce qu'il s'agit d'une good news compte triple (oui, j'ai été élevé aux Bescherelle et Scrabble) !

- Good news number One : la vente privée exceptionnelle Hermès. Vous l'avez sans doute lue dans votre Newsletter MyLittleParis ou chez Marie, mais je tenais à relayer l'information ici, quitte à faire dans la redite.

Vous pouvez donc vous presser au Palais des Congrès, sans carton d'invitation, mais avec quelques munitions (pensez thermos, gâteaux secs et Hollywood gums), du 20 au 23 janvier de 9h à 18h (Hall Neuilly).


- Good news number Two : le défilé Etam Lingerie au Ritz. Vous avez certainement envie de venir vous joindre au gratin parisien le 25 janvier pour assister au sexy runway en présence de Natalia Vodianova et de nombreux people.


Vous pouvez donc tenter de remporter votre ticket d'entrée sur le site, la page Facebook ou le compte Twitter dédiés (ou la multiplication des chances de gagner).

- Good news number Three : le magazine Muteen organise un concours pour "caster" sa cover girl du mois de juin. Vous êtes un peu fashionista, vous aimez New Look, le partenaire exclusif de cette opération, et vous avez envie d'être un peu la star de l'été sur papier glacé, il faut maintenant cliquer.


De quoi croire à un vrai mercredi pour enfants, cadeaux et goûter pain au lait à la clé.

F.B

lundi 18 janvier 2010

Bibi Combi

"Le faux est susceptible d'une infinité de combinaisons; mais la vérité n'a qu'une manière d'être".
Jean-Jacques Rousseau

Tenue confort d'hiver mais aussi point clé de l'été, la combi est une petite chose à la fois problématique et désirable, attractive mais pleine de vices.

Réapparue discrètement en 2008, massivement en 2009 et de nouveau planifiée pour 2010 grâce à Stella McCartney, Vanessa Bruno, Isabel Marant ou même Barbara Bui. Alors malgré un référent imaginaire commun plus proche de la maxi-grenouillère ou de la combi de ski, tentons de l'imaginer désinvolte mais très étudiée, haute perchée mais jamais négligée.

Les derniers modèles sur papier glacé ne peuvent qu'allécher, de Paul&Joe Sister en passant par BCBG et même H&M.


Le tout est d'éviter le look Mike Delfinomécano ou détenu d'Alcatraz. Contourner le sempiternel problème de l'entrejambe "baillant" et de la pause pipi aussi compliqué qu'avec un body. Et assumer le côté pyjama des villes, voir même "pyjama working".

Parce qu'un peu de fashion ne fait pas de mal.

Parce qu'un peu d'excentricité va pulser cette fin de janvier.

Parce que l'hiver n'a pas tué notre potentiel.

Chez moi (comprenez dans ma cervelle de moineau modeuse), deux modèles n'ont cessé de tournicoter, détruire ce qu'il restait de mon apriori sur les combis "révélatrices inconditionnelles de cellulite apparente ou de couches adipeuses" et sur la nécessité de mesurer moins d'1m70 pour éviter le côté coton-tige macrobiotique.

Celui-ci from American Vintage (une nouvelle fois pour les nuls du fond, la marque qui n'a d'américain que le nom, une petite merveille from France) :


Et cette beauté chez Agnès.B :


Après 3 mois de réflexion (si, si, quand même, faut prendre le temps pour certaines décisions dans la vie) et un colis surprise, me voici armée d'une combinaison "spécial blogging" d'enfer, spécial long week-end d'hiver...

Et sans surprise, c'est bien du modèle AV dont je parle, que je porte uniquement à la maison avec mes fameux chaussons.

Après 6 semaines de possession de la chose en question, je n'ai toujours pas osé la sortir en version outdoor, comme Coline (c'est quand même plus mignon la combinaison sur un gabarit plus petit non ?!).


Sous ses airs de Babygro un "chouille" clownesque, cette pièce ultra-confort a visiblement certains torts, mais sans stopper sa désirabilité, ni son indéniable beauté, bien portée.

F.B

mercredi 13 janvier 2010

mardi 12 janvier 2010

In Style Papers

"La publicité c'est la gloire du riche; la gloire c'est la publicité du pauvre".
Auguste Detoeuf


Non, je ne m'étalerai pas.
Non, je n'étayerai pas.
Non, je ne me la pète pas.


En kiosque depuis le 09/01.

F.B

lundi 11 janvier 2010

Promis, juré, pas craché


"Certaines personnes font des promesses pour le seul plaisir de ne pas les tenir".
William Hazlitt

Dilemme de début de semaine: peut-on renier une promesse que l'on s'est faite, pour une fashion obsession à la con ?

Parce qu'on a beau dire "je ne porterai jamais ça de la vie, tu m'entends, de ma vie toute entière JAMAIS", il se peut qu'un beau matin, notre corps se mette en transe pour l'article en question, nos doigts pianotent tout seuls sur le clavier direction l'eshop concerné et nos yeux ne vibrent plus que devant le dit truc accroché là en vitrine, justement sur le chemin de notre bureau (soit 5 aller-retours minimum par semaine, l'enfer fait routine).

Que ce soit au sujet d'un polo Lacoste comme la blogueuse Azzed, tombée en admiration devant un modèle porté par Emma de Caunes (forcément, ça aide et c'est ultra-vendeur. Pas comme une sape trendy sur Susan Boyle), ou le pour on contre la cuissarde Prada de Jennifer, nous en sommes toutes au même point (ou presque, il doit y avoir des rescapées sur une autre île): celui d'être des girouettes de la mode (tel est mon nom de code).

Mon dernier "Tournez Dressing" en date s'est produit samedi, lecture du Grazia à l'appui et Kusmi tea pour l'ennui (on prend toujours les mêmes, et on recommence).
A la vision de ça :

Je suis tombée en arrêt sur cette silhouette venue du froid, cagoulée et "giletée" chez Lacoste, "cuisses-hardisée" siglée Louboutin.

Moi qui m'étais promise, jurée (mais pas crachée) de ne JAMAIS pouvoir imaginer porter la marque au croco, et de ne JAMAIS imaginer tenter des bottes au-dessous du genou (de surcroît blanches, et dotées d'un plateau d'au moins 3cm)...

Mes hormones fashion me jouent de drôles de tours...

Je suis à deux doigts d'aller fouiner-discret (faudrait pas que je me fasse choper par Garance Doré) chez Lacoste pour trouver ce love gilet bien épais, très -5°... Et à 10 doigts, soit deux mains (moi, blonde ?!) et de foncer chez Louboutin (après avoir vendu un de mes reins).

Même un rapide tour des it sites habituels pour screener l'ersatz parfait s'avère inutile. L'obsession est née, et ne semble pas décidée à décamper...





Pixie Market - ASOS - TopShop - APC - Zadig&Voltaire

Je retiens la Carrie Bradshaw sommeillant en moi et tirant sur ses filets de contention (découvert de Noël oblige, faut calmer la CB) et je prends note (au moins ça c'est gratuit) de l'utilisation judicieuse de la jupe tube en neo-cagoule flashy et sexy.

Fashion is a bitch.

F.B

N.B: Ce post mini du lundi me donne des envies de nouveautés... Pourquoi pas une rubrique hebdomadaire sur une page d'un shooting mode de presse féminine ? A force de voir des silhouettes improbables, parées de trucs importables, moi ça me titille du clavier.