lundi 31 mai 2010

Débrief Coca-Cola & Stevia

"L'art c'est déjà de la publicité. La Joconde aurait pu servir de support à une marque de chocolat, à Coca-Cola ou à tout autre chose".
Andy Warhol

Histoire de clore le débat "Stevia ou pas Stevia" et mettre en images cette rencontre chez
Coca-Cola,
voici un petit débrief semblant s'imposer pour les non-participantes à cette soirée.

Mot de bienvenue raté (pour cause de crise de couple "in vitro taxi" entre un chauffeur pakistanais et sa nana, opératrice en télémarketing à ses côtés toute la journée et bien décidée à le déconcentrer en plein bois boulonais) mais visite des bureaux rattrappée à temps pour se réhydrater au distributeur "no limit" et admirer les cannettes géantes (à coups de "Oh", "Ah", "J'la veux pour ma chambre", de vraies adolescentes).

Back in enfance à la vue de toutes les marques possédées par le groupe Coca-Cola: Fanta, Burn, Sprite, Minute Maid, Vitamin Water... Qu'importe vos goûts, que vous soyez "pétillants" ou plutôt "plein de fruits dedans", vous trouverez votre boisson d'addiction !


N'appréciant pas du tout les boissons gazeuses (ça ne passe pas que voulez-vous, j'ai l'impression depuis toujours d'avoir une malformation au niveau du "clapet") j'ai jeté mon sort depuis maintenant un an sur la ligne Vitamin Water, rafraîchissante à souhait et associée à un petit plaisir sucré de milieu de journée.

Envie désormais complétée par la nouvelle gamme Fanta Still sans bulles, dont j'ai appris les secrets de fabrication telle une chimiste de 3èmeB (accompagnée de mes délicieuses comparses de soirée Marie, Anne-Lise et Coralie) et dont le parfum me rappelle nostalgiquement celui du "Bang", cette poudre magique de mes booms, la valeur sûre d'un après-midi slow/gâteaux réussi.


Malgré la présence impressionante de sucre dans la recette initiale Fanta, la Stevia présente dans la version Still ne se sent absolument pas (nous avons pu "goûter" des feuilles de Stevia pure et c'est extrêmement sucré), le dosage entre sucre et substitut est donc parfait, satisfaisant les accros du suc' comme les dingos du light sans altérer le goût unique de la boisson.

Une amélioration nutrition étonnante, une manière de boire plus léger sans le remarquer, une innovation que l'on aimerait bien ré-découvrir sur d'autres produits de la marque (Please, je veux de la Stevia dans ma Vitamin Water fétiche).

Merci donc aux responsables présents ce soir-là (de Véronique la Directrice Marketing survoltée et aux réponses affûtées, à Claire, la nutritionniste éclairée et sans concessions avec nos bidons) de nous avoir présentées cette new way of drinking soda. Sans aucun doute, la Stevia passera par mon chez moi.

F.B

Billet sponsorisé


jeudi 27 mai 2010

Pas de Su-Shi

"Ecrire, c'est vider son sac".
François Mitterrand

Femme + Sac à main = Grand Amour.
Femme + Shopping = Grand Amour.
Femme + Surprise = Grand Amour.


(On me glisse à l'oreillette que trop de majuscule tue la majuscule ?!)

3 équations tellement évidentes qu'on en oublie souvent leur pendant plus complexe, celui où l'on ajoute une addition (on me glisse à l'oreillette que c'est assez redondant "ajouter une addition" ?!) en plus des deux premières variables : celle de l'état psychologique général.

Si ce dernier est particulièrement positif, vous pouvez multiplier le résultat par 2, si au contraire il est plutôt mauvais, vous pouvez appliquer a minima un X10.

Et en ce moment je tape dans le X1000.

Alors j'ai envie de tout ("Humm pas mal ce nouveau sac Lancel en édition limitée et à 980€") et de rien (mais un rien qui me coûte de l'argent quand même comme ce macaron LaDurée à 4€ pièce (X1000)).

Tout en étant en situation bancaire rouge cramoisi (pourri) bien entendu (sinon c'est pas drôle et on a plus envie de rien (mais du tout cette fois). Complexité de la femme).

Et me retrouvant fort dépourvue quand la CB s'auto-déclare HS (même dans notre distributeur préféré de quartier) : honte monstre au passage en caisse du Monoprix (Caissière : "Ah votre carte bleue ne passe pas... Attendez, on va recommencer" Moi : "Euh non non pas la peine je vais vous faire un chèque" (déballage de sac format 4X3, clopes, tickets en tout genre, multiples carnets et agenda, BlackBerry, tout y passe... Sauf le chéquier) Le reste du monde de la file "Bon on ne va pas y passer la soirée, t'as de quoi payer blondinette cosette ?" J'vous jure j'ai tout entendu), refus catégorique de visite sur hsbc.com, rejet en bloc de la situation (Starbucks hors de prix every morning pour m'assurer de bien commencer la journée (on me glisse à l'oreillette "fat day" ?!), même totalement fauchée) et multiplication intempestive de visites de e-shopping (le manque... LE MANQUE).

Heureusement les moyens de paiement virtuels à la PayPal étant aussi totally down, la e-machine ne peut user de mon "ultra-sensibilité-shoppingesque" du moment.

Mais alors que devient mon équation ?
Femme - Sac à main - Mental de winneuse = Depression.
Femme - Shopping - Mental de winneuse = Depression.

Prozac condamnée, moi ?

Certainement, mais là n'est pas la question, car c'était sans compter sur la livraison DHL surprise (et oui car : Femme + Surprise - Mental de winneuse = Surprise décuplée, depression dissimulée !).

Plus de "sushi" grâce à mon nouveau sac de la marque Su-Shi (jeu de mot pourri du jeudi).


Commandé depuis 3 mois (juste là), je l'avais pour ainsi dire... Oublié.

Je ne regrette pas ce délai finalement si parfait pour combler le manque de craquages en soldes privées, au-delà du fait que ce sac à l'esprit cartable (ce n'est pas le Proenza mais c'est l'idée) s'avère splendide (beau cuir, beau fermoir, belle forme, belles finitions, belle doublure, what else ?).

Moi je vous le dis, le shopping, c'est la vie (on me glisse à l'oreillette que je serais un cas désespéré ?!).

F.B

Edit: Heureuse nouvelle du jour pour les "tentées-fauchées-mal aimées" (et les autres sans excuses), la blogueuse Coline organise une vente privée en ligne Su-Shi dès aujourd'hui, juste ici).

mardi 25 mai 2010

Not My Kitten Heels

"L'amour est fini quand il n'est plus possible de revenir en arrière".
Frédéric Beigbeder

Après 13 paquets de Compeed (à 8€ les 10 pauvres pansements, c'est cher vraiment), des dizaines de kilomètres s'apparentant à de la torture (frotter du daim sur une parcelle de peau à vif, c'est très douloureux) et des centaines de gémissements, râleries, voir même petits cris, c'est décidé je les quitte...

... Mes chaussures à talons vertigineux (et j'ai pourtant une notion soft du "vertigineux", pas plus de 12cm pour les plus hautes).

Finis les ampoules, cors, durillons et autres ongles incarnés (sans parler du mal global, celui du pied). Exit la démarche d'autruche échaudée, place à une démarche beaucoup plus "first lady" que Gwen Stefani.


Parce qu'il ne faudrait pas tomber dans l'excès inverse, celui du plat envers et contre toutes (que je pratique aisément les 3/4 du temps), je tente d'éviter le rayon spartiates, Converse et autres derbies anti-sexy (serai-je atteinte par la pression sociale du diktat féminin "des hauts talons tu porteras, plus sexy tu seras" ?).

Je m'en tiens à la définition modesque au sens le plus stricte, je veux du talon de chaton, entre 3 et 5 cm, mais on peut pousser jusqu'à 7 (il paraît), une démarche de jeune danseuse russe et des faux airs de Carla Bruni en kitten heels Missoni.

Direction l'eshop Repetto.
Craquage sur le modèle Gisèle (qui n'est pas sans me rappeler un de mes ballets préférés de jeune petit rat (mais aurais-je l'air aujourd'hui d'un vieux rat ?!)).


A 160€ la paire, il a bien fallu que je me rabatte sur un (faux) problème de couleur pour justifier ma raison.
Parce que je cherche du camel mesdemoiselles, pas du "nude" ou du "taupe", et encore moins du "beigeasse" !

Un passage éclair au Printemps, et une altercation avec trois vendeuses (à peine j'ai dégainé l'appareil photo numérique (pourtant si mini et moi si souris) que je me faisais sérieusement enguirlandée...), je me rends à l'évidence que :

1. L'accueil exécrable des responsables m'a refroidie. Je veux bien mettre le prix dans un produit de qualité, mais avec politesse et sourire s'il vous plaît.

2. La couleur de mes rêves n'existe que dans la ligne des ballerines plates... Véritable malédiction du talon.

3. Non, non, non (je ne veux pas prendre l'air) je me persuade de ne pas tenter le port du sabot en bois pour compenser les deux précédents états de faits.

4. Non, non, non (je ne veux pas prendre un verre) je m'auto-convaincs de ne pas flasher finalement sur ce modèle là, vert flamboyant. Surtout après l'essayage de la dernière pointure restante, environ trois fois trop petites pour mes fucking trop gros pieds (écrire ce passage me coûte, excusez ma vulgarité, je les regrette tellement, finalement).


Il ne me reste plus qu'à digérer cette envie non assouvie, ce port de chaussures-chaussons incessant (redescente sur Terre assurée), en attendant de trouver kitten heels à mes pieds.

F.B

lundi 24 mai 2010

Brèves du lundi

"Je suis pour les privilèges... Quand ils sont gagnés".
Paul Léautaud


Brèves du lundi pour gagnantes du lundi pardi !


La "big news" la plus urgente est sans doute au sujet de la rencontre chez Coca-Cola qui aura lieu demain (hihihahahoho bossons dans le speed).


J'annonce donc sans plus attendre celles qui assisteront à cette soirée à mes côtés (oui, que des filles, en même temps quelle suprise... Il n'y a que dans TopChef que les mecs s'intéressent à la catégorie culinaire), il s'agit de : Marie.D, commentaire n°1, CITIZen, commentaire n°3 et l'anonyme n°4.


Merci de m'envoyer très rapidement vos mails (j'ai besoin de quelques détails pour assurer les transports aller et retour). J'ai hâte d'aller papoter avec vous autour de cette nouvelle arme fatale contre le sucre, de causer Stevia, et de tout, et surtout de n'importe quoi.




Photos: Flickr


Passons aux plus vamp' d'entre-vous, j'ai nommé toutes celles (et ceux, oui, oui, ces messieurs seraient donc plus intéressés par les lunettes de soleil que par la nutrition...) qui ont participé au concours Vogue Eyewear pour se la jouer Gisèle Bündchen des mers.



Photo: Flickr


Difficile d'élire ma Queen du look mais il a fallut faire un choix cornélien et surtout malin, tout en sachant décevoir plus des 3/4 des candidates (certes virtuelles, et pour autant bien présentes presque physiquement au moment où je vous annonce ce résultat, avec 15 fenêtres sur vos avatars ouvertes sur mon écran).


Après pas moins d'une demi-heure passée à zieuter vos doubles digitalisés, je mise finalement sur mon coup de coeur, celui que je n'oserais pas forcément (la mini-attitude, ça ne passe pas terrible au bureau) mais qui me tente violemment pour autant (donc pourquoi pas pour le week-end only), celui réalisé par Corinne (commentaire n°3).




Même consigne que pour les winneuses de première partie, merci de m'envoyer tes coordonnées pour l'envoi de ta nouvelle paire de lunettes Vogue Eyewear.

Plutôt agréable d'attaquer le lundi matin (ambiance normalement un poil peau de chagrin) par une mini-distribution de cadeau/invitation.

Donc pour éviter toute contamination bluesesque (de début de semaine (après week-end ensoleillé)) sur ce post, j'ai envie de vous dire que ce sera tout (#blogueusefeignassequinarienfaitduweekend), pour le moment (#cacommencebientôtsecretstory?).

F.B

jeudi 20 mai 2010

+/-

"Savez-vous ce qu'est une femme ? C'est quarante kilos d'eau, huit kilos de graisse, quatre kilos de chaux, cent vingt-sept grammes de sucre et douze grammes de fer".
Roland Dorgelès

Moi et les chiffres, ça a toujours fait deux (voir même trois ou quatre). Les mathématiques à l'école furent (trop) rapidement associées à "récré" ne voyant pas l'intérêt immédiat des fonctions exponentielles, je préférais aller apprendre à rouler des clopes et des pelles, l'arithmétique et les probabilités, aka "proba", n'étaient sans nul doute par faites pour moi, et la comptabilité aujourd'hui me fait horreur, m'horripile et me donnerait presque de l'eczéma (tellement c'est du chinois tout ça).

Ma seule appétence à calculer toutes sortes de dépenses (que ce soit les litres d'eau de mon bain niveau CM1 ou la base de mes revenus annuels niveau junior) ne fonctionne chez moi que dans un sens.

Celui du moins.

-3 dossiers achevés à la fin de la journée, -20% sur la veste tant convoitée, -400€ chez HSBC et bien entendu aussi, de manière plus générale dans la vie, moins de transport, moins d'abrutis et moins de sucre/graisse/merdouilles dans mon panier garni.

Car depuis TopChef, Un Dîner presque parfait (et autre ersatz de show culinaire) et ma rencontre avec la délicieuse Anne du célèbre blog "Papilles&Pupilles" qui m'a tout enseignée sur les dangers de l'huile de palme (et m'a ainsi privée de mes Délichoc préférés), je ne peux que constater mon tout simplement jeune intérêt pour ce que j'offre (et m'offre) à manger (le soir devant la télé).


Exit la Mousseline, Welcome le presse purée !
Out la Pasta Box, In le marché de quartier !

Beaucoup plus attentive à ce qui remplit mon assiette, sans non plus me prendre la tête, je suis en état d'alerte côté produits légers et à la moindre nouveauté un peu moins sucrée.


Détestant les appellations "light" (surtout sur des aliments type "beurre", "bonbons", "chocolat" ou même "fromage à raclette", intrinsèquement gras et lourds), je préfère porter mon attention sur les boissons, point clé (souvent oublié) d'une alimentation.

Difficile de faire l'impasse sur le soda de milieu d'après-midi, celui qui est censé vous redonner un petit coup d'énergie, mais pas vous plomber le fessier (en plus de la vessie).

Alors quand The Coca-Cola Company m'a proposée de venir tester leur nouveau produit "Fanta Still" en présence d'une experte nutrition et accompagnée de 3 lecteurs ou lectrices, j'ai tout de suite accepté.


Au programme de cette soirée du 25 mai : la présentation de la nouvelle recette Fanta Still qui devient la première boisson aux fruits en France à base d'extrait de Stevia (nouvel édulcorant d'origine naturelle, loin de l'aspartame chimique habituel) et intervention de Claire Meunier, l'experte nutrition de Coca-Cola, séance de blind test et conférence sur l'association dédiée aux femmes que la marque soutient.

Avec cette base de Stevia au pouvoir sucrant 200 fois supérieur à celui du sucre, et une boisson qui au final contient -30% de sucres en moins par rapport à la plupart des autres produits rafraîchissants sucrés, ces chiffres là m'ont parlé !

Convaincue que cela vous tenterait, j'ai donc accepté cette opération menée par AuFéminin qui à cette occasion propose des vidéos tordantes de la comique Isabeau de R que je vous invite à aller découvrir juste .

Et pour remporter une de ces 3 invitations (pour les étourdies rappel : soirée du 25/05 chez The Coca-Cola Company à Issy-Les-Moulineaux), il suffit (comme d'habitude) de laisser un petit commentaire m'indiquant votre participation juste en bas.

Tirage au sort et résultats dimanche soir parmi vos commentaires (merci de me laisser votre email)

Sur ce, je vous laisse, j'ai +2€20 pour foncer m'acheter deux crêpes, +30% de charge de travail d'un seul coup et +1 mec (et il faut "pragmatiquement" compter +3) à nourrir ce soir (d'une manière +/- saine).

F.B
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mercredi 19 mai 2010

Fille de Pub

"Ne dites pas à ma mère que je suis dans la pub, elle me croit pianiste dans un bordel".
Jacques Séguéla

Deux phrases uniquement (#blogueusefeignasse) (enfin trois en comptant celle-là).

Rubrique "Kiff du jour" (évidemment) pour cette petite parution dans Grazia (avec un petit oubli d'url... Mais là n'est pas le sujet).

Et un énorme "Big Up" (forcément) à mes comparses filles de la pub, marketeuses, pubardes, advertising ladies et autres consoeurs d'agences.



F.B

mardi 18 mai 2010

Vamp Vogue

"Une star c'est quelqu'un qui travaille dur pour être connu et qui, ensuite, porte des lunettes noires pour qu'on ne la reconnaisse pas".
Fred Allen


Aujourd'hui c'est le "Vamp Day", aka la journée "j'me la pète", "j'me la raconte", "j'fais ma resta", en partenariat avec la marque VOGUE EyeWear (s'il vous plaît, je ne fais pas les choses à moitié).

Au programme : présentation de leur collection et petit portrait d'identité (que je méconnaissais), création de looks via un "virtual closet" et concours ultra-chouette !

VOGUE EyeWear appartient donc au grand groupe Luxottica, propriétaire des marques RayBan, Oakley, Persol, Oliver's People (notamment) et des licences Prada, Burberry, Chanel, Dolce&Gabanna, Tiffany, Bvlgari, Ralph Lauren (notamment également)... Autant dire à la tête de presque tout ce qui peut orner nos jolies mirettes, et logiquement leader incontesté de la lunetterie haut de gamme, de luxe et sportive.

Depuis les années 1970, VOGUE EyeWear s'adresse aux jeunes femmes férues de mode et de tendances en proposant des modèles au style multiforme et résolument glamour, une véritable mode aussi ironique que ludique. Les top ambassadrices de la marque, Gisèle Bündchen et Daria Werbowy, ont su véhiculer cette idée de "jeu de style" au quotidien et ancrer VOGUE dans l'ère des icônes des podiums.

Résolument fashionista, ces lunettes se devaient de passer par moi (foi de férue des nouveautés face à une marque inconnue).
C'est chose faite via la ligne "Vamp", dédiée aux femmes-diva : des montures extra-larges pour faire la mouche en terrasse et se planquer des flashs sur la Croisette.

Associée à mon maillot de déesse Eres, je suis parée pour un week-end prolongé à Deauville, Nice ou Cannes, sans escale ni TGV 2de classe. A ce stade, c'est jet privé only.

Mais comme la blogueuse est (presque) prêteuse, je vous propose une petite battle de looks virtuels histoire de faire gagner à la plus belle la même jolie paire de lunettes de soleil.


Pour cela, il suffit de vous rendre sur le site dédié, rubrique "Virtual Closet" et de constituer votre silhouette parfaite en quelques clics. Pour ma part j'ai choisi la seule blondasse du lot des mannequins (franchement pas boudins) et je l'ai vêtue d'une mini-mini robe à froufrou (pour me la jouer pétasse jusqu'au bout des Loubout').


Ensuite il ne vous reste plus qu'à me laisser l'url de votre look perso dans les commentaires et je choisirai celui qui me parle le plus, me plaît le plus, m'excite le plus.

A vos souris les gazelles, l'heure est à la préparation des beaux mois de juin-juillet-août (histoire d'oublier cette saleté de mars-avril-mai) : gommages à gogo, régimes anti-capitons et nice paire de lunettes anti-mauvais rayons.

J'annoncerai la gagnante le 24 mai, date de clôture de la création de vos avatars. Alors vite, vite, avant qu'il ne soit trop tard (et que vous veniez pleurer au désespoir).

F.B

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lundi 17 mai 2010

Kechmara #2

"Les bains, le vin et Vénus usent nos corps, mais les bains, le vin et Vénus font la vie". Proverbe latin
Forcément.
Fatalement.
"Fatidiquement".

Je ne pouvais vous conter Marrakech sans vous parler "Il était une fois" beauté, savon noir et autres secrets notoires, tant j'ai profité de ces moments de volupté, entre hammam, gommage et huiles chaudes, dans de magnifiques palais (pour ne rien gâcher).


Comme toute bonne débutante, j'ai attaqué par un hammam suivi d'un gommage "peau de satin" (j'aurais même carrément appelé ça "peau d'ange"). Plaisir assuré, vapeurs discrètes (vs le hammam turc enfin, je crois), chaleur bienfaisante...

Mais bien loin des petites cellules mortes à peine visible lors d'un peeling at home, là c'est davantage "pelades et châtiments", voir même mue du serpent.

On en ressort avec une peau toute neuve, légèrement rougie de si peu de répit (aïe ça fait un tout petit peu mal) mais totalement ragaillardie. Chaussons tout doux en éponge aux pieds et peignoir nid d'abeille de rigueur évidemment. Passage dans le jacuzzi à l'eau de rose pour compléter le tout forcément. Et massage à l'huile d'argan histoire d'atteindre le nirvana marocain.

Parfum de noisette et vertus dermatologiques connues, elle est riche en antioxydants et s'avère idéale pour les sécheresse cutanée, les rides, l'acné, les boutons de varicelle ou même les douleurs rhumatismales, en neutralisant les radicaux libres, en alimentant la fibre capillaire et en stimulant le renouvellement cellulaire (rien que ça !).

Et pour parfaire son synthétique portrait je vous dirai aussi (enfin je retranscris ce que Fati m'a dit) qu'elle est issue d'un arbre dit magique, l'Arganier, qui pousse presque exclusivement dans la province d'Essaouira. Les chèvres se régalent de ses fruits semblables à des olives et on l'utilise également en gastronomie pour assaisonner une salade, accompagner un poisson ou parfumer un couscous.

J'arrête et je stoppe net mes digressions sur cette huile mystérieuse (tout de même, j'ai appris des choses moi dans tout ça), passons aux maroco-cosmétos home made.

Oui, presque sans transition.



Car j'ai fait une petite découverte intéressante, le masque "fait maison" réalisé à partir d'argile blanche et d'eau de rose.
Testé uniquement sur l'épiderme de ma main gauche, ça a l'air tip top.




Des herboristeries et des échoppes d'épices par milliers, tant de soins from là-bas dont je ne saurais vous causer, mais déjà quelques indices ramenés au chaud de ma salle de bains parisienne...




Avec pour preuve une marque d'arnaque à la main droite, made in place Jemaa El Fna (ou comment vous faire attraper par le bras, seringue de henné dans l'autre et fleur orientale tatouée en moins de temps qu'il ne faut pour vous soudoyer de 20€).



Charme de Marrakech.
Séduction à l'orientale.
Paradoxe de la blonde aux yeux bleus.


F.B

mercredi 12 mai 2010

Kechmara #1

"Froide est la douleur de croire que la chaleur ne reviendra jamais".
John Berger

Loin du vacarme parisien, de ma boîte mail (sur laquelle je garde quand même toujours un demi-oeil sous lunettes de soleil) et des collègues, je profite de ces quelques jours pour admirer Marrakech et ses contours aux côtés de mon amour, au coeur d'un Riad de choix, choisi grâce au site Splendia.


Après un vol attrapé malgré l'angoisse volcanesque de la veille, place aux ballerines, spartiates, tongs et sandales pour un voyage sans escale.

Comme promis, quelques looks presque marocains, choisis pour leur penchant pratique et sans chichis, idéal pour gambader entre les allées des souks sans trop faire mouche.

Petit billet à haute teneur en photos donc, mon esprit de travailleuse/blogueuse étant en vacances et ne pouvant assumer la cadence d'un article à plus de 200 signes.


Intervalle 1,5 de rigueur donc, et seulement un peu de chaleur par écran interposé France/Marrakech... En direct des Jardins de Majorelle, ceux-là même qui ont été rachetés par Yves Saint Laurent himself, et du Palais El Badhi, véritables ruines aux accents chics.

Slim Uniqlo, Tee-shirt Oversize Zara, Shoes Surface To Air, Sac "Gilbert" Jerôme Dreyfuss.

Slim TopShop, Tee-shirt "Yves" Dear Diana, Shoes André by Mimnor.

F.B