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lundi 23 avril 2012

Avant Minuit

"Les ballerines sont toujours sur la pointe des pieds. Pourquoi n'en engagent-ils pas de plus grandes ?"
Robin Williams

Les histoires d'amour à la sauce Cendrillon, c'est pas mon truc (enfin pas toujours).

Mais ça l'est beaucoup plus lorsqu'il s'agit d'un tout nouveau concept mode, pour le moins "shoesesque" et même un peu Princesse (sur les bords). Laissez-moi donc vous conter, cette jolie histoire de souliers de fée.



Il était une fois le mois dernier, lors d'un début de soirée entre comparses blogueuses conviées pour l'occasion... Rencontre avec Céline, jeune artiste issue du marketing, au sein de son appartement "bobo-isant" du 6ème arrondissement, lieu même de ses premiers frémissements créatifs. 

Elle nous sert une coupe, nous installe confortablement entre son chat et quelques macarons Pierre Hermé (l'arme fatale pour séduire un public 100% féminin), et nous présente l'un de ses modèles de ballerines à noeuds brevetées, et délicatement déposées sous le nom de marque Avant Minuit

A Partir de là, plus rien ne nous intéressait hormis tester les centaines de combinaisons ballerines/noeuds possibles. Hystériques nous étions (et j'euphémise volontairement).

De vraies gamines face au soulier magique, démultipliable à l'infini selon nos envies. 
Et les miennes m'ont dirigée vers la paire "Souris de l'Opéra" et ses déclinaisons noeuds fluo.


Son site et son e-shop ne sont pas encore disponibles (je vous préviendrai ici-même lorsque ce sera le cas) (je vois déjà, vous, les (autres) amoureuses, vous déchaîner de demandes en tout genre via mails, alors j'anticipe), mais son application iPad, oui !

Chanceuses propriétaires Apple, c'est le moment de trouver ballerines (et noeuds) à votre pied. 


A vous de créer et recréer mes "e-Cendrillon".
Pour un modèle qui n'ira qu'à votre pied, et ce, sans jamais vous lasser.

F.B

mardi 22 mars 2011

Wonder Woman

"Les hommes ont confiance en eux parce qu'ils ont grandi en s'identifiant à des super-héros. Les femmes ont une mauvaise image d'elles-mêmes car elles grandissent en se comparant à Barbie".
Rita Rudner

Particulièrement newbie (comprenez débutante, les non-anglophones au fond de la salle) en matière de make up (là, si vous ne comprenez pas, je ne peux rien faire pour vous) mais souvent fidèle à la même enseigne, je n'en suis pas moins toute attentive à toutes sortes de nouveautés dites "tendances". Ou du moins, suivant une certaine logique marketing du moment.

La dernière en date m'ayant captivée s'inscrit dans la mouvance Comics, déjà adoptée par bon nombre de marques (je pense Diesel ou Téo Jasmin)... Et déclinée à l'infini (jusque dans mon iPad avec la superbe application Marvel).


No suprises pour les beauty addicts, je veux bien entendu vous parler de la collection inédite Wonder Woman by M.A.C.

Plaisir des yeux et assurance d'une qualité irréprochable, voilà comment je qualifierai ce genre de mini-séries lancées par la marque (Venomous Villains réunissant les méchants de chez Disney, Hello Kitty et bien d'autres).


Et c'est exactement l'ADN que j'ai retrouvé dès l'ouverture du papier de soie black de mon colis surprise :

- Un sac cabas glam' pour remplir sa super mission "courses du dimanche".


- Un stylo feutre eye liner bien noir pour se créer un regard d'héroïne de charme (j'y travaille mais mon trait n'est pas encore assez parfait pour être dévoilé).


- Un vernis navy blue "canonissime", du genre idéal pour accueillir le printemps sans tomber directement dans le vert anis fluo (et donc dans la case "cagole", du Sud ou du Nord, sans distinction aucune) (suis tout de même capable de le tenter sur les orteils d'ici une semaine).


Plutôt tentant pour s'illuminer sa vie de super héroïne des années 2000, ou tout simplement pour celles qui conjuguent beaucoup trop de choses à la fois (et des plus insolites (et parfois destructrices)), et méritent d'être reconnues comme la Wonder Woman qu'elle jouent (admirablement) au quotidien.

Suis d'humeur féministe ce matin, je conclurais bien sur un "Giiiiiiiiirl Powaaaa" !

F.B

jeudi 10 mars 2011

It-Pad


"L'ordinateur est un appareil sophistiqué auquel on fait porter une housse la nuit en cas de poussière, et le chapeau durant la journée en cas d'erreur".
Philippe Bouvard

Mes e-ami(e)s, sachez que depuis quelques semaines, je me suis lancée dans une quête (une nouvelle fois) irrationnelle, de celles qui vous rendent folle, obsédée puis désorientée (à force d'en voir passer, bah vous ne savez plus vraiment ce que vous cherchiez).

En l'occurrence ma recherche porte sur la housse parfaite, l'enveloppe corporelle digne de mon nouveau bébé iPad offert par mes très chers ex-collègues à l'occasion de mon départ.

Quelque chose qui saura le protéger biensûr, mais pas que, évidemment. Parce que le critère "esthétique" reste primordial et que la sélection Fnac n'a pas émoustillé mon sens "geekette", mais alors pas du tout. Juste un truc zippé et irisé, acheté à la va-vite dans l'urgence de.


Passés les 15 jours à me balader avec sous le bras, j'ai donc comme des envies d'objet more fashion, histoire de transformer cet outil de travail (oui, oui, oui) bien visible en it-accessoire, en it-bag, en it-Pad finalement.

A défaut de trouver bonheur dans les rayons des magasins traditionnels, je suis allée fouiner du côté de chez Etsy. Fouiner ou plutôt errer...

Faut dire que ce site honore parfaitement sa réputation de lieu de perdition, au sens propre du terme. Le site où l'on peut aisément passer du coq à l'âne tant les mini-boutiques des particuliers et professionnels du "fait main" recèlent de trésors en tout genre.

Illustration immédiate avec ma recherche du jour, THE housse, à savoir en vrai anglais dans la barre "iPad Case" ou "Paddie" :

Du très girly rose matelassé, imprimé friandises et intérieur vichy...


Mais aussi du "feutré" faussement siglé Apple...


Ou encore du recyclé, à partir de bâches publicitaires, vieilles affiches de ciné ou théâtre...


Et même découpée dans un simple livre élastiqué...


En passant par des imitations de journaux et bande-dessinées...


Une housse chemise "repassée/pliée/prête à ranger"...


Ou carrément de la fausse-fourrure pour une shearling pocket...


???

Interloquée j'étais, oui.

Et en bonne "bonne femme" justement, il suffit que je me retrouve un peu perdue pour totalement craquer la culotte Fifi Chachnil en allant rêvasser du côté des couturiers... Zonant chez Mulberry ou Marc Jacobs.

Jusqu'au moment fatidique, la rencontre éblouissante entre lui, moi, et ma nouvelle tasse Kusmi, admirablement assortie (ultime chic : coordonner son gobelet de thé et sa housse iPadisante) (lol inside).


Et comme en bonne "bonne femme" encore et encore (que de répétitions) (j'aime pas ça moi les répétitions), une dépense excentrique en amène toujours une autre, j'imaginerais bien aussi glisser mes deux petits trésors dans le grand que voilà (histoire de célébrer le printemps) :


Ah j'vous jure ces bonnes femmes à iPad... Ce sont les pires.

F.B

mardi 11 janvier 2011

Business Barbie #2


"A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la la sensation de temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons".
Charles Baudelaire

(Oh My God... C'est pas la suite du billet indigeste d'hier quand même ?!)

Et bien si, me voilà repartie (et vous, par la même occasion) pour un "vis ma vie en openspace" bis, agrafeuse et presse-papiers en guise d'armes à feu pour la lecture de ce billet.

Mais cette fois, promis, aucune digression sur mon statut de jeune cadre en mutation, juste quelques coups de coeur "spécial bureau" d'une fausse workaholic de retour d'arrêt maladie.

En quelque sorte un mini-guide de soldes déculpabilisantes, parce que dans l'idée, ce sera "pour mieux travailler".

D'aussi loin que je m'en souvienne, la seule et unique chose qui me rendait hystérique en période de rentrée des classes (en dehors bien sûr du fait de retrouver mes keupines, mes soirées pyjamas, et donc ma liberté), c'était le rituel de l'achat des fournitures.

La "Tann's fever" de début septembre.

La liste avait été lue, relue, décortiquée afin d'en tirer le meilleur du cahier, et d'attaquer un repérage intensif et "juilletiste" (les deux termes ne sont finalement pas si antinomiques sous cet angle de vue) de certaines pièces maîtresses. Je pense notamment à l'agenda.


A l'époque je misais tout sur une personnalisation extrême : photos persos, étiquettes de fringues, publicités de parfums... Un joyeux bordel moodboard devenu trop enfantin avec le temps, une sorte d'ancêtre de profile page Facebook, forcément over has been aujourd'hui.

Pas over, mais presque has been, l'organizer du jour est d'ailleurs un Moleskine rouge sang, orné d'un stylo bille Ariel la Petite Sirène, vestige de mon dernier week-end chez Mickey, touche personnelle forcément décriée (vous imaginez bien la tête de la collègue en voyant ça posé sur la table centrale de réunion) (mais quand va-t-elle grandir cette petite junior ?!).

Mes aussi mes petits cahiers chinés dans la petite mais trendy boutique du Palais de Tokyo à Paris, où tous les produits en vente sont présentés en vitrine dans des frigos (attention, hype concept). Et un coup de coeur à part à ranger dans la catégorie "Et si j'avais un iPad", une housse bling-bling fushia. Pour être Apple et Hilton à la fois.


Cette montée de "travaillite aigüe" devant être logiquement contrebalancée par un excès de Kusmi Tea (Magic Circus, mon it du moment), quelques chocolateries à portée de souris (et pourquoi pas ce mini-camion Cadbury rempli de Finger ?!), et une décoration perso histoire de se sentir un peu chez soi dans ce univers fait de "nous" ("Nous accusons réception de", "Nous revenons vers vous au plus vite", "Nous vous présenterons ce dossier le"...).


Et a défaut de ce sèche-vernis "Monkey", certes particulièrement hilarious, mais pas très "poste à responsabilités importantes" (ou ce couteau-suisse de beauté, idéal pour une manucure entre deux e-mails (disponible chez Sephora) (j'anticipe vos interrogations mes adorées), j'ai adopté grâce à mon adoré (en l'occurrence) de nouvelles petites poupées porte-bonheur special work.

Sèche vernis à retrouver sur MageekStore

Trois petites KimmiDoll, chinoiseries de bureau d'aujourd'hui, chacune ayant un pouvoir magique spécifique.

Elles incarnent toutes un grand principe de vie et sont censées transmettre les valeurs qu'ils leurs sont associées... "Intelligence", "Chance" et "Beauté" sous la coude, je me sens presque rassurée.

KimmiDoll à retrouver ici.

Trève de papeterie, faut que je parte bosser.
Cette fois-ci, c'est BigBoss qui m'a bippée.

F.B

Edit : Pour conclure, un dernier accessoire ultime pour pause cigarette, un truc "en plume" à destination des fumeurs (anti-tabac, ne regarde pas), j'ai nommé un adorable briquet Dupont "purple corporate", cadeau post-anniversaire de ma S. chérie.