Vote please !

"Le cinéma c'est aussi des ego, des névroses, un marché et une compétition".

Jean-Jacques Beineix

Petite news toute pleine d'ego et de cosmo.

Me voilà dans la course pour le concours Cosmopolitan du meilleur blog. Le principe est simple: plusieurs catégories sont soumises aux votes des internautes (mode, humeur, beauté) et un jury se charge d'évaluer le niveau stylistique et rédactionnel de chaque blogueuse tous les mois afin d'élire d'ici un an the blog of the year.

BabyModeuse je suis, donc en lice catégorie mode je particicipe.

Alors si vous me suivez régulièrement, me lisez quotidiennement ou m'adorez tout simplement, rendez-vous sur ma page de candidate n°29.

Faites péter cliquer la grosse étoile grise et validez votre vote c'est comme pour les 4 bleu de la Nouvelle Star. Et si vous vous sentez d'humeur poète ou en mode citation as Manoukian n'hésitez pas à faire péter lâcher des coms' (commentaires, pour les nuls qui peuvent voter aussi).

Allez-y, juste 1 clic, juste 1 vote, just for me.

F.B

L'homme idéal by L'Oréal

"Ecartelé entre l'idéal et la réalité l'homme tente de trouver une solution à cette apparente contradiction".
Paulo Coelho

Moi, les nouvelles typologies, j'adore.

Alors quand L'Oréal Paris m'a soufflé de vous parler de leur nouvel archétype masculin, incarné par Patrick Dempsey (ce qui n'est pas pour me déplaire), j'ai tout naturellement sauté sur l'occasion pour vous dresser le portrait de ce gendre idéal.

Suite à des études quali-quanti et des entretiens avec un panel de spécialistes (psychanalystes, coachs, sociologues, journalistes mode, etc.) visant à redessiner les contours de la masculinité actuelle, cette marque connue et reconnue identifie le profil de l'homme d'aujourd'hui. Et, permettez-moi l'expression "il déchire sa race grave", il est plutôt pas dégueulasse le petit nouveau.

Après le métrosexuel, l'übersexuel (my favourite, j'avais déjà divagué sur le sujet...), le retrosexuel, let me introduce you the perfect guy, répondant au doux nom de Novocasual.

Débarrassé du carcan imposé par des modèles machistes ou ultra féministes, il s'est réconcilié avec toutes ses composantes identitaires essentielles : virilité, créativité, sensibilité, séduction, et charisme. Adepte de la "casual attitude" il revêt toutes les casquettes avec aisance et fluidité: tour à tour père exemplaire, meilleur pote, travailleur impliqué, son premier allier est son apparence. Décomplexé par rapport à la beauté, il prend soin de son corps mais ne renonce pas au naturel "brut de pomme" qui sera essentiel pour exprimer et révéler sa personnalité. Rien que ça !

Le NovoCasual est en paix avec lui-même, il jongle avec 100 vies en conservant toujours son propre style. "100 vies pour 1 tête !", tel est le credo de cet oiseau rare.

L'Oréal a donc sélectionné Mister Dempsey aka le sexy Dr Mamour. Un choix gagnant puisqu'il est l'un des rares hommes à faire quasi l'unanimité auprès des femmes. En gros, sur 100 femmes, je pense que minimum 80 d'entre elles seraient plutôt ravies de se faire charcuter le cerveau par ce beau neuro (chirurgien, pour les nuls) pour tenter le gros lot.

Et nos chers hommes le savent à force de nous entendre gémir devant Grey's Anatomy ou geindre à chaque pause café de lendemain de diffusion.






En ambassadeur de charme pour les nouvelles gammes de produits coiffants Studio Line Mineral FX (nouvelle génération de produits coiffants aux actifs minéraux : pour un look naturel, jamais figé et des cheveux forts) et hydratants Men Expert Hydra Sensitive (partenaire quotidien face aux agressions extérieures qui en un seul geste apaise comme un après-rasage et protège comme un soin), il fait preuve d'arguments de choc avec son joli minois et son regard de tombeur. Pour représenter la nouvelle lubie de ces dames et une nouvelle part de rêve pour ces messieurs si bien dans leur peau, il semble plutôt parfait.



Moi, je suis conquise... Par cette nouvelle terminologie, cela s'entend.

F.B

Article sponsorisé

H&M comme Matthew

"Le créateur qui accepte l'incognito est un objet contre nature".

Julien Benda

Cela fait des semaines que l'on entend parler que de lui sans vraiment le connaître, entre sa collection exclusive pour H&M, son exposition dédiée au Design Museum de Londres et sa liste grandissante de it-girls groupies.

En effet, si l’homme est moins connu que Karl Lagerfeld, moins showman que Viktor & Rolf et moins emblématique que Rei Kawakubo, il est néanmoins le chouchou avéré des rédactrices de mode et de bon nombre de stars.

Mais qui se cache derrière Matthew Williamson ?

Un passionné acharné qui a attendu 10 ans la reconnaissance d'une grande maison de couture avant de se voir nommé en 2005 directeur artistique de la marque italienne Pucci (tout en conservant sa ligne en nom propre pas folle la guêpe). Adulé par toutes les fashionistas, ses premières créations en nom propre ont été présentées au public et à la presse par la fine fleur des mannequins de l'époque : Helena Christensen, Kate Moss et Jade Jagger.

Affectionnant par-dessus tout le flashy, qui pare le vêtement de mille feux, les teintes jaune fluo, rose shocking et vert acidulé font partie de sa palette de prédilection. Ses robes coupées en biais, à la fois gipsy et terriblement sexy, aux tissus naïfs et rebrodés, sont dès lors devenues sa signature, et ont été quasi instantanément adoptées et encensées par la critique.

Autrement dit, si l'homme n’est pas des plus médiatiques, son travail est peut-être l’un des plus fédérateurs qu'H&M n'ait jamais accueilli. L'enseigne force ainsi le respect : en dépit d’en être à sa sixième collaboration masstige union d'un grand nom du luxe et d'une marque grand public, pour les nuls, l’enseigne parvient encore et toujours à susciter l'intérêt.

Déjà 2 mois que la date fatidique du lancement de cette collection capsule est incrite au Bic rouge dans mon agenda surlignée au stabilo jaune fluo pour notifier son importance maximale.

Arrive le jour J et je ne peux me libérer pour rejoindre mes comparses dans la file d'attente matinale du boulevard Haussmann. Malédiction modesque, je vois déjà ma veste bleu électrique m'échapper au profit d'une modeuse plus avertie.

Sans grand espoir, j'opte pour le créneau pause déjeuner à J+1 après avoir harcelé une vendeuse du 9ème arrondissement sur la disponibilité des pièces de mon choix et/ou tailles restantes, particulièrement incompétente face à mes récriminations de fashionista. Une fois la double porte vitrée entrouverte, je me jette sur l'escalator donnant accès à la collection inédite en quête de mon 36 fillette.

Bilan dégrisant: point de veste klein mais une robe bling bling et un foulard imprimé (comme sa robe d'été) dans mon panier.

A associer avec du très léger pour faire twister le mois de juillet et se délecter des têtes dépitées à la vue de tout ce lot strassé.

F.B

Talons or not talons

"Tout comme je refuse de sauter le déjeuner pour rentrer dans un 36, je refuse les hauts talons".

Jess Cartner-Morley

Garçons, munissez-vous de talonnettes à la Sarko, les filles seront plus grandes cet été !

Aiguille, compensé, conique, carré... Qu'importe le talon, pourvu qu'il nous rehausse de 13 cm. Plus que le porte-monnaie, la gravité devient ainsi mon ennemi public n°1 du haut de mon mètre 75.

Parce que oui, effectivement, ils allongent la jambe et galbent le mollet ces beaux talons, mais pas que. Ils sont aussi à l'origine de nombreux problèmes de dos, favorisant l'arthrose au niveau du genou. En effet, ils nous poussent à adopter une posture "buste en avant/fesses en arrière" aka la démarche de bitch augmentant la lordose lombaire ça c'est pour me la péter auprès de ma soeurette apprentie médecin et lui prouver qu'on peut causer chiffons scientifiquement.

Pourtant ce petit côté "Tour de Pise" nous procure une assurance inégalable. Je ne sais pas si ce sont les talons qui font la femme, mais je sais que leurs claquements sonores me donnent l'impression d'être la reine du bitume. Sur mes talons perchée, j'affronte mieux la réalité et les dangers. Et ce, malgré la douleur les cors, les durillons et autres ongles incarnés.

Jamais les magazines n'ont autant plébiscité le port des chaussures/échasses. Cet été les talons hauts dominent la mode alors gare aux chevilles débutantes ! Des grands magasins new-yorkais ont même lancé des cours de "walk stage" pour apprendre aux novices l'art de marcher avec des Louis Vuitton plateaux.

Toshikazu Iwaya

John Galliano

Alexander McQueen

Vivienne Westwood

Comme sur tout sujet modesque faussement polémique, deux camps s'opposent: celles qui ne jurent que par leurs Louboutin et celles qui revendiquent le naturel, confortablement chaussées dans leurs Repetto. Des postures incompatibles avec des 15cm.

Il faut choisir, se percher ou résister !

F.B

Griffé & Soldé

"Un homme amoureux est comme un coupon de réduction, il faut le faire passer à la caisse sans plus attendre".

Mae West

Parce qu'une bonne nouvelle n'arrive jamais seule les mauvaises aussi oui oui, mais je me veux optimiste aujourd'hui et que la crise nous plonge dans une mouvance anti-shopping à laquelle je refuse catégoriquement de me résigner, voici rien que pour vous les deux "bons plans du jour, bonjour !".

Où ça ? Où ça ? A La Fidèle !! (seules les personnes ayant été au Club là-bas s'amuseront de cet aparté, n'est-ce-pas Violette ? Désolée pour les autres, je n'ai pas pu m'en empêcher).

Et bien c'est chez Comptoir des Cotonniers et mon beau Sandro que je suppute déjà faire des folies et craquer du porte-monnaie. Entre les prix "cotons" de CdC (entre -20 et -30% sur une partie de la collection jusqu'au 28/04 ) et les réducs pas en tuc sur une marque que je ne m'autorise qu'en période de soldes, les prochains jours promettent d'être sanglants de vêtements.

Encore une pause déj à cavaler entre les portants à la recherche du -70% ! Miam Miam...

Alors si vous aussi vous dépérissez en attendant l'été car vous avez claqué toutes vos RTT, courez ! La vie est plus belle les bras chargés de sacs griffés et soldés.

F.B

Mardi Minelli

"On peut dire beaucoup de chose des gens en regardant leurs chaussures. Où ils vont. Où ils sont allés". Robert Zemeckis

Point de Lisa mais toutes à vos agendas !

Voici en exclu le bon plan du lundi chez Minelli si vous aussi vous louchez devant la vitrine, irrémédiablement aveuglées par la beauté de ces sandales de fée clochette verte.


Il y a encore peu de temps pour moi, Minelli rimait encore avec Tati. Petits prix, pas très sexy, un peu "mamie radis radine" en somme.

Mais après 3 arrêts inopinés au sein de 3 magasins parisiens, j'ai rapidement changé d'avis sur le sujet: des modèles dignes d'un grand nom de la chaussure, des coloris flashy et adoucis vraiment jolis, un confort quasi-garanti et des tarifs généralement peu excessifs.

Et dire que ce post n'est même pas sponsorisé !


Alors la collection printemps/été 2009 "Mint Minelli" à moitié prix, ce serait un coup de génie ?! Oui et c'est demain, mardi 21 !

Pour recevoir son invitation il suffit de s'inscrire sur le site Minelli et de choisir la boutique de son choix... Limite trop facile.

En tout cas, je sais où je vais déjeuner moi demain, entre sandales et escarpins...

F.B

Sandro Placebo

"Lorsque quelque chose a été dit et bien dit, n'aie pas de scrupules. Prends-le et copie-le". Mark Twain

Il est de ces achats qui vous transcendent de part leur aspect furieusement "créateur" voir même "couture" (à prononcer "coutourrrrre") alors que leur provenance hispanico/suédoise (Zara/H&M pour les nuls) ne garantissait pas un effet "it vêtement" immédiat.

Parce que les bonnes copies, les bons ersatz, ceux de premier choix, sont les plus difficiles à dénicher. Parce que le rapport qualité/prix de nos chères marques bobo parisiennes nous laisse souvent perplexes suivez mon regard au moment du retourné d'étiquette : "heu, 375€ la robe de soirée portable environ 7h sur une année... Foutue après un lavage à 40°... Quand même, ça m'emmerde...". Parce que s'habiller tendance à moindre prix est tout un travail et que ce genre de trouvailles ont presque un goût de victoire.

Pour moi le dernier "opus victorus" en date provient de chez Zara (What else ?!).

Cela faisait deux mois que je lorgnais dangereusement sur ce débardeur Sandro en leopardo fluo, l'imaginant déjà porté avec un jean grunge bleach, bronzée à souhait...

Sauf qu'à 189€ le pauvre petit top, je m'étais sagement résignée en pensant au PIB du Zimbabwe.

Miraculeusement, ma soeurette a décidé récemment de me traîner directement dans nos endroits de prédilection, et surtout de perdition, j'ai nommé Haussmann/Passy/Marais. Arrivée chez Zara, j'ai immédiatement repéré la proie du mois.

Pour 17€90, nous (vous vous doutez que mon accompagnatrice a suivi le mouvement) voilà en possession d'un ersatz d'objet tant convoité. De quoi stopper mon envie démesurée et frimer devant des jalouses assoiffées de trouvaille futée.

Il est pas beau mon placebo ?!

F.B

Nude

"Savez-vous que le meilleur moyen de dissimuler, c'est de dévoiler tout jusqu'au bout ?".

Serguei Mikhaïlovitch Eisenstein

Dans la veine du numéro "Stars sans fards" de ELLE et en toute logique fashion, voici une petite synthèse sur la tendance Nude, annoncée comme the attitude à adopter pour passer l'été en toute sérénité, à l'abri des railleries sur vos habits.

Faisant écho à son versant beauté, la version mode du phénomène nude présente la même ingéniosité dans l'utilisation des beiges rosés et autres pink irisés.

Car, s'inscrire dans la prolongation de l'incarnation de la peau, oser le 100% nude, c'est aussi l'art de se dévoiler sans rien dévoiler du tout, tout en prenant le risque du 100% fadasse.

Il se veut casual et anti-sophisitiqué, tout en ayant été l'apanage des élégantes du 3ème âge.
Il apporte une touche romantique et très féminine, tout en évitant le côté guimauve/religieuse à la rose.

Paradoxal et trompe l'oeil, le nude ne consiste pas à se tartiner de 4 couches de fond de teint et enfiler un body de mummy couleur chair. Il est à marier à un dresscode néochic pour éviter toute fadeur et l'aspect "10 ans de trop".

Les catwalks n'en finissent pas de nous livrer de chouettes silhouettes et de nous assomer à coup de blazer pastel. Stella je ne dors plus à cause de toa.

Défilé Stella McCartney Printemps/Eté 2009

Défilé Chloé Printemps/Eté 2009

Suite au prochain épisode: je vais concocter un lookbook "nude&pastel" from H&M (et autres conssorts) pour ne pas passer à côté, même si on ne peut pas s'offrir du McCartney.

Du cuir, du denim, un U.V et le tour sera est joué.

F.B

Pastel Obsessionnel

"Les choses prennent la couleur de de nos contrariétés".

Jean-Charles Harvey

C'est le printemps (ouais je débarque un peu) et déjà je bourgeonne d'idées modesques, irrésistiblement alléchée par les vitrines glacées et les nouvelles collections été "olé olé". Au beau milieu des corps parfaits et plastifiés, une nuance retient particulièrement mon attention: la tendance pastel.

Du vert clair everywhere, du bleu lagon aux balcons et du rose saumoné dans tout le quartier. C'est un fait constaté avéré, l'été fait la part belle aux couleurs pastels.

Ayant enclenché mon radar fashion en mode alerte rouge/Ebay/Google et oeil gauche (le moins myope) au taquet, j'ai déjà repéré quelques éléments pouvant étancher ma soif de douceur colorée, même au rayon make up YSL.

Chaussures Minelli, Veste rose Maje, Veste bleu TopShop, Collants ASOS

Après une semaine de plage et 2 U.V, difficile de résister à son reflet doré... J'aurais dû m'en douter avant de filer faire une virée chez Zara, mon espanolito preferido... L'essayage d'un simple blazer blanc sur ma peau anormalement hâlée s'est transformé en pugilat achat de 3 tuniques rose poudré, vert d'eau et jaune très très pâle (y'a pas écrit Naomi). Et du blazer blanc, cela s'entend.

Cédant également à l'appel du nouveau concept store Galeries 66 (après 16 articles le même mois dans la presse&blogo féminines, forcément, c'est tentant), j'ai résisté devant la fabuleuse robe bustier Valentine Gauthier mais absolument craqué sur une vieille chemise Levi's... Blue jean pastel.


Incorrigible, oui. Mais c'est si bon d'oublier un temps les éternels gris souris, gris perle et autre anthracite carbonite pour se laisser séduire par les teintes pastel qu'arborent ces modèles "up-to-date".

F.B

Retour de plage

"Sans les photos de vacances, on ne pourrait jamais prouver qu'on a été heureux".

David Foenkinos

Après une arrivée sous la pluie remarquée à Roissy, vêtue d'un jean bleach déchiré, d'un simple débardeur blanc et de tongs irisées Havaïanas slim sous 6°C (dans la famille complétement hors-sujet, je demande la fille) et encore toute remuée par ce satané blues du retour, j'essaye de réapprivoiser ma saleté de vie parisienne.

Travail de fond en mode méthode coué "Il faut bien rentrer pour pouvoir repartir", aveuglement volontaire face aux 457 mails de ma saleté de LotusBox, déballage de valise selon la règle du "tout au sale // j'lancerai les machines plus tard" et dîner à base de "Allo Pizza Hut ?! Une Cheesycrust double fromage svp !"... Le retour de vacances demeure difficile sans parler des saletés de réflexions from the bureau, à encaisser jetlaguée, mais souriante et faussement reposée.

Facebook et son nouveau cousin diabolique Twitter étaient bien loins pendant ces quelques jours... Point de connections en tout genre: no réseaux, no WiFi, no ordi...

Sans tenir ma promesse pré-départ, j'ai tout de même profité de ce petit coin de paradis pour shooter et me faire shooter des outfits dits de "retour de plage" en essayant de ne pas vous imposer le total look maillot, pourtant de rigueur 20h/24h.

J'implore votre indulgence pour cette 1ère série de looks, n'ayant pas de photographe pro et dispo pour arranger le topo et surtout étant habituée aux merveilleux books de Géraldine ou Sonia.

- Pour commencer, et surtout parce qu'il faut pouvoir dire: "Un boyfriend jean ? J'ai !":

Boyfriend Current Elliot, bustier Abercrombie, sandales Colisée de Sacha, petite besace ASOS.

- Pour suivre la mouvance marine et le revival JPG en toute impunité féminité :

Pull Bérénice, jupe rayée Kookaï, ballerines argentées Zara, pochette Nat&Nin.

- Pour jouer à l'American Woman dans des tons pastels :

Top American Apparel, jupe Levi's vintage, bandana Kookaï, derbys ASOS, pochette Sous Les Pavés.

- Pour enfin sortir le poum-poum short importable à Paris :

Tee-shirt See by Chloé, short Abercrombie, lunettes RayBan.

- Pour une version short adaptable à la ville :

Short H&M, Débardeur et top Kookaï, vernis Uslu Airlines, pochette Nat&Nin

De retour très vite enfin, après un minimum de 32h de sommeil consécutif avec un post digne de ce nom, sans photos ratées et plein de bonnes idées.

F.B