lundi 3 octobre 2011

We Run Paris #Nike

"La compétition sportive est une parabole qui illustre parfaitement la grande course de la vie".
Claude Lelouch

Vous allez rire, cher(e)s e-lecteurs/trices, vous qui me connaissez : en pleine Paris Fashion Week, non contente de courir d'un défilé à l'autre (enfin, quand certains aléas logistiques dont seules les attaché(e)s de presse ont le secret m'ont réellement permis d'y assister), je me suis rajouté une petite dose de running, façon vraies baskets plutôt que street mode.

Vous allez donc doublement LOL-er du lundi matin, puisque vous connaissez mon amour plutôt limité de la discipline dite du running : en général quand je cours, c'est parce que je n'ai plus un seul paquet estampillé Marlboro en réserve, et que le tabac va fermer...

Ca, c'est pour le côté pratique, le côté philosophique n'est guère meilleur : courir, courir, mais après quoi finalement ? A quoi cela sert-il ? Quel est le but ultime ? 

Passe encore quand un ballon (rond ou ovale), une séance de ciné ou le dernière salade quinoa de Cojean, un bus ou un métro, un sac Chloé ou une paire de Louboutin en sont l'objet...
Mais courir sans autre raison que d'être déguisée en pseudo super-héroine de noir lycra vêtue, sincèrement pourquoi ?


En l'occurrence pour retrouver les e-copines Kenza, Marion, Carrie, Noémie et Margaux, et se lancer le défi d'un 7km by night with Nike, en préparation du 10km "We Run Paris" organisé hier par la marque au swoosh et son "75 Crew".

Accompagnées par notre coach Tony, nous avons découvert les sessions running du jeudi, ouvertes à tous via Facebook, sorte de cours collectifs du soir, dans une ambiance survoltée et hyper bien animée.

Fraîchement équipées d'une toute nouvelle tenue et d'une paire de shoes black & fluo, nous sommes parties trottiner au son de LMFAO du côté du Pont des Arts, et malgré mes jambes déjà échauffées par une grosse journée au royaume de Mickey (autrement dit quelques bornes et autres Space Mountain dans les pattes) (lourdes pattes), j'ai bizarrement ultra-apprécié cet instant presque privilégié.  

Je vous laisse apprécier en images (gros dossiers du jour vous en conviendrez) (sport et sueur ne pouvant rimer avec glamour et séducteur). 

 
 
  
 
 
 
 

Un rendez-vous entre filles, en duo ou en solo, que j'aimerais désormais rendre incontournable, car finalement ont rit, on mincit, et on en ressort ragaillardie en prévision du vendredi (et donc, du week-end).

Comme quoi dans la vie, on ne peut décidément jurer de rien (sur rien).

F.B