lundi 7 mars 2011

Don't Call Me Baby


"Le talent, c'est une question d'amour".
Romy Schneider

Pour celles et ceux qui suivent de manière assidue mon petit journal de l'Internet, je ne peux vous cacher la nouvelle bien longtemps (et pour les autres, on dira qu'on jouera à surprise-surprise)...

Je suis bel et bien en plein tournant professionnel, au coeur d'un business-tempête, en période d'essai comme on dit (satisfait ou remboursé en somme), dans une toute nouvelle boîte dont je tairai le nom (mais paraît-il qu'un reportage à son sujet est passé dans Capital sur M6 hier soir) (j'aime les non-mystères).

Un poste de responsable éditoriale qui sonne un peu "rêve de gosse" pour la plume au bout de mes doigts.


Faut dire que dès mes 10 ans, j'avais lancé le mag de ma cour de récré (ma baby prose servant le plus souvent de serviette jetable au moment de la pause pain au chocolat), à 14 je me lançais dans l'établissement d'un classeur de fiches ciné, mini-critiques à l'appui et pige presse accomplie, à 20 ans, j'intégrais le Celsa dans le doux espoir de pouvoir un jour écrire sur ce qui me plaît, et être payée pour... "De la mode & des lettres", voilà le type d'émission que je pensais potentiellement faite pour moi.

Tout ça pour vous dire que les préparatifs battent leur plein et que j'espère pouvoir vous tenir vite informés de ce nouveau lieu de bla-bla fashion, histoire pourquoi pas, de vous retrouver là-bas.


A l'heure où tout Paris s'écrie "Faites la mode, pas la guerre", où les magazines dégainent leurs habillages de "numéro spécial", et où Yves, presque d'outre-tombe, nous délivre son it-Manifesto tout beau tout chaud tout doré : mon coeur bat à l'unisson à l'aube de ce new job passion.

Un peu 3615MAVIE pour un lundi (je vous l'accorde), uniquement car c'est si bon de pouvoir partager avec vous les débuts de ce "professionnel embryon".

Peut-être aussi pour vous éviter un billet spécial "boucherie" (parfois, quand je brainstorm dans ma tête au sujet d'un post, je pars un peu loin dans mes délires) (ça doit venir de l'ambiance chaleur-odeur-fatigue-fin de journée-métro).

Boucherie oui, car cela semble être la nouvelle lubie du moment, du défilé sanglant de Charlie Le Mindu (créateur-coiffeur en titre de Lady Gaga) en passant par la manucure "bacon". Je vous mets ça en image quand même (je ne résiste pas), et je vous laisse imaginer ma moue dubitative face à cet étalage carnivore.


F.B

2 commentaires:

L0o a dit…

Yeah... Ca veut dire que tu vas chez vestiaire de copines ou vide dressing, toi ^^

Canon !

BabyModeuse a dit…

LOo > Vestiaire évidemment ;-)