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vendredi 8 juillet 2011

Bambi(na) #3

"Il faut toujours être ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !".
Charles Baudelaire

Concluons dignement (ou pas) (et seulement si vous le voulez bien) (vous pouvez si vous le souhaitez d'ores et déjà activer la croix rouge), cette semaine (de fou) (enfin, personnellement) au rythme de JCDC et sa collection Bambi, par un dernier look haut en épaules. 

Once again, certains vont adorer, d'autres détester. 

A la maison, le débat est déjà lancé, entre le "mini-lui" adulant à ma droite Bambi et à ma gauche Féline (paraît que c'est l'amoureuse du héros de ce plus triste des Walt Disney) (il a une culture confiture des plus développées) et "lui" qui évidemment a commencé par se moquer gentiment, pour finalement me menacer de porter à mes côtés au supermarché, un tee-shirt style "toile d'araignée" en référence à son idole des jeunes, Spiderman, ou toute autre pièce "ridiculisante". 

 
Pull Bambi JCDC / Jean Kiliwatch (homme) / sandales Swedish Hasbeen / panier Sandro

Tout un programme... Mais j'ai donc néanmoins pris le risque de le voir mettre à exécution, en dégainant mon nouveau petit pull de Bambina, associé à mon jean de mec Kiliwatch, shoppé dans ma Province au sein d'une petite boutique riche en trésors cachés, et de ma paire de sandales en bois adorée.

Un mix idéal pour ce non mois de juillet, véritable alternative de printemps et d'automne, relevée par une pointe de 30°C sous giboulées (qui fonctionne aussi entre deux épilations ou en cas de coup de soleil aux mollets).

Sur ce (excusez mon manque de forme, c'est vendredi), rendez-vous lundi pour un peu de test beauty.

F.B

jeudi 28 avril 2011

Chez Belle-Maman

"C'est par les robes décolletés que s'évapore peu à peu la pudeur des femmes".
Alexandre Dumas

L'engueulade fashion classique survient généralement chez nous le matin, au moment de la séance d'habillage quotidienne.

Suffit que je sois mal lunée, le regard hagard perdu dans ma penderie et le "pfff j'ai rien à me mettre" au bout des lèvres.

Et il suffit aussi (bah oui, ça fonctionne pas de s'engueuler seule) que le plus poilu du foyer vienne se mêler de ma tergiversation en haussant fièrement le sourcil gauche, l'air de de dire "mais c'est quoi ce look encore ??".

Parce que voyez-vous, l'Homme voit d'un mauvais oeil les pièces un peu trop masculines de mon dressing : boyfriend jean, sweatshirts en coton un peu lose (en taille 42 alors que je fais un 36, mais c'est l'effet recherché) (comprennent rien ces mecs) ou boots noir trop typées "biker".

Et comme il les "subit" la plupart du temps (on ne transforme pas une anti-girly de la fringue), il arrive forcément de temps en temps qu'il craque, et dénonce ma silhouette de "bonhomme" mal réveillé, pour le plus grand drame de mes neurones mode à l'arrêt.

Dès lors c'est le début du fight.

A coups d'arguments assez pathétiques (j'avoue), je tente de m'en sortir et de promouvoir un look androgyne chic ET féminin... Pendant que lui ose un mix de sournoiseries bien ciblées (l'objet du mal vestimentaire devient alors grossissant, surtout au niveau du fessier) et de compliments bien placés (mes siiiiii longues jambes devraient être mises en valeur).

Voilà comment j'ai atterri chez belle-maman en petite robe retro ET estivale ET décolletée (mais pas trop) ET ceinturée à la taille, en plein mois d'avril, sandales aux pieds. En langage amoureux, paraît que ça s'appelle une concession.

Robe Maje (collection été 2010, ceinture H&M, sandales Swedish Hasbeens.

J'arbore une mine réjouie, pourtant je ne l'étais pas, croyez-moi (la faute à la robe, pas à belle-maman, ses bons chocolats, son sourire rassurant et son délicieux pâté Berrichon).

La sensation d'être déguisée en fille parfois, ça parle à l'une d'entre vous (ou dois-je rapidement consulter) ?

F.B

jeudi 21 avril 2011

Hasbeen

"L'individu bien conforme est taillé d'un bois à la fois dure, tendre et parfumé".
Frédéric Nietzsche

Dieu que c'est bon d'accueillir une nouvelle paire de shoes à la maison (enfin au bureau via Colissimo d'abord, puis à la maison) (c'est un peu comme le trajet d'un nouveau-né de la maternité vers son meublé) (dixit la belle-mère indigne qui ose comparer bébé humain et bébé chaussure).

Et c'est encore meilleur suite à une petite période d'abstinence de CB, sorte d'interlude désagréable où elle ne sort sa face rectangulaire que pour l'essentiel, l'incompressible : les courses alimentaires, les impôts et les clopes (chienne de vie).

L'unique craquage du mois a donc été exaucé du côté de chez Sarenza après un e-comparatif en règle du modèle en vue (l'Internet me rend "près de mes sous", j'ai cherché des codes promos pendant plus d'1/2h) (et j'ai même trouvé un -10% chez radins.com).

Réduction + frais de port gratuits, il ne m'en fallait pas plus pour céder des deux orteils (j'étais au bord de la crise de pieds sachez-le) pour cette marque de bois vêtue : Swedish Hasbeens.


Quelques mois déjà qu'elles me taraudaient l'esprit ces sandales suédoises... Et comme souvent, c'est un look posté par Delphine, l'une de mes comparses blogueuses, qui s'est alors imposé à moi comme LE signe qu'il était temps d'investir, que l'attente avait été trop longue, et que ces shoes seraient miennes "quoiqu'il".

48H plus tard (sont rapides chez Sarenza), me revoilà détendue et satisfaite : new shoes always cure the blues !

Sandales Swedish Hasbeens, slim Topshop, top By Zoé, veste Silence+Noise, sac Alexa Mulberry.

Cherry on the cake, j'ai aussi fait la découverte des "nail patch" imprimés Sephora : un kiff ongulaire pour une maladroite du vernis que je suis.

Sceptique (comme souvent), j'avais d'abord laissé tester les autres pour finalement réussir à me convaincre en un seul et unique essai, celui du modèle à carreaux rose Vichy.

Ultra-pratique, sans séchage, sans retouches, je suis désormais adepte du concept, et ne saurais que trop vous le conseiller.


F.B