Drôle de Photomaton

"Prendre quelqu'un en photo, c'est un peu comme le rencontrer dans un train".
Martine Franck

De la cabine d'essayage à la cabine Photomaton...

C'est l'expérience que nous propose IKKS depuis sa campagne publicitaire printemps/été 2010, pour le plus grand plaisir de mon penchant vintage, mon amour du vrai papier (photo, en l'occurence, mais tout y passe généralement, je suis Mlle Papeterie depuis ma plus tendre mon enfance), et mon gène Polaroïd souvenir.

Remis au goût du jour certes, car inscrit dans la lignée du néo-rétro aux côtés de la lomographie et ses appareils aux couleurs flashy, du fameux Pola décliné en application iPhone pour dégainer ses photos aux contours carton blanc (Hipstamatic, the best one), et des anciens Photomaton, devenu légion en pays bobo (notamment au Palais de Tokyo) (mais si, souvenez-vous).

Car, Amélie Poulain, aussi.

Furieusement tendance donc, le site IKKS nous propose de nous tirer le portrait façon "j'me tape un délire tout seul devant ma Webcam" avec 4 prises de vue instantanées et presque simultanées.

Une application ludique, déjà testée et approuvée.

L'occasion aussi de retrouver l'égérie maison, Mlle Virginie Ledoyen, my favourite actress when I was a child (depuis, je suis passée par des phases Angelina, Julia, Keira, etcetera), toujours si fraîche et "parisienne".

Comme si les photos ne parlaient plus assez, la marque a voulu aller plus loin dans l’univers des Photomatikks.

Cet automne c’est toute une série de clips vidéo tournée dans les cabines que nous découvrons sur la toile et sur le site. Pendant que Pierre de la Star’Ac se fait flasher à 180 km/h au volant de sa voiture sur le périph parisien, une Lolita se fait surprendre en train d’essayer sa nouvelle culotte et un videur nous cause méchant... De quoi faire rire petits et grands.

Et vous, si on vous dit "tabouret réglable", "rideau drappé", "cabine fermée" et "4 flashs", vous pensez à quoi ?

F.B

Billet sponsorisé