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vendredi 24 août 2012

Capri Fleuri

"L'amour est comme l'églantine sauvage, l'amitié est comme le houx, mais lequel fleurit avec le plus de constance ?"
Emily Brönte

Suite (et non fin) de mes pérégrinations italiennes, en look cette fois-ci comme promis, avec aujourd'hui, du noir et blanc aztèque sur lit d'imprimé fleuri.
Le débardeur Surface to Air offert dans Grazia en bonus gratuit, ici aussi.

Blouson et Jupe H&M -
Débardeur SURFACE TO AIR -
Baskets CONVERSE -
Lunettes RAY BAN (disponibles chez EasyLunettes)

Retour de plage, petite soie pour soirée d'été (bien plus chic que la dite "petite laine") sur les épaules, Converse dénouées pour se jouer des ruelles et des montées (l'unique inconvénient intrinsèque des villes à flancs de falaise) (le reste n'étant que délice et romantisme)...

Une silhouette en apparence très détendue sur laquelle j'ose le mix d'imprimés tant redouté.
D'où une certaine pression backstage (enfin dans ma tête quoi) (ahem), l'heure venue de shooter le résultat.

Clichés qui finalement me plaisent plutôt, d'où certainement le pré-sourire existant sur les photos.
Et l'oeil presque pétillant derrière ma dernière paire d'Aviator bleu glacier/argentée.
A Good Fashion Feeling...?

F.B

mardi 24 mai 2011

Baba de toi Zara


"Faire l'amour dans un champ excite les fleurs".
Proverbe Hippie

Ne me questionnez pas sur les raisons d'une telle citation, c'est tout juste si je l'ai trouvée simplement-érotiquement charmante... Tout en imaginant tour à tour, vos discrets sourires en coin à sa lecture.

Enchaînons sans transition (oui, oui, je me donne du courage...) avec une silhouette presque parfaite du week-end.

Avec du cool dedans, et pas mal de baba aussi.

Un jardin (MON jardin) (je m'emballe pour des m2 de gazon en bonne néo-banlieusarde parisienne), un magazine féminin (MON Grazia en l'occurence), quelques gazouillis d'oiseaux pas tropicaux, et un paréo, pas rose fluo, en guise de serviette de pelouse.

Le tout vestimentairement accompagné d'un chapeau de paille, d'un pantalon imprimé bohème en soie et d'un tee-shirt blanc 100% lin... La parade idéale aux températures élevées/petit vent frais de début de soirée.


Le tout commandé chez l'espagnol Zaaaaaaaaaaaara ! Qui, je le rappelle pour les débutantes, propose depuis 9 mois déjà, un eshop aux petits oignons pour les adeptes des p'tits craquages en ligne.

Des lookbooks plutôt canons, et même une rubrique streetstyle hyper inspirante.

Jugez en plutôt par/avec mes 2 derniers crush : un (autre, donc) (faut que je me soigne des achats à répétition) pantalon baba et ethnique en soie, et un mini/mimi blouson en leo black and white ...


Une enseigne à petits prix toujours aussi "in" à mes yeux, et une boutique online parfaitement au poil.

F.B

lundi 2 mai 2011

Moi Lolita #2

"Chaque pomme est une fleur qui a connu l'amour".
Félix Leclerc

Vous n'avez pas pu passer à côté durant le "magazinage-transat" intensif (j'parle pour moi en tout cas) du week-end de Pâques et ses "spécial beauté" tentants à souhait :
la dernière Eau de Toilette
de Lolita Lempicka est enfin sortie, suite toute logique du premier opus tant apprécié (et dont je vous avais parlé juste ici, suite à la visite de l'appartement boudoir de la divine créatrice).

Annick Menardo, la maître parfumeuse de la marque, a ainsi créé un jus pour coller à l'évolution de la femme Lolita (qui en 14 ans, a bien grandi évidemment). L'objectif résidait dans le fait de retrouver les quelques effluves du best seller tout en lui apportant de nouvelles facettes...

"Il y a environ un an, on m'a demandé de penser à ce que pourrait être l'Eau de Toilette du Premier Parfum de Lolita Lempicka, d'imaginer la fragrance qui aurait pu vivre à côté de cette dernière et donner une autre dimension au profil de la femme Lolita, de raconter olfactivement la suite de l'histoire, le goût du pêché...", dit-elle.

Autant vous dire que je trouve le pari largement réussi, grâce notamment à quelques changements très subtils : une réglisse moins sucrée et plus forale donnant un sentiment de féminité assumée, un Iris abricoté et des Muscs plus sophistiqués (faisant écho au patchouli de la version initiale) créant une élégance affirmée.


Le flacon a été "softement" revisité lui aussi, sans plumes ni dorures (ou presque), et avec une morsure !
On redécouvre ainsi cette pomme violette enfin "croquée", descendante de celle que l'on a tant aimé laisser régner en maître sur le lavabo... Un it-packaging qui fût l'une des raisons clés du succès du premier.


Sylvie de France, la designer, souhaitait cette fois-ci dévoiler la face cachée du flacon. Pour elle : "cette pomme croquée, c'est la morsure d'amour. Un flacon qui dit tout du goût du péché (...)". Pour les plus curieuses des beauty addicts du jour, sachez aussi que vous pouvez retrouver toutes les étapes de cette nouvelle création en vidéo en suivant ce lien.

Un bien joli lancement qui me donne des envies de looks de nymphette, à l'instar du spot publicitaire, histoire de ne porter que quelques gouttes de cette Eau de Toilette Lolita (et pourquoi pas un ensemble sexy (ici signé The Cherry Blossom Girl pour Etam)


F.B

Billet Sponsorisé

mardi 26 avril 2011

MamyModeuse


"Entre ma femme et moi le partage des tâches ménagères est équitable. C'est moi qui les fait, c'est elle qui les nettoie".
Philippe Geluck

J'ai un côté Desperate Housewife, que j'assume pleinement.
La preuve en deux temps, pour un billet aussi looké que ménager.

1. Au grand drame de l'Homme, j'affectionne particulièrement les imprimés fleuris un peu "tapisserie".

Ceux dont on dit qu'ils ne rajeunissent pas, mais qui du haut de mes 25 printemps, me donneraient presque des airs de jeune femme en fleurs.

Je collectionne donc les dits liberty en déclinaison boyish (je pense à mes Dunk Nike...) ou sexy (je pense cette fois-ci à la collection d'Alix pour Etam), osant même parfois le full look via une veste dénichée chez H&M (et pourtant repérée lors d'un streetstyle Grazia).


Et cette fois-ci, c'est un top fleuri ET en relief qui m'a dangereusement fait de l'oeil au hasard de mes clics sur l'eshop American Apparel.

Assorti à mon jupon long bleu profond, je l'a-do-re (accent de fashionista surexcitée).

Jupe longue et top American Apparel

2. Sans transition, j'ai également un gros faible pour les recettes de grand-mère, pour les soupes maison, comme pour les techniques de ménagère avisée.

Je conseille ainsi bon nombre de mes ami(e)(s) dès qu'un accident type "vin rouge renversé" ou "cornet de frites dégouliné" intervient dans leur quotidien. Et pour toujours trouver une parade aux différents styles de tâches, j'ai répertorié quelques techniques simples et efficaces, accessibles au dernier des abrutis maladroits.

Il suffit de s'équiper a minima, et de posséder quelques produits essentiels :

- de l'acétone (dédié aux tâches de peinture, de colle, de cambouis ou de vernis),
- de l'alcool ménager (pour le vin, le beurre et les graisses),
- de l'ammoniaque (à utiliser diluée et jamais pure, pour ôter le café ou le thé)
- et du vinaigre blanc (pour enlever l'encre, la rouille et les moisissures).

Ensuite tout est une question de rapidité et d'identification du tissu (certains items ci-dessus comme l'acétone peuvent brûler les fibres artificielles). Je vous conseille aussi de toujours faire une touche d'essai dans un coin discret avant lavage, et de bien étaler le détachant en frottant de l'extérieur vers le centre de la tâche.

Sur ces doux conseils javellisés de MamyModeuse, je vous laisse (enfin) tranquille afin d' (enfin) attaquer votre journée.

F.B

jeudi 31 mars 2011

Moi, féministe ?

"Je n'ai jamais réussi à définir le féminisme. Tout ce que je sais, c'est que les gens me traitent de féministe chaque fois que mon comportement ne permet plus de me confondre avec un paillasson".
Rebecca West

Je ne peux m'empêcher de vous parler de ma dernière lecture féminine de métro, un magazine jusqu'alors inconnu, attrapé à la volée dans un Relay en prévision d'un long trajet. Ca s'appelle "Causette", et ça se présente comme un féminin "du cerveau plutôt que du capiton".

Une sorte de 3ème voie entre les féminins traditionnels et les news généralistes, une ligne résolument différente, plutôt bien anglée, un véritable hybride symbole d'une nouvelle génération avide de passion plutôt que de torchon.

Alors oui, ça détonne.
Mais non, ce n'est pas mon truc. Trop "Girlie" dans le fond et pas dans la forme, et surtout trop féministe (et pourtant, je suis la première à dégainer un "girl powaaaaaa" quand il le faut (ou pas))...


Seule une rubrique a retenu mon attention et m'a fait décrocher un sourire niais de bonne femme en pleine rébellion machiste. En voici quelques extraits :

- Léa Passion journaliste :

Grâce au jeu vidéo Léa Passion, l'éditeur Ubisoft propose aux gamines d'exercer le métier de leurs rêves : styliste, danseuse ou journaliste.

Alors quand l'entreprise de vente en ligne LDLC en fait une description, elle tombe dans la stupidité : "Réalise ton rêve, celui de faire la belle à la TV. Fais l'apprentissage des principales techniques de journalisme : maquillage, brushing, conduites d'interview séduction".

Une vision du métier dont on sort grandies ! Et de citer Mélissa Theuriau - la petite veinarde qui a épousé un comique - avant d'effrayer les joueuses : "Mais, attention, à trop bien faire son boulot, on devient Arlette Chabot!" (sic). Rédacteur doué pour augmenter les ventes ou sexisme ambiant, entre les deux explications , notre coeur balance.

- Elle.fr :

Lorsque le site Elle.fr se lance dans l'astrologie, ça peut déraper. Au sujet de la femme Scorpion : "Certains soupçonnent la femme Scorpion d'avoir des tendances lesbiennes en la voyant chercher activement la compagnie des autres femmes. Ce soupçon est injustifié, car la sexualité de la native est parfaitement normale."

L'article a été retouché après que le site Yagg.com ait dénoncé le manque d'ouverture d'esprit de cet horoscope, mais on y trouve encore quelques perles. Extrait : "Le femme Scorpion peut être intéressante, mais les hommes ne la trouvent pas assez "femelle". Le Scorpion au féminin est résolument féministe, s'occupe décemment de ses enfants à condition qu'ils soient beaux, intelligents et dynamiques". N'en jetez plus !

- Adopteunmec.com :

Ce site de rencontre propose des "hommes-objets" à "câliner" et permet "aux douces clientes" d'inverser les rôles traditionnellement dévolus à chaque genre. Les hommes du site ne peuvent donc parler aux filles que si elles le veulent bien (ré-vo-lu-tion !).

Sur la page d'accueil, vous pouvez lire un fabuleux "Comment devenir populaire ?" qui vous oriente dans votre quête et qui, surtout, révèle un renversement des codes de séduction vraiment révolutionnaire : "Soyez Sexy" puis "Flattez leur ego", nous on conseille d'ajouter "Ne fais pas brûler le rôti". En tout cas, pour mon grand-père, c'était rédhibitoire...


Passées ces quelques lignes pleines de drôlerie, j'ai rapidement était saoulée par l'esprit "Simone de Beauvoir" des années 2000 et une tendance politique bobo-gaucho un peu trop marquée à mon goût.

Sans remettre en cause la qualité des photos et le contenu dit plus "élitiste", je peux clairement affirmer ne pas adhérer à ce type de presse... Et lui préférer un bon Grazia des familles, idéal pour décompresser et surtout continuer de rêver sans se polluer la "teuté".

J'aime les magazines de fi-filles, pas ceux des femmes ne jurant que par les femmes.
J'aime les papiers sans prétention, pas ceux se la jouant "à contre-courant" pour faire plus intelligents.
J'aime les canards avec de l'horoscope bidon et de la sélection shopping dedans, je suis blonde, et j'assume totalement.

F.B

mercredi 22 décembre 2010

Magazinage hivernal

"Il y a trop d'eau, trop de froid et pas assez de pétrole dans les pays froids, et pas assez d'eau, trop de chaleur, et plein de pétrole dans les pays chauds. A part ça, Dieu n'est pas alcoolique".
Claude Frisoni

Un peu de néo-lecture (ou plutôt néo-magazinage) pour les prochains jours à venir, synonymes de feux de cheminée, d'excès d'huître et de bons moments à tuer.

Que ce soit dans le TGV bondé ou pour les longues séances intensives de salon familial, mieux vaut s'équiper et ne pas passer Noël sans échappatoire lettré, signe d'une envie soudaine de solitude appréciée ou mine de sujets de discussions en tout genre (pour éviter les sujets, qui eux, fâchent) (à adapter selon les cas, du "Ah ma chérinette chérie, toujours pas de Jules alors ?!" au "Et au boulot, comment ça se passe ? Pas d'augmentation en vue ?!").

Et histoire de ne pas tomber dans le sempiternel ELLE (déjà lu de toute façon) et le désormais incontournable Grazia, j'avais décidé de tester un nouveau titre sorti le mois dernier : "Les Pétroleuses". Non pas que leur nom m'ait particulièrement attirée (je trouve ça plutôt laid), mais j'aime trop la nouveauté pour ne pas céder.

Alors, oui, je sais, le 2ème numéro vient de paraître, j'ai déjà un train de retard. Mais qui dit prix exorbitant (2€95 tout de même) + contenu décevant = pas de ré-achat prévu pour le moment (ou alors, faudrait vraiment que la couverture soit alléchante) (ce qui n'est pas vraiment le cas, là...) (non mais sans déconner, faut arrêter la fausse neige).


Ma déception, je vais vous la conter en 3 temps.

1. La ligne éditoriale :

Malgré la présence de certains sujets rarement évoqués dans les féminins, comme un dossier assez complet sur la réalité augmentée (c'est mon côté geekette qui ressort) et des articles comparatifs, notamment sur les courses en ligne, qui respirent l'honnêteté (et ça change pour une fois), le reste du magazine se contente des marronniers déjà exploités, de la thématique "sale gueule de novembre" aux billets spécial sexe, mauvais de chez mauvais (on est loin de prendre son pied mes beautés).

2. Les shootings photos :

Même si la mise en page sort un peu du lot et ne se contente pas de pomper les "killer chic" ou autres "fashion radars", la qualité des photos et visuels en tout genre laisse largement à désirer.
Certes, le mag se lance et doit certainement se satisfaire d'un budget type "peanuts"... Mais débourser ses deniers pour de la photo mode digne d'un skyblog (j'exagère mais vous avez compris l'idée), je dis non, mais non merci.


3. Le positionnement général du titre : Déjà le titre justement, est drôlement intriguant et je ne me projette pas vraiment dans l'image de "la pétroleuse"... Loin de moi l'idée d'un magazine nommé "Princesse" mais quand même, il y a un gap entre la symbolique fi-fille et le profil camionneuse.


Ensuite, la mise en rayon. Coincé entre Femme Actuelle, Top Santé et Notre Temps, on ne peut pas dire que ce soit tellement engageant (on est loin du Vogue/Glamour). Et c'est plutôt contrariant en terme de cible, puisqu'il semble s'adresser à de la jeunette en goguette dans mon genre et non à la mémé de quartier (oui, j'ai besoin d'être rassurée sur mon statut de djeun's après ce "1/4 de siècle birthday") (y'a qu'à voir, je ne m'habille plus qu'en complète ado, quitte à porter un tee-shirt "tête de chat à lunettes" sur mon dos) (oui, ça va mal).


Trêve de plan lecture foireux, si vous partez réveillonner, optez plutôt pour l'édition papier du site Marmiton, ma bible culinaire de l'Internet, celle qui me sauve de la conserve de petit pois une fois rentrée chez moi.


Des it-recettes élues par les internautes depuis les débuts du site, en mode inratables et "siouper" bons, jolies illustrations à l'appui, et éclairages de génie à l'heure où l'espoir de manger sain fait grise mine, la tête égarée dans un réfrigerateur vide.

D'ailleurs, je vous concocte pour bientôt un petit billet (aux oignons), dédié aux plaisirs des mises en bouche créatives pour cette fin d'année. Attention la "blogueuse mode" va se transformer en Baby TopChef.

En attendant, je vous souhaite pour l'instant une bonne et mauvaise lecture les e-adorés.

F.B

lundi 13 décembre 2010

Mix


"Je n'aurais pas pu être boucher. J'avais pas le coeur. Je n'aurais pas pu être matador. J'avais pas les tripes. Je n'aurais pas pu être Bardot. J'avais pas les fesses".
Pierre Desproges

En ce lundi 13 décembre, veille d'une journée qui sonnera le glas de mon 1/4 de siècle (imaginez une musique d'ambiance type Sonate en Clair de Lune, jouée dans une station de métro parisien, entre escaliers mécaniques et portillons automatiques)...

J'aurais pu vous parler de chaussures adaptées au froid polaire (et autres trottoirs glacés) qui quintuple(nt) nos temps de trajet ces temps-ci dans nos contrées... Mais non, d'autres l'ont déjà fait (faut dire que parler de la neige, c'est un peu ce qu'on a fait de mieux dernièrement), et la simple vue du modèle "Duck Boots", érigé comme ultime accessoire de mode hivernal par les américaines, me coupe l'envie d'un panorama de trucs informes à ranger dans la catégorie bibendum (et me file limite la nausée des pieds).


J'aurais pu vous parler du fabuleux cupcake que j'ai mangé (un mélange banane/caramel beurre salé), tout chaud et tout droit sorti de chez Chloé, véritable maison de Hansel et Gretel en plein coeur de Pigalle. Ou de ma découverte (caloriquement irréversible) des oursons au chocolat BLANC fourrés guimauve.


J'aurais pu vous parler de tous les espoirs que je mets dans la lecture du consumer magazine H&M, et comme ceux-ci se retrouvent toujours récompensés. Encore ce mois-ci, avec un reportage sur le métier de tendanceur hyper bien ficelé, suivi d'un dossier spécial "lingerie" ne manquant pas de m'inspirer pour un prochain rendez-vous au sein d'une maison de renom (stay tuned, je vous emmène bientôt chez Eres...).


J'aurais pu vous parler du bide international familial que j'ai fait quand j'ai osé proposer ce modèle de chaussures Paul Smith comme cadeau potentiel pour un membre mâle du clan.

Vous trouvez ça "papy moche" vous aussi (j'ai besoin de soutien, oui oui oui ) ?


J'aurais pu vous parler de ma nouvelle recette de fondant au chocolat 75% margarine 25% beurre, apprise lors d'un (presque) cours de cuisine chez Unilever.


J'aurais pu vous parler de ma nouvelle lubie ongulaire : dénicher ce vernis à petits coeurs rouges Nicole by OPI, introuvable à date dans mon Monoprix (plus trop) chéri.


J'aurais pu vous parler de ma nouvelle lubie vestimentaire (immortalisée dans Grazia), cette fois-ci : associer maille et legging (en laine) (suis frileuse). J'accepte même de troquer ce modèle bleu ciel Prada contre le Marilyn de chez Gérard Darel.


J'aurais pu vous parler de ma "it-découverte qui fait trop plaisir" du week-end, l'enseigne Oysho, qui comme son nom ne l'indique pas, nous vient d'Espagne.

Mais c'est personnellement rue de Rivoli que j'ai fait un carnage homewearien, chez ce roi de la lingerie et de la fringue doudou, cousin du géant américain Victoria's Secret, rapport trendyness/prix dans le sang.


J'aurais pu vous parler de tout ça plus longuement, en approfondissant chaque détail superflu utilisé (et en vous gavant d'un certain matérialisme affiché), mais j'ai préférer opter pour un mix improvisé.

Satisfait(e) ?

F.B