Affichage des articles dont le libellé est Optique. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Optique. Afficher tous les articles

lundi 7 juillet 2014

Femme à Lunettes. Femme à Lunettes Jimmy Fairly.

"Les lunettes cachent beaucoup de choses - même une larme dans l'oeil".
Sören Kierkegaard
Jimmy Fairly, c'est un peu l'optique 4.0 mêlée d'une technique bien traditionnelle.
Un peu shizo, mais fatalement à l'image des nouvelles envies générationnelles.
 

Profiter des bienfaits du tout connecté, tout en assurant les bases assurées du passé, tel était le pari originel et culotté des créateurs de cette bien jeune & jolie marque. C'est en 2011 qu'ils décident alors de s'affranchir de beaucoup d'intermédiaires et de simplifier tout le processus d'achat... Tout en conservant une production en Vénétie, berceau de la lunetterie, et une qualité de verres irréprochables avec Carl Zeiss, producteur français d'optique de pointe, notamment pour Leica.

Il faut dire que le marché de l'optique méritait d'être dépoussiéré, modernisé, revisité. Bien moins médicalisé (exit le vendeur en blouse de labo et verres triple foyer), l'esprit Jimmy Fairly respire le "bien pensé" :

- Un prix unique : 99€ montures + verres à votre vue;
- Une bonne action à chaque achat grâce au "Buy One Give One" mis en place pour offrir une paire à une personne dans le besoin grâce à vous et par le biais d'une association;
- De multiples connexions en boutique permettant de mêler choix d'une monture et plaisir avec sa communauté comme les polaroïds des différents modèles sélectionnés à emporter chez soi ou à diffuser sur ses réseaux sociaux pour connaître l'avis de ses proches ou l'alerte SMS/Twitter/Facebook lorsque votre paire est enfin prête !

Perso j'ai craqué pour le modèle nommé... Holly (la meuf a donc des lunettes qui portent le même prénom que son chaton) (mais passons) (si si vraiment passons) (ahem) !  Modèle que je vais pouvoir agrémenter d'un clip solaire, car la marque lance cet été sa version ultra-légère dans 3 teintes, adaptable sur tous leurs modèles optiques que j'ai hâte de recevoir, et de vous présenter dans un prochain billet of course.

Être une femme à lunettes, c'est plutôt chouette (finalement) (dixit la meuf qui a pleuré l'équivalent d'une année de pluie chez les Ch'ti quand on découvert sa myopie). 

Shirt "Capri" NICE THINGS -
Jean ZARA -
Glasses JIMMY FAIRLY -

Et si vous êtes vous aussi séduite, sachez qu'un petit concours solaire est en place durant 10 jours sur le compte Instagram et Facebook @jimmyfairly !  

Crée ton look de l'été et gagne le modèle Icône de Jimmy Fairly : la Monroe !
1/ Compose ton look;
2/ Abonne toi à Jimmy Fairly sur Instagram ou Facebook;
3/ Poste ton look en mentionnant @jimmyfairly sur Instagram ou en taggant Jimmy Fairly sur Facebook;
4/ Le jury Jimmy Fairly sélectionnera 2 gagnants : le plus populaire et le coup de coeur de l'équipe. Les 2 gagnants recevront leur paire de lunette Monroe. 
Bonne chance à toutes ! 



lundi 1 avril 2013

Fébronie

"Nous percevons toujours ce qui est nouveau chaussé de nos lunettes du passé... Et notre vue s'y déforme".
Jacques Séguéla
C'est avec une grande fierté et un brin d'émotion au bout du clavier, que je vous présente aujourd'hui (attention, billet look à l'apparence d'un discours de remise de prix), les lunettes créées par la fantastique Margot du blog YouMakeFashion, dans le cadre d'une collaboration avec le groupe optique Acuitis.

DSC_0871

Son modèle tie&dye prénommé Fébronie et inspiré de ses terribles Do It Yourself's (oui oui oui, je vous conseille de cliquer si vous êtes un peu habile de vos dix doigts, ça déchire), se retrouve ainsi désormais en vente dans toute la France, aux côtés de ceux réalisés par les blogueuses Coline (très dolce vita) et Mylène (très boyish mixte), au mini-prix de 150€ (monture + verres à votre vue). 

J'aime son esprit collant à l'air du temps, tout en demeurant portable par n'importe quelle génération et forme de visage (big up à la trendy mamy ayant essayé la paire lie-de-vin : canonnissime même sur du 3ème âge !) (j'vous jure, c'est fou comme cette monture sied à (presque) tout le monde). 

Choisies en bleu, elles ne quittent plus mon arête nasale (humm que c'est joliment dit ça) (on se croirait en cours de SVT) (les Sciences de la vie et de la terre, vous vous souvenez ?!) et s'accordent parfaitement à mon dressing tout en denim

DSC_0882
DSC_0909
DSC_0843
DSC_0823
DSC_0803
DSC_0851
DSC_0799
DSC_0838
DSC_0867
Manteau/Coat LA REDOUTE CREATION -
Pull/Pullover SONIA RYKIEL -
Chemise/Shirt LEE -
Slim THE KOOPLES -
Escarpins/Shoes LA REDOUTE CREATION -
Bagues/Rings VINTAGE - MA DEMOISELLE PIERRE -
Lunettes/Glasses "Fébronie" YOUMAKEFASHION X ACUITIS - 

Je redécouvre le plaisir de porter des lunettes à la manière d'un accessoire de mode, moi qui ai pourtant très longtemps complexé de cet handicap de taupe, souffert des surnoms type "serpent à lunettes" ou "culs de bouteilles", et soigneusement appris à porter des lentilles dès mon adolescence... Enfin un moyen modeux de reposer mes yeux, malmenés par l'ordinateur en journée, comme en soirée, et comme en nuitée ! 

Amies bigleuses, foncez donc sur le blog de Margot où trois paires sont en jeu jusqu'au 8 avril...
Je m'occuperai pour ma part de renouveler vos fonds de tiroirs lingerie dès demain mercredi (#çasentleconcours) ! 

vendredi 11 novembre 2011

Mes Lunettes ? Des "Lafont" !

"Le problème quand on a perdu ses lunettes, c'est que l'on est obligé de les retrouver pour pouvoir les chercher".
Gustave Parking

Ne pas réellement assumer le fait d'appartenir à la catégorie "femmes à lunettes" durant ma jeune vie (depuis ma 5ème tout de même), m'a, je pense, conditionnée pour me tourner plus facilement vers les grandes marques, et notamment les licences du luxe, afin de me donner l'impression de jouer l'anti-faux pas en matière de monture. 

2008/2009 : Geek Glasses 
2010/2011 : Retro Glasses

J'ai ainsi opté pour une version tendance "geek glasses" (en 2009 ici) pendant longtemps (certaine d'être au moins dans l'air du temps), puis pour un modèle totalement retro chez Paul Frank (en 2011 ici) (re-certaine pour le raccord lunettes/époque/dose de hypitude)... En me retrouvant systématiquement confrontée à un certain problème de qualité, sans parler de leur côté trop "marqué", lassant même au bout de quelques journées (et même en étant lookée). 

2011/2012 : Lafont Glasses

Ma résolution donc, pour ce nouvel opus de verre : choisir plutôt "classique", toujours un brin retro parce que c'est que j'aime définitivement (tout simplement), et dans un coloris "écaille" idéal acollé à ma chevelure châtain/blonde. 

Mais surtout : SANS chercher à adopter telle ou telle tendance de mode et SANS m'attacher à la marque inscrite sur la branche droite. En somme, essayer d'arrêter de jouer les modasses de Panurge, à l'heure où l'optique est en passe de presque détrôner les it-bags, et miser sur une valeur sûre qui me va à moi, avant d'aller drôlement bien à la mannequin sur papier glacé.  

Et pour ça, je me suis rendue chez Lafont : entreprise hypra-familiale née dans les années 20 dans le quartier Madeleine à Paris, riche d'un savoir-faire imparable et d'un relationnel client unique (l'expression "le client est roi" n'a jamais autant été vérifiée), développant sa propre collection distribuée en son propre nom. 


Alliance de haute technologie quant au choix des matières et des couleurs, et d'artisanat, avec une fabrication manuelle et 100% frenchy... De quoi satisfaire mon envie d'intemporalité et de grande qualité.

Un choix vraiment très large, autour des différentes familles de formes (comme "les chats", "les rondes", "les XXL", etc), de styles (gentleman, bijoux, ultra-colorées, etc), et une assistante Alexandra, très douée pour orienter mes envies et classer mes idées farfelues, dans l'unique objectif de trouver "the one" for me, and not for the others.


Autant vous dire que je suis conquise par mon choix et par cette expérience du "no brand" land, sans aucun logo pour confondre mon opinion.

De quoi retrouver plaisir à porter des lunettes, chose totalement impensable auparavant chez moi. Et je ne vous ai pas encore causé, faute de luminosité appropriée, du modèle de solaire, offert à la même occasion par les Lafont... 

Une tuerie que je vous présenterai très vite.
Enfin quand le jour cessera de se faire la malle à 16h03.

F.B (femme à lunettes fière de l'être) 

vendredi 11 février 2011

Schmilblick Optique

"Nous percevons toujours ce qui est nouveau chaussé de nos lunettes du passé, et notre vue s'y déforme".
Jacques Séguéla

2008-2009-2010 : port de lunettes de geek. Y'a qu'à voir (ici), pas féminin pour un pixel.

2011 : acquisition de lunettes rétro. Plus "Drôle de Dames" (ou "MadMen"), tu meurs.

De quoi passer pour une modasse de Panurge à l'heure où l'optique est en passe de (presque) détrôner les it-bags, où l'icône Lady Gaga ne sort plus sans de lourdes binocles fumées ou en lames de rasoir, et où le moindre verre XXL vous rend intellectuelle même un Pastis et un Voici à la main.

Alors que pour moi, cette "eyewear fixette" a suivi une logique bien précise, un parcours insensé mais pourtant vrai, une destinée parfaitement maîtrisée...

Car TOUT :

- a commencé le jour d'un certain défilé printemps/été Luella, avec des mannequins entêtées et montures noires carrées. Fascination immédiate pour ces filles assumant clairement le fait de "s'enlaidir" pour gagner en style.


- a continué avec le passage en revue des people les plus "lunettement" stylées : Katie, Renée, Leighton, Shenae... Etrangement beaucoup plus crédibles une fois bigleuses.


- a retourné le passé, en mélangeant habilement quelques extraits des Choses de la Vie avec la sublime Romy, ou encore quelques portraits de Hugh Grant (oui, ça fonctionne au masculin aussi) dans 4 mariages et 1 enterrement (film culte de ma dvdthèque au demeurant) pour créer alors une obsession omniprésente, une tentation à laquelle je me devais de céder.


- a fini par se concrétiser, une veille de fin de droits de mutuelle (classique me direz-vous), 15 opticiens, et une paire de lunettes Paul Frank plus tard.


L'Homme déteste.
Moi j'adore.

Mais allez lui faire comprendre le schmilblick optique hallucinant derrière tout ça...

F.B