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vendredi 27 septembre 2013

Tartan & Flowers

"Il doit avoir les cheveux propres, celui qui traite les autres de pouilleux".
Proverbe écossais
Friday look de rigueur avant le week-end, avec une pièce totalement désarmante, provocant des "Ooo" et des "Aaa" tant prometteurs que carrément dévastateurs... Une susnommée robe Zara, faite d'imprimé écossais et fleuri, et modèle phare de leur collection automne 2013 (comprenez omniprésent en vitrine, en lookbook, en homepage et sur les blogueuses Instagrameuses).

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Soft Pink Blazer MAJE -
Tartan and Flowers Dress ZARA -
Boots JONAK -
Red Bag from VENISE - 
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De quoi faire monter un désir (pourtant insolite) (voir totalement chelou) en puissance, sans compter sur la douce apparition de la toute aussi douce Aurélia (Fashion is a Playground), cerise sur le gâteau Fast Fashion et déclencheur d'un achat impulsif déculpabilisé. 

De quoi dégainer sa CB en toute impunité face à quelques euros pour un morceau bien looké (mais pas si facile à porter). 

Je l'ai testée sous plusieurs formes : avec une chemise à carreaux autour de la taille (un peu trop lookbook, vitrine, homepage), avec des boots ajourés (un peu trop blogueuse Instagrameuse) (comme par hasard j'ai overkiffé cette version) (ahem), avec des rangers Palladium rose poudrés (un peu trop décalé), avec un blazer boyfriend noir (un peu trop secrétaire de charme), avec mes bottines Susanna Chloé (un peu trop modeuse tout court) (mais franchement pas mal) (ahem bis)... 

Pour en arriver à la conclusion que ses accompagnants n'importent que très peu finalement.
On ne voit qu'elle, elle si glop pour certain(e)s, si flop pour d'autres. 
Jamais insipide et toujours sujette à débat (un peu tout moi quoi) (ahem ter).

vendredi 20 septembre 2013

Woman in Black

"Il n'existe pas un noir, mais des noirs".
Yves Saint Laurent
À mi-chemin entre une school girl, une contrôleuse SNCF et une membre d'équipage de croisière (#WTF), voici venu le temps (des rires et des chants) du friday look, avec de la casquette et même des grandes chaussettes.

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Tee-shirt IKKS -
Hat GERARD DAREL -
Skirt ZARA -
Boyfriend Blazer IKKS -
Scarf ZARA -
Socks H&M -
Bag ersatz Balenciaga acheté à VENISE -
Shoes JONAK - 
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La jupe-culotte (ou short) (mais ça sonne moins vintage), certes vue et revue (moi-même je ne la quitte plus), mais jamais dévoilée en cliché sur ce blog... 

Mes nouveaux acolytes IKKS Pure Edition, dont ce black boyfriend blazer absolument perfect, pendant jumeau de mon modèle gris tant porté tant adoré...

Et ces petites bottines aux allures de godillots dont je rêvais de faire l'acquisition depuis la vision d'Alexa Chung dans une pub Maje l'hiver dernier (paye tes références) (paye ta meuf aussi). C'est chose faite, et au tiers du prix, encore une fois chez l'ami Jonak... 

Autre pièce déniché soldée, ma casquette de marin. Issue de la collection Darel de l'an passé, je l'ai trouvé en me baladant chez Marques Avenue à -40% (y' des (bons) jours comme ça)...

Sans parler des grandes chaussettes d'écolière, fantasme fashion absolu depuis le premier clip de Britney Spears

Un look complet en somme.
Avec la petite touche tartan tendance qui va bien en supplément. 

vendredi 13 septembre 2013

Vichy

"Elle se densifiait dans ses chemisiers en vichy mauve ou marron; on eût cru qu'elle allait éclater comme une prune trop mûre".
Vladimir Volkoff
J'ai pourtant prié très fort et bien joint mes mains sous l'oreiller pour qu'elle dure encore un peu, encore plus fort, mais Dieu météo en a décidé autrement : une autre saison arrive, avec un peu, beaucoup, d'avance...
Et oui : Exit l'été indien, welcome la bruine d'automne.

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Shirt UNIQLO -
Jegging UNIQLO -
Bag SANDRO -
Boots JONAK -
Rings H&M - 
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Quelques réjouissances tout de même, pour couvrir les "ouein ouein" et autres "fait froid" du vilain matin (sans oublier les "c'est déjà loin les vacances", incessants au demeurant). 

Celle de pouvoir dégainer sa petite paire de boots de rentrée dénichée chez Jonak
L'esprit "ouvert" des Balenciaga, des sangles dorées à la Chloé, un bout rond "Chanelisant"... Pour une bouchée de pain Poilâne ! 

Celle de retrouver le confort du jegging, véritable alternative aux collants que je refuse encore catégoriquement et aux jeans trop rigides après trois mois de gambettes dorées et aérées (vous entendez cette saleté de Lana Del Rey derrière ?! I got that summertime, summertime sadness... O... Owowowo...). Celui-ci vient de chez Uniqlo et vaut 19€ (ça, c'est bon plan cadeau). 

Celle de ressortir sa collection 2008 de tartan et autres écossais en tout genre. 
Ou le plaisir d'être à la pointe de la tendance 2014 avec une vieillerie vichy. 

Une liste non exhaustive, plutôt chouette, mais qui ne parviendrait pas à tenir les promesses de sa version printemps/été. Forcément il sera toujours plus plaisant de jacasser en sandalettes que de crier au mohair chaque fois qu'il faut franchir le pas de son chez soi. 

Heureusement que les Fashion Week sont là pour nous rappeler que les vraies modeuses, elles, ne connaissent pas de changements de températures. En général, les streetstyles fluo et les mini jambes nues par tout juste 10°C finissent par totalement me lasser de l'été (et me donner des envies de bottes fourrées).  

En attendant, je ronge mon frein fashion et m'accommode
("Ouais y'a un jeu d'mot", comme avec Edouard Baer dans Mensonges et Trahison)

mardi 10 mai 2011

Chinoiseries


"Les chinois voient l'heure dans l'oeil des chats".
Charles Baudelaire

Grande kitscherie du mardi aujourd'hui avec la présentation de quelques it-trucs estampillés "Dumpling Dynasty" par Wu &Wu, à ranger vous l'aurez compris, dans la catégorie chinoiseries de fi-filles en manque d'exil (z'veux des miles, beaucoup de miles moi).

Le genre de trucs qui tapent dans l'oeil des adeptes de gadgets vintage, au coeur un poil girly.

Inspirés des illustrations d'anciens packagings asiatiques, les créations de Fiona Hewitt sont, je trouve, mignonnes à croquer (et jamais vues ailleurs sur le marché) (à ma connaissance toujours).

D'abord repérées sur le site so chic pour nos amis les kids, j'ai nommé Smallable, j'ai re-croisé le chemin de ces drôles d'objets lors d'une journée presse, pour finir par craquer (bon cadeau shopping aidant) directement sur l'eshop de quartier.


Quelques jours plus tard : réception des items choisis, ponctuée de "hihihi" à la fois grotesques et attendrissants (enfin, je pense) (ça se trouve, on me prend juste pour une niaise hystérique ?!).


Des boîtes en pagaille (à la base destinées aux gâteaux) (et vous z'avez vu, y'a une "bento box" à 3 étages aussi) dans lesquelles je compte ranger mes bijoux (en pagaille aussi) (même si "bordel" aurait peut-être été un meilleur qualificatif) (ou tout du moins plus objectif).

Et un sac shopping des plus cool...


Surtout quand il s'accorde à merveille avec mes ballerines de princesse urbaine (et glitter sur les bords, la princesse).

Ballerines JONAK, modèle ABBA (collection actuelle)

Un mini-site qui s'apparente à une petite caverne d'Ali Baba chinois pour gâter les copines ou se faire plaisir à soi (pour une fois) (ou pas).

F.B

lundi 24 janvier 2011

I'm Blue

"Dieu a créé les gens en technicolor. Dieu n'a jamais fait de différence entre un noir, un blanc, un bleu, un vert ou un rose".
Bob Marley

(Titre à ranger dans la catégorie "bide musical qui a tout de même cartonné", souvenez-vous... I'm Blue dabedi dabeda, dabedi dabeda...) (Non, ne me remerciez pas)

1. Tout ça pour introduire un petit look en bleu et noir (ça change du sempiternel "en rouge et noir" en même temps), shooté à l'improviste en rentrant du boulot.

Comme il est docile, comme il est discipliné, ce bleu, bien sage, qui se fond dans le paysage et ne veut pas se faire remarquer.

Est-ce pour ce caractère si consensuel qu'il est devenu la star, la couleur préférée des Européens et des Français et accessoirement celle de ma silhouette du jour ?

Est-ce parce qu'il est bibliquement admis qu'avoir les yeux bleus est un signe de mauvaise vie que j'ai toujours préférée voir cette teinte sur mes pieds, plutôt que près de mes yeux déjà trop "lagoon style" ?

Quoiqu'il en soit, le bleu a tendance à s'incruster dans nos vies vestimentaires et "arty" depuis des décennies (plus précisément depuis le début du XVIIIème siècle, heure de l'invention du bleu de Prusse qui permettra de diversifier les gammes de nuances foncées, et de la diffusion massive de l'indigo des Antilles et d'Amérique Centrale. Parenthèse spéciale "Questions pour un Champion") et n'a pas fini de squatter nos placards.


Le blue denim n'a peut-être jamais eu autant la cote, bleached Balmain or brut surpiqué Chloé.

Alors on ne touche pas à son favorite jean délavé d'été (on le range), on ne revend pas sur Ebay ses sandales en daim bleu klein (on les range elles vaudront le double dès avril) et on ne patiente pas avant d'entourer son petit cou de son foulard indigo (histoire de pouvoir dire que l'on est grave une "beach girl" dans l'âme en plein mois de janvier).

2. Tout ça parce que j'ai retrouvé une paire de bottes flashy en daim, lâchement abandonnées au fin fond de mon shoesing.... Vous vous souvenez la semaine dernière, quand je vous disais que parfois chez moi, TOUT part d'un accessoire, et plus précisément des chaussures... Et bien là, ce fût le cas une énième fois.

A peine retrouvées, il fallait les porter.
Le lendemain même évidemment (ça se saurait si la gente féminine était patiente en matière de fringues) (et en matière de n'importe quoi d'ailleurs).

Sweat/Pull Bérangère Claire, short en jean Chloé, collant Falke, bottes Jonak, collier N2.

Rien de transcendant, mais en bonus vestimentaire, l'incroyable sensation d'égayer le quartier tout gris foncé (et même l'humeur du jour qui se retrouve transformée, sourire niais collé au visage et bleu océan en guise de presque enchantement).

Accompagnée du plaisir de porter le short en jean (habituellement destiné au plein été) sur des collants lainés, et de le re-découvrir version chaleur hivernal, plus thermo-optimal qu'un simple futal.

Je ne vous ai pas révolutionné la fashion du lundi hein, je le sais bien. Mais ça fait tellement du bien de changer ses habitudes et de troquer ses éternelles bottines en cuir grises sur pantalon flare, que l'envie de poser cet écart sur papier virtuel s'est déclaré.

Histoire de conclure ce blue post, et comme promis aussi, voici les résultats du concours Solaris X Stella Cadente : c'est "AnAIS", commentaire n°3 qui remporte sa paire "New Deal" in black, comme elle le désirait (il ne me manque plus que tes coordonnées chère VIP du lundi).

F.B

mercredi 10 novembre 2010

My Little Book


"Les livres peuvent se diviser en deux groupes : les livres du moment, et les livres de toujours".
John Ruskin


Mais que de lancements retentissants...!

Alors même si la rubrique "Un peu de lecture" semble en somnolence aigüe depuis quelques mois, je profite de la sortie de cet opus "à part" pour raviver la flamme des pages de papier qui se tournent, se grignotent ou se dévorent.

Attention tout de même, avant de vous aventurer dans la lecture de ce micro-billet, sachez que ce livre ne pourra allécher que les plus parisiennes (et les plus parigos masculinos) d'entre-vous car il s'agit de l'édition spéciale d'un site que j'affectionne particulièrement : My Little Paris (les lyonnais et marseillais ne restent pas en rade car une version locale existe online spécialement pour eux) (suffit de cliquer sur la bonne "nationalité").

Depuis 2 ans, il distille ses adresses insolites et, bouche-à-oreille très positif aidant, est devenu une véritable référence dans le cercle très fermée des urbaines de la capitale.





Loin du roman fleuve Gavaldesque version aller-retour en TGV de plus de 4heures, ce bouquin réunit les meilleurs bons plans de la capitale, dénichés et sélectionnés avec soin par leur équipe de trendsetteuses et rédactrices averties (ainsi que quelques pages décalées autour de problèmes existentiels de fi-filles comme une "ordonnance pour oublier son ex à Paris", riche en surprises et en humour).



Des conseils pointus et souvent réservés aux initiés, des coins secrets révélés pour notre plus grand plaisir et des boutiques trésors à découvrir encore et encore... Vous ne resterez plus coincée entre votre mug de thé, la Marlboro light et votre pyjama en pilou le samedi matin (enfin, 14h) à vous demander quelle sortie adopter pour changer d'air et renouveler ses quartiers.


Entre l'envie de s'offrir une fish pedicure à deux pas du Panthéon, se faire masser dans le décor du film "L'Amant", servir de cobaye à un chef étoilé junior (ça j'ai testé, et largement approuvé), accepter une demande en non-mariage ou confier ses escarpins foutus au coordonnier de la Fashion Week... Le plan de Paris ne vous aura jamais semblé aussi riche en pépites d'or et la balade aussi prometteuse.



Ce que dit la 4ème de couv' (je fais ma DeeDee) : "Un resto qui n'a qu'une table ? Une créatrice de mode secrète ? Un masseur de pieds à domicile ? Un producteur de légumes oubliés ? Une piscine privée à louer à l'heure ? Leurs vrais bons plans, les parisiennes ne vous les fileront jamais. Notre mission : les infiltrer. La Parisienne, on l'espionne. L'oeil affûté, on se tient en embuscade sous les portes cochères. On finit toujours pas la démasquer. Dans ce livre on va tout vous révéler".


Et comme je ne peux vous laisser comme ça, la mâchoire pendante et la bave d'excitation au coin de la bouche, voici l'un des meilleurs articles parcouru ce matin... Un de ceux qui raviront les fashionistas fauchées et avides de réductions, un de ceux qui recensent les stocks de grandes marques les plus tip top sur la place de Paname.



"Pour votre argent, plutôt que les stocks options, on vous recommande chaudement l'option stocks : s'offir un ensemble 2-3 pièces dans un quartier qui bouge, à un prix nettement inférieur que celui du marché, c'est un deal.

Nos meilleures adresses de stock :

- Stock Sandro : 26, rue de Sévigné, 75004
- Stock Chloé : 8, rue Jean-Pierre Timbaud 75011
- Stock Maje : 92, rue des Martyrs 75009
- Stock Repetto : 24, rue de Chateaudun 75009
- Stock Sonia Rykiel : 64, rue d'Alésia 75017
- Stock Jonak : 44, bd Sébastopol 75003
- Stock Zadig & Voltaire : 22, rue du Bourg Tibourg 75004
- Stock APC : 20, rue Anfré del Sarte 75018
- Stock Bel Air : 36, avenue Général Leclerc 75014
- Stock Colisée de Sacha : 59 rue de Beaubourg 75004
- Stock Les Petites : 11, rue de Marseille 75010".


En somme (je vous laisse digérer ce récap' qui promet des virées de folie dès samedi et forwarder ce post à l'ensemble de vos keupines de shopping), ce "My Little Book" s'apparente au meilleur mini-cadeau de Noël que l'on peut faire à une modeuse/teufeuse/frimeuse parisienne (ou presque).

THE bible (ou presque à nouveau) de nos futures sorties, nouveaux habits et prochaines tortellinis (à consommer sans aucune modération).


F.B

lundi 11 octobre 2010

Version Longue 3

"Il faut une longue vie pour surmonter les séquelles de l'éducation".
Jan Greshoff

Une robe de femme devrait être comme une plaidoirie : assez longue pour couvrir le sujet, assez courte pour être suivie.

Argument majeur (s'il en est) de mon addiction naissante à la maxi-dress, comprenez robe longue tout de même sexy (pas vêtement de grossesse).

Pratique (entre deux épilations ou deux séances d'essayages), confortable (comme une chemise de nuit), légère ou chaude selon l'association (collant pas collant, tee-shirt manches longues dessous pas tee-shirt manches longues dessous, ballerines ou Doc Martens), elle s'adapte à toutes situations, de la journée bureau au déjeuner chez belle-maman, en passant par la virée shopping entre copines.

Sans parler de l'avantage indéniable d'une telle pièce, celui de se sentir camouflée, enveloppée, blancs mollets bien cachés (éviter la vision quotidienne de sa peau fadasse à J+40 des vacances au soleil et face aux collègues blackos de retour des îles, c'est aussi éviter la pulsion de se couper les veines dans une salle de bains d'hôtel Ibis entre deux rendez-vous clients).

So, une fois n'est pas coutume, j'ai dégainé le compact numérique, le pied à caméra, mon regard de travers et ma tête en l'air pour shooter ce look (j'ai un blog dit "de fille", me sens un peu obligée de m'adapter à cet élan narcissique) (en même temps, pour bien présenter un vêtement, on n'a toujours rien inventé de mieux que de le porter en situation).

Maxi Dress, ceinture et headband Zara, Veste Sandro, Ballerines Jonak, Sac Jérôme Dreyfuss.

Même si ce filon long a déjà été largement exploité au printemps (ici, ou encore là) (d'où le "Verison Longue 3"), il s'accommode parfaitement à l'automne en devenant presque un it-truc de demi-saison, en somme.

Moi qui ai boudé ce type de vêtement en étant enfant, entraînant la colère de ma mère, elle déjà addict à la robe longue depuis longtemps (d'où la citation), je rattrape mon retard éducativo-fashion à petites enjambées (ah, oui, le seul inconvénient, c'est qu'on ne peut plus marcher à grandes foulées) (mais ça donne une démarche du type princier).

F.B