"Vous savez ce que c'est quand vous voyez quelqu'un de séduisant qui vous sourit et que votre coeur se met à fondre comme du beurre chaud sur une tartine grillée ? Et bien c'est exactement ce que je ressens quand je vois un magasin... En encore mieux".
Confessions d'une Accro du Shopping
S'il y a bien un danger à bosser pour une boutique en ligne, en l'occurrence un dépôt-vente, c'est le shopping chronique : à force de voir passer des merveilles sous votre nez toute la journée, il y a forcément un moment où vous craquerez (et moi plus qu'une autre, mon chromosome achat étant plutôt démesuré).
Et c'est bien la première chose que ma mère m'ait dite (avant même ses félicitations je crois), lorsque je lui ai parlé de mon nouveau poste chez
Vestiaire Collective l'année dernière. En language pieds-noirs, cela a donné un truc du genre : "Ouille-ouille-ouille tu pars en terre promise mais ça va te coûter ton salaire!".
Faiblesse féminine, moyen de se
rewarder pour telle ou telle chose (un dossier convaincant pondu en 2h, ou la réparation
home made de votre lave-vaisselle entartré), ou d'en compenser certaines (un chagrin quelconque, ou la coupure surprise générale d'eau chaude dans l'immeuble laissant vos cheveux dangereusement sales pour ce rendez-vous pri-mor-dial)...
Quoiqu'il en soit le shopping peut tour à tour injecter du bonheur, et soigner (oui, oui, oui) (la prochaine fois je dégaine la carte vitale chez
Balenciaga) (genre je vais chez
Balenciaga).
Mon dernier
e-soin mode (et objet de ce billet), ce top en soie
Sandro, issu de la collection actuelle, repéré mais déjà sold out, retrouvé en ligne en direct du bureau donc, à -40% (elle est pas belle la vie ?!).
L'imprimé "à la Stella McCartney de cet été" m'a fait fondre, ma chère
Walinette m'avait convaincue, et l'excuse d'une matinée trop difficile a fait le reste (la validation du panier quoi).
F.B