Jules Renard
Et... Oui. Même après les critiques ultra-négatives, voir même insultantes, qui ont fleuries un peu partout sur la Toile (notamment ici et là), je cherche à crier/hurler/arracher du clavier mon enthousiasme face à ce 2ème opus de la série chérie Sex and The City.
Et... Non. Même pas honte de ne pas me la jouer intello-rebello-critico (en plus 1. je n'ai pas payé ma place 2. j'ai été invitée en avant-première 3. j'ai pu inviter les keupines en plus 4. y'avait des cupcakes au buffet 5. et un stand de maquillage Benefit 6. beaucoup trop de cosmos).
Et... Finalement la "City" a changé, le "Sex" aussi, mais Charlotte, Miranda, Samantha et Carrie sont là.
Et... L'essentiel est là. Le manque (addict que je suis, thanks to my Sophie (oui, la belle brune de la photo)) d'épisode neuf est comblé, comme envolé dès la vision de la fantastique paire de Louboutin pailletés dès l'entrée (survoltée par une bande originale envoûtante (à découvrir juste ici)).
Sans oublier ma première "passion" et omettre de vous parler de mes pièces fétiches made in Patricia Field (la styliste de la série, pour les nuls du jour (ayant quand même eu la patience de lire jusque ici) : la longue veste de blazer portée par Carrie comme la "ptite laine" des soirs d'été (Maman, tu n'en as pas une dans le genre Max Mara ?!), les headbands new generation type diadème incrusté dans un foulard (importable In Real Life) et les épaulettes over-cloutées de Miss Jones.
Et... 2h26 plus tard, je n'ai pas vu les minutes passer et, inconditionnellement, succombée.
Fan, définitivement.
A la vie à la mort les filles (We're soulmates right ?).
F.B
4 commentaires:
J'ai trop envie de le voir! :)
Il faut quand même apporter un éclairage plus neutre et masculin à ce billet sous influence ! Honnêtement, ce triste opus voit surtout la transformation de "SATC" en "Cougar Town" tant les 4 copines n'ont plus de frais que leurs vêtements colorés ; de grandes chances donc que si 3eme volet il y a, il vienne à s'appeler "Senior Sex and The City". La vulgarité générale des attitudes vis à vis du sexe, du respect des coutumes étrangères ou d'une saine ménopause (!) rend l'ensemble tout sauf glam' et fera presque passer l'adaptation ciné de l'Agence tous risques pour un monument de finesse. Eh Eh !
je dois etre la seule qui n'est pas succombée a cette folie!
je ne suis pas normal peut etre ??
"L'essentiel est là" c'est bien résumé
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