vendredi 19 mars 2010

Et pourquoi pas Alsa ?

"Dans les souvenirs d'enfance de chaque bon cuisinier se trouve une grande cuisine, une cuisinière en marche, un gâteau qui cuit et une maman".
Barbara Costikyan

Qui dit blog de fille dit mode (scoop du jour: les femmes aiment le shopping), dit beauté (scoop du jour bis: les femmes adorent le maquillage et les crèmes en tout genre), dit joaillerie (scoop du jour ter: les femmes chérissent les bijoux surtout très chers, dit astro (mais pas de billet sur Elizabeth Teissier, svp), mais dit aussi cuisine, de la plus "Top Chef" d'entre nous à l'abonnée des plats surgelés.

Disons que sur ce curseur, je me situe plutôt du côté Picard que "millefeuille de tofu mariné au carvi et tombé d'épinard", plus habile du clavier que du fouet, et plus "pâtes carbo" que cuicine gastro chez Troisgros.

Alors quand la marque au sachet rose Alsa m'a proposée de tester sa nouvelle préparation pour macarons, la toute dernière innovation de la "Maison", j'ai poussé un cri (d'otarie), gloussé, ricané puis accepté, ne pouvant refuser ce coup de pouce inédit, véritable prémisse à du (presque) fait maison a priori so easy (même pour une cuisto niveau flocon comme moi).


Entre le fameux "Jeu de la mort" (i.e le faux jeu/enquête socio de France2) et les hurlements reptiliens de l'Homme ("J'ai faimmmmmmmm"), je me suis mise en mode "bête et disciplinée" (ou "blonde et obéissante"), mode d'emploi magnétisé sur le frigo, ingrédients dosés et répartis sur le plan de travail (euh... la plaque vitro-céramique de ma cuisinière de studio).


(Fausse) surprise, c'est aussi simple et rapide que le promet le dos du paquet. Un sachet pour le fourrage chocolat à mélanger dans du lait bouillant et à laisser reposer au réfrigérateur, un sachet pour les coques à incorporer dans 2 blancs en neige, 20 minutes de cuisson à 50°C puis 15 minutes à 150°C (sans préchauffage et photo en pleine action s'il vous plaît).


Des oeufs de taille moyenne bien frais et bien montés, 120ml de lait entier et une nuit au frais plus tard, j'ai (presque) mis mes collègues à genoux avec mes petits macarons fous fous fous.


Je vais maintenant m'attaquer aux autres préparations (fondant saveur caramel beurre salé, rochers coco, pain d'épices, gâteau basque ou breton, mon coeur balance) toute enorgueillie par ce premier essai.

F.B