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dimanche 22 mars 2015

Barbie Ersatz

"Depuis que les femmes sont féministes, elles exigent un orgasme à chaque fois".
Georges Wolinski
Mon dernier ersatz couture en direct de notre espagnol préféré ?
Ce teenager sweater, directement inspiré d'un des derniers it de la marque Moschino.
Le genre de délire modeux pour lequel je ne m'autorise désormais qu'une très très légère dépense, en l'occurrence 19€90 vs 345€.

Attention à ne pas modifier son budget Barbie avec les années (faudrait pas (trop) déconner).   

Blouson MADEMOISELLE TARA -
Sweater Barbie ZARA -
Skirt UNIQLO -
Sneakers SANDRO -
Bag Alexa MULBERRY -
 

lundi 3 décembre 2012

Sweater Girl

"Il n'est capuche si sainte que diable n'y glisse la tête".
Proverbe néerlandais

Lors de mon excursion spéciale customisation chez Levi's, j'ai (aussi) jeté mon dévolu sur un autre item du rayon hommes, mon taux de testostérone devant être à son pic ce jour-là : un big big sweat gris à capuche pour jouer les fausses ouech ouech de la capitale (tu parles...).

Sorti de son contexte favori, celui où je l'associe ton sur ton à mon canapé pour une session séries, il passe aussi fort bien à la ville (à l'aise Blaise) acoquiné d'un legging effet cuir.

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Gilet ZARA -
Sweat Boyfriend LEVI'S -

Sous Pull UNIQLO -
Legging effet cuir ZARA -
Baskets Albatorock SANDRO -
Montre ICE WATCH - 

"It is so holy hood, no as devil slides the head there".
Dutch proverb

During my special customization excursion at Levi's, I set (as well) my heart on another item from the men's department, my rate of testosterone that must be in its peak this day : a grey big big sweater with hood to play the false "ouech ouech" girl of the capital (just kidding...). 

Taken out of its favorite context, that where I associate it, tone on tone, in my sofa for a US series session, it becomes very well in the city, teamed up with a leather effect legging.

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Sans parler du fait qu'il m'a permis de ressortir mon lot de badges collector, Cendrillon en tête des scores, ainsi que ma montre couleur Barbie, habituellement laissée pour compte (faut dire qu'elle n'est pas facile facile non plus). 

Sporty mais girly. 

Without speaking about the fact that it allowed me to release my collection of vintage badges, Cinderella at the top of the scores, as well as my collector Barbie color watch, usually rejected (needs to say that it's not an easy easy one either). 

Sporty but girly. 

F.B

jeudi 5 avril 2012

Barbie Girl

"Les hommes ont confiance en eux car ils grandissent en s'identifiant à des super-héros. Les femmes ont une mauvaise image d'elles-mêmes car elles grandissent en se comparant à Barbie".
Rita Rudner

Le coup de l'achat compulsif lors de l'attente en caisse reste un classique marketing...

Pull H&M - Top THE KOOPLES - Slim fluo ZARA - Baskets et Panier SANDRO - 
Bracelet GAS (offert par la marque) - Bague ADELINE AFFRE

... Et les enseignes, du traditionnel oeuf Kinder presque volé à la boulangerie pour compléter cette baguette complète tristounette, en passant par le charcutier de quartier plaçant son mini-coulis de tomate maison au moment opportun ou les têtes de gondoles version caisses du Monoprix savamment achalandées de nos sucreries préférées, l'ont bien compris.  

Même Zara
Surtout Zara.


Car Zara, en fin psychologue féminin, a su placer cette petite chose rose fluo au bon endroit, au bon moment, enfin assez "bon" pour me faire succomber face à quelque chose que je n'aurais certainement jamais envisagé à l'accoutumée. 

Il faut dire que, sur moi, la panoplie couleur candy a (trop) souvent eu un effet Barbie Girl (trop) prononcé, années collège en tête, lorsque je m'obstinais à porter ce top fuchsia si peu flatteur, certainement encore plus aux côtés du jean coordonné, et de cette doudoune imprimé dalmatien (véridique, mais passons).

Mais j'ai donc décidé ce jour-ci de l'embarquer à l'arrachée, et ce malgré, malgré tout ça quoi.

Tout de même, j'aurai mis pas moins de deux longues semaines avant de l'étrenner/me "lancer".

Un record dû à mon appréhension (elle-même due au passif évoqué plus haut), balayée ce matin d'un revers de main, humeur Grease dans la salle de bains.

F.B

lundi 10 janvier 2011

Business Barbie #1


"La discrétion est ma devise. Je ne dis jamais rien. Même sur ma carte de visite, il n'y a rien d'écrit".
Groucho Marx

"Business Barbie".

C'est le résultat que j'avais obtenu à l'un des premiers tests que notre néo-Dieu Facebook ait lancé (i.e le magazine people qui concernent tes potes, l'équivalent d'un Voici version amis) (enfin "amis"...), un questionnaire fi-fille du genre "Quelle Barbie êtes-vous ?".

Niaiserie virtuelle ultime, je l'avoue (je devais avoir épuisé le stock des Cosmo-Quizz)...

Sauf qu'en plus d'avoir évité un bilan étiqueté "Hot Barbie" faute d'avoir répondu non à un débilo-banal "Vous arrive-t-il de vous imaginez en robe blanche auprès de Chéri ?", j'avais à l'époque signé mon contrat de stage longue durée dans la foulée (synonyme futuriste alors d'un premier CDI, Graal (parental) de l'étudiante diplômée Bac+5).

Changement radical de rythme (et je ne vous parle pas de 35h... Cela va sans dire)...
Cures Juvamine à répétition...
Sensation de grandir vite, très vite, et parfois même trop vite...
Sensation d'apprendre vite, très vite, et parfois même trop vite...
Mauvaises expériences de la "paperasserie administrative" (et envie irrépressible de retourner illico en mode biberon, zéro traca, zéro blabla, maman gère tout pour moi)...
Naissance et croissance de la notion de responsabilité (Mooooooa "responsable" de tout ça, nan mais vous déconnez là ?!)...


Beaucoup de tracas, pas mal de soucis, mais certainement deux beaux résultats : ce premier job et ce premier blog (en tant que jeune femme organisée, évidemment, j'avais démarré conjointement ces activités au lieu de me décider à blogger avant, durant toutes mes heures estudiantines LIBRES, évidemment).

Ce post prend des allures de bilan et sonne très fin 2010-début 2011, je m'en excuse. La Toile a pullulé ces derniers temps de best of en tout genre et écoeurants, pardon d'en rajouter avec ma pseudo digression de jeune cadre en mutation.

J'en viens aux faits plus rapidement donc (état fiévreux oblige, le gène "Proustien" des "j'en rajoute et j'en fais des phrases trop longues" est à son paroxysme).

Un de mes loving gifts de Noël m'a permis de prendre une plutôt bonne résolution, presque pro : me faire imprimer quelques cartes de visite.

Et pour celles et ceux qui auront eu le courage de lire ce billet jusque ici malgré une thématique d'un terrible classique et une introduction dix fois trop longue et soporifique, quelques détails tout de même...

- Les cartes de visite, je les voulais sympas forcément, mais pas trop "décalées" genre forme carrée + coins arrondis + effet métallisé + plastification ultra-rigide indécrottable... Le tunning de la card, pas pour moi. C'est finalement un article paru dans Glamour qui a déniché pour moi le modèle idéal, très simple mais très flashy, décliné dans toutes les couleurs (j'ai opté pour un mix).


A découvrir sur le site Ooprint Colors.

- Le cadeau bien-aimé est un porte-cartes Cartier en cuir rose poudré, si mignon que je pourrais le croquer (à défaut, j'ai évidemment croqué le donateur) (et photographié l'objet sous toutes ses coutures).


Le thermomètre me bipe à 39.5°, je rends l'antenne.
A vous les bureaux.

F.B