Métro Boulot Vélo

"Si la réincarnation existe, j'aimerais revenir en selle de vélo pour dames".
Jim Mac Mahon

Mode "gaulée pour l'été" (et élimination des chocolats de Pâques) activé.
Et pour compléter mes sessions de barreshape (si vous avez raté mon post à ce sujet, c'est par ici), je m'initie à une autre discipline fraîchement débarquée des Etats-Unis : le indoor cycling.

Une alliance parfaite entre cardio training, renforcement musculaire... Et dancefloor ! 

Une salle ultra-sombre, de la (bonne) musique à donf', un ou une coach survolté(e), et 45 minutes intensives pour brûler plus de 600 calories par cours : de la bombe de balle nommée Dynamo !

7 profs issus de disciplines différentes proposent leurs propres entraînements teintés de leurs expériences (yoga, fitness, cross fit, ultra trail, zumba, etc), de quoi tester et sélectionner celui ou celle qui vous motive le plus !

Personnellement j'ai testé pour le moment deux cours assez différents : celui de Lucile Woodward (coach et blogueuse fitness) au rythme entêtant de Rihanna ou Bruno Mars, et celui de John, plus branché electro et totalement dopant.

Comme la natation, le dynamo cycling est mixte, ne nécessite pas de condition physique particulière et s'avère beaucoup moins violent que le running. Aucun équipement à prévoir, des baskets un peu spéciales à crans (pour se clipser aux pédales) vous sont prêtées à chaque session. Vous n'avez qu'à vous munir de votre plus joli legging, brassière et tee-shirt !

Les cours sont payables à l'unité (30€) ou par forfait de 10, 20, 30 crédits (pour tomber à 21€ l'unité), tout est réservable/payable en ligne directement sur le site de Dynamo et vous pouvez même booker votre vélo préféré par rapport au plan de la salle. 

On ressort lessivé, rincé, essoré comme après un cycle coton long en machine à 40°C... 
Mais Dieu que c'est bon ! 

Endorphines, j'écris votre nom. 

Infos Pratiques : 

Site Web Dynamo

14 rue Saint Augustin

75002 Paris

Le Body, ce Meilleur Ami

"Les femmes souhaitent souvent être supérieures aux hommes, pourtant c'est bien en dessous (ou en lingerie) que les hommes les préfèrent".
Damien Caillaud

Depuis des années les marques de lingerie jouent du dessus-dessous pour nous affoler à coup de bustiers, jupons, tops et bodys... Toujours à la croisée des chemins de la presque indécence et de la pourtant totale élégance.

Body PRINCESSE TAM TAM (2013 - 2012 - 2011 - 2010)

Suggérer plus que dévoiler, sublimer plutôt que cacher, tels sont les maîtres-verbes de la tendance du "shapewear", visant à sculpter notre corps grâce à des modèles ultra-sexys, loin de la tristement célèbre culotte à la Bridget Jones. 

2013 devient ainsi l'année charnière dans l'avénement du body. Cette pièce hybride, entre lingerie et vêtement, dessus et dessous justement, pèse ainsi de plus en plus lourd dans les rayons des magasins spécialisés comme dans nos chiffonniers... 

Et s'il y a bien une enseigne qui a compris ce potentiel depuis fort longtemps, c'est bien Princesse Tam Tam. C'est d'ailleurs chez eux que je me fournis, since mes premiers sans armatures de 6èmeB, puis ma première body folie. 

100% coton à l'époque, j'ai rapidement viré dentelle une fois l'adolescence digérée.

Grâce à leur technique "dentelle leavers" et un nouage de fils unique, cette matière (la plus ancienne française) réservée à la haute couture, est utilisée chez eux à plus grande échelle pour ce type de lingerie. 

Un bonheur de douceur (exit la dentelle qui pique), un atout séduction (welcome darling) et une arme anti-froid et surtout anti-complexe (comment se sentir sexy tout en camouflant ce petit ventre ou cette mini-bouée sur le côté) ! 

Pour moi un investissement généralement bi-annuel (ou plus) (je fais partie de celles qui achètent des dessous à l'excès) (entre autres choses comme vous le savez) qui n'a rien d'un caprice chic. 

Et tout d'une pépite.