lundi 10 janvier 2011

Business Barbie #1


"La discrétion est ma devise. Je ne dis jamais rien. Même sur ma carte de visite, il n'y a rien d'écrit".
Groucho Marx

"Business Barbie".

C'est le résultat que j'avais obtenu à l'un des premiers tests que notre néo-Dieu Facebook ait lancé (i.e le magazine people qui concernent tes potes, l'équivalent d'un Voici version amis) (enfin "amis"...), un questionnaire fi-fille du genre "Quelle Barbie êtes-vous ?".

Niaiserie virtuelle ultime, je l'avoue (je devais avoir épuisé le stock des Cosmo-Quizz)...

Sauf qu'en plus d'avoir évité un bilan étiqueté "Hot Barbie" faute d'avoir répondu non à un débilo-banal "Vous arrive-t-il de vous imaginez en robe blanche auprès de Chéri ?", j'avais à l'époque signé mon contrat de stage longue durée dans la foulée (synonyme futuriste alors d'un premier CDI, Graal (parental) de l'étudiante diplômée Bac+5).

Changement radical de rythme (et je ne vous parle pas de 35h... Cela va sans dire)...
Cures Juvamine à répétition...
Sensation de grandir vite, très vite, et parfois même trop vite...
Sensation d'apprendre vite, très vite, et parfois même trop vite...
Mauvaises expériences de la "paperasserie administrative" (et envie irrépressible de retourner illico en mode biberon, zéro traca, zéro blabla, maman gère tout pour moi)...
Naissance et croissance de la notion de responsabilité (Mooooooa "responsable" de tout ça, nan mais vous déconnez là ?!)...


Beaucoup de tracas, pas mal de soucis, mais certainement deux beaux résultats : ce premier job et ce premier blog (en tant que jeune femme organisée, évidemment, j'avais démarré conjointement ces activités au lieu de me décider à blogger avant, durant toutes mes heures estudiantines LIBRES, évidemment).

Ce post prend des allures de bilan et sonne très fin 2010-début 2011, je m'en excuse. La Toile a pullulé ces derniers temps de best of en tout genre et écoeurants, pardon d'en rajouter avec ma pseudo digression de jeune cadre en mutation.

J'en viens aux faits plus rapidement donc (état fiévreux oblige, le gène "Proustien" des "j'en rajoute et j'en fais des phrases trop longues" est à son paroxysme).

Un de mes loving gifts de Noël m'a permis de prendre une plutôt bonne résolution, presque pro : me faire imprimer quelques cartes de visite.

Et pour celles et ceux qui auront eu le courage de lire ce billet jusque ici malgré une thématique d'un terrible classique et une introduction dix fois trop longue et soporifique, quelques détails tout de même...

- Les cartes de visite, je les voulais sympas forcément, mais pas trop "décalées" genre forme carrée + coins arrondis + effet métallisé + plastification ultra-rigide indécrottable... Le tunning de la card, pas pour moi. C'est finalement un article paru dans Glamour qui a déniché pour moi le modèle idéal, très simple mais très flashy, décliné dans toutes les couleurs (j'ai opté pour un mix).


A découvrir sur le site Ooprint Colors.

- Le cadeau bien-aimé est un porte-cartes Cartier en cuir rose poudré, si mignon que je pourrais le croquer (à défaut, j'ai évidemment croqué le donateur) (et photographié l'objet sous toutes ses coutures).


Le thermomètre me bipe à 39.5°, je rends l'antenne.
A vous les bureaux.

F.B

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